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Après un long temps de conversation et commérages avec Maïmouna, j'ai reçu un message de Idris.









📩 Idris: J'ai prit des glaces, je peux venir te récupérer chez ta pote?







J'avais aimée l'intention car c'était pas du tout prévu qu'il vienne me récupérer et encore moins avec des glaces.










Moi: Il vient de me proposer de venir me chercher avec des glaces.





Maï: T'attends quoi pour lui répondre favorablement?





Moi: J'hésite, t'as raison quand tu dis que je l'ai pas assez fait galérer. Tout est trop simple pour lui, il me boycott une semaine, il revient avec une surprise, je ferme les yeux. Là, il revient avec des glaces et je dois lui répondre « Oui, bébé, viens. »? Non, c'est trop facile. Puis je veux passer la soirée avec toi.





Maï: Ou bien tu devrais juste profiter de tous les petits moments avec lui quand tout va bien?





Moi: Pas aujourd'hui en tout cas.










✉️ Moi: J'passe la soirée avec Maï, demain si tu veux.





📩 Idris: T'es sah la? On vient de se retrouver, tu l'as vu là, on peut se voir après non? En plus tu vas rentrer comment chez toi? Fais un effort. J'veux te voir.




✉️ Moi: On s'est vu aussi et je vais rentrer en transports, t'en fais pas si ce qui t'importe.




📩 Idris: J'viens te récupérer.




✉️ Moi: Si tu veux mais ce sera tard et on pourra pas rester ensemble, tu vas devoir me déposer directe.


📩 Idris: Donc là tu fais passer tes potes avant moi? J'te demande pour qu'on se voit et tu veux pas alors que dans tous les cas ta pote t'es avec la. Tu sais quoi? Rentres en transport.


✉️ Moi: Mdrr mais bébé, je fais passer personne avant personne, on se voit tout le temps en temps normal, les midis je mangeais même plus avec maï mais avec toi donc arrêtes, on se voit demain stp, pas de prise de tête.






J'ai eu aucune réponse à ce message et c'était tant mieux parce que je sais qu'avec un peu de forcing de sa part, j'aurais probablement fini par céder.









Moi: Il boude je crois bien.




Maï: Tu vois, je t'avais dit d'aller le voir.





Moi: -rires- Non. Je m'en fiche, il va pas en mourir.






Maï: Faudra pas pleurer quand il va encore te ghost.




Moi: Mais s'il OSE encore faire ça, c'est fini pour de bon, j'en peux plus de me faire ghost comme une mer-de.





Maï: Pour le coup, t'as bien raison.




Moi: Mais il a aucune pitié, il m'a dit « rentres en transports. », j'y crois pas! Il s'en fou de me laisser rentrée la nuit en transports.





La vie d'Elia - Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant