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Tu n'as jamais dit à Todoroki où tu étais.

Même s'il s'agissait de quelques mots comme "au magasin" ou "chercher des tampons, laisse-moi tranquille" ou quelque chose comme ça, tu lui faisais toujours savoir ce qui se passait.

Faisant un pas dans son couloir avec son téléphone, il regarda le dernier message qu'il avait reçu de toi.

T/P : Je m'entraine avec Hedgehog. Je serai de retour pour le soba ce soir.

Mais tu n'es pas revenu pour le soba.
Il a mangé le sien seul, pensant que tu as juste couru longtemps, mais maintenant il était trois heures après l'heure du soba et tu ne répondais pas, et si Bakugo t'avait assassiné parce que tu as fait une autre blague stupide et qu'il t'a fait sauter la tête, et Todoroki a patienté et patienté et patienté et...

Perdant sa résolution d'écouter son père et d'attendre, il ouvrit avec force le placard attrapa ses chaussures, et ouvrit la porte.

Mais dans l'obscurité totale, il y avait quelque chose d'autre ressemblant à une ombre sur son porche.

Debout avec sa main toujours sur l'encadrement de la porte, Todoroki a cligné des yeux plusieurs fois jusqu'à ce que ses yeux s'adaptent.

Il y avait un garçon à sa porte.
Et tu étais sur son dos.

"Bakugo." A dit Todoroki, presque comme une question.

"Laisse-moi entrer tu veux, elle devient lourde."

Sortant de sa trans, Todoroki a jeté ses chaussures et a cédé la place.

"Elle va bien ?" A t-il demandé, remarquant à quel point tu étais molle.

"Elle va bien." A chuchoté Bakugo dans un grognement, marchant dans la maison comme si c'était le sien. "Elle s'est juste endormi, où est sa chambre ?"

Soulagé que tu avais l'air relativement indemne, Shoto a passé ses mains dans ses cheveux et a expiré fortement, pointant à Bakugo le couloir.

Il s'est dirigé vers la pièce que toi et Todoroki partageais silencieusement.

Todoroki a réalisé qu'il parlait à voix basse, être si délicat, pas pour les autres dans sa maison.

Il ne voulait juste pas te réveiller.

Et quand il a finalement laissé son cœur battre s'arrêter de battre à la chamade depuis que tu es rentré en sécurité, il a commencé à se poser des questions.

Pourquoi t'a-t-il ramené à la maison ? Il n'était pas attentionné, il s'en fichait de toi, pourquoi ne pas obliger sa mère à te reconduire à la maison si tu étais si fatiguée.

Et pourquoi étais-tu si fatiguée ? Tu n'as jamais été assez insouciante pour t'endormir après t'être entrainé avec lui, pourquoi avec Bakugo ?

Si son cœur ne battait pas la chamade, ses pensées le ferait certainement.

Sans même remarquer la présence de Todoroki à la porte de ta chambre, Bakugo a dû s'arrêter et remarquer la pièce dans laquelle il se trouvait pendant un moment.

Il y avait une seule lumière dans le coin, pas assez brillante pour te réveiller, mais assez brillante pour illuminer cet espace.
Cet espace qui était la tienne.
Ou au moins la moitié de la tienne.

Deux bureaux de chaque côté, deux matelas de chaque côté également.

Donc tu partageais une chambre, huh ?

Pour une raison quelconque qu'il ne pouvait pas conjurer, Bakugo n'aimait pas ça.

Il savait instantanément quel côté était le tien.
Tu avais des manuels avec des élément et des composants empilés sur ta table de chevet, une écriture malpropre sur des flashcards autour d'eux pour que tu puisses mémoriser.

opposites [bakugo katsuki] TRADUCTION [Terminé]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant