The Dorian's Story : La Prophétie Du Héros

Chapitre 25 : Départs

Média : Ecusson des Felinix / écusson royale de la Nation des Feux

... et partis aussi rapidement que j'étais venu. 

" Je retourna donc chez moi. J'avais passer 2 bonnes heures chez Max. Résultat, il était très tard et le soleil était couché depuis un moment. Je rentra en soupirant, sachant qu'il était temps de repartir sur Vainès. Mais je n'en avais pas réellement envie. Le moment passé sur Terre avait été trop court. Aussi, lorsque ma mère me proposa de dîner avec elle et de passer la nuit sur terre, je n'hésita pas une seule seconde et accepta, au grand damne de Felis. Je lui fis donc, pour le rassurer, la promesse de partir tôt le lendemain.

Je partagea donc pour la première fois depuis longtemps, un repas en famille. Ma mère mit les petits plats dans les grands et se plia en quatre pour faire un repas digne de ce nom. Repas pendant lequel, elle m'avoua que mon histoire d'évasion était encore fraiche mais l'affaire avait été classé comme non résolue. La prudence était tout de même de mise car le domicile familiale était encore sous surveillance.

Après un repas copieux, nous allâmes coucher les jumelles. Puis nous discutâmes, ma mère et moi, pendant un certain moment. Pendant ce temps Felis était aller se coucher, prétextant être fatigué. Enfin, je me sépara dans une dernière embrassade de ma mère et partit à mon tour me coucher.

Lorsque je rentra, Felis était allonger sur le bord de la fenêtre et dormait paisiblement ; émettant de tant à autre de petits ronflements. Je m'allongea dans mon lit et ne mit pas longtemps avant de plonger dans les bras de Morphée. 

***

Le lendemain, je fus violemment réveillé par Felis, qui, voulant être efficace, avait décidé de poser ses fesses sur mon visage, manquant de m'étouffer. Je le repoussa donc brusquement et toussa pour reprendre ma respiration - et par la même occasion, évacuer les poils que j'avais malencontreusement bouffer. Après lui avoir jeté un regard noir, je me redressa lentement dans mon lit. Une fois m'être étiré, j'entrepris de m'habiller. J'eus alors l'idée de récupérer d'autres habits dans mon placard ; des habits plus adéquats à un long périple dans le désert. Je fourra donc le tout dans mon sac et sortis de ma chambre. L'appartement était plutôt calme. J'allas faire un brin de toilette, puis entreprit de me préparer un copieux déjeuner. Alors que j'hésitais à lui laisser un mot pour la prévenir de mon départ, ma mère apparut sur le seuil de la pièce. 

- C'est le grand moment ! s'exclama-t-elle, en lorgnant sur mon omelette. Attends, mais depuis quand cuisines-tu aussi bien ? questionna-t-elle ensuite. 

- Oh ça ! C'est mon amie Haidis qui m'a appris. C'est le petit déj' parfait pour prendre des forces ! 

Je posa mon assiette et l'enlaça. 

- Je suppose que tu ne vas pas attendre le réveil des jumelles pour t'en allais, tenta-t-elle.

- Non, désolé. Je risque de prendre du retard, répondis-je, en coulant un regard e biais à Felis.

Celui-ci détourna la tête, ne regrettant visiblement pas son geste du mati, et ne se sentant pas concerné par ma remarque. 

Ma mère entreprit alors de me piquer une cuillerée d'omelette, pensant que j'allais riposter en râlant. Mais je ne fis rien. Elle goûta le met et je vis sur son visage que ses papilles s'en délectaient. 

- Je vous le dit mes aïeux, c'est devenu un homme à marier ! affirma-t-elle, fière de sa remarque. 

Je l'embrassa sur le front et me sépara définitivement d'elle en lui promettant de venir les voir plus souvent à l'avenir.