18. Une belle journée

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Point de vue de Chris :

Ma respiration devint plus rapide en entendant la bouteille de lubrifiant s'ouvrir, puis quelques gouttes fraîches atterrir sur ma raie, me faisant frissonner. Isabella frotta doucement mon orifice avec son pouce, réchauffant la zone, avant d'appliquer une légère pression et d'insérer sa phalange en moi.

Je me raidis. La sensation était étrangement agréable, surtout lorsque sa langue revint caresser mon gland. Des gouttes de sueurs commencèrent à poindre sur mon front tandis qu'elle agrippait fermement ma bite tout en insérant entièrement son doigt dans mon canal, à la recherche du point précis qui me fera vriller.

Je ne tardai pas à me crisper, avant de lâcher un grommellement. Elle l'avait rapidement trouvé. Je me mordis les lèvres, bloquant ma respiration lorsque sa bouche chaude aspira la pointe de ma verge, combinée à sa main habile qui me travaillait et à son majeur qui allait et venait en moi.

Mes hanches commencèrent à se ruer alors qu'elle accélérait ses mouvements, resserrant son poing, ma verge glissant dans sa bouche impatiente. Et pendant ce temps, son doigt continuait de me baiser profondément, titillant ma prostate avec une précision exquise.

La sensation était presque trop intense pour être supportée.

— Isabella...

Elle retira mon sexe de sa bouche pour s'occuper de mes testicules, les embrassant tendrement avant d'en prendre un dans sa bouche et de le sucer.

— Isabella ! gémis-je plus fort.

— Tu aimes ce que je te fais ? susurra-t-elle.

— Oui... Seigneur, oui !

Son doigt quitta mon orifice, mais avant que ma frustration ne prenne le dessus, elle en rajouta du lubrifiant et me pénétra avec deux doigts cette fois. Je mordis ma lèvre inférieure jusqu'au sang pour étouffer un cri, ressentant l'étirement de mes sphincters, mais le plaisir dévorait toute autre sensation.

Isabella était très douée, combinant les caresses comme personne. Par exemple, en sentant mes muscles anaux se contracter, elle revint s'occuper de mes boules. Elle savoura leurs poids et leurs textures entre ses doigts puis y ajouter la langue en léchant mon périnée avec une tendresse enivrante. Mon corps n'avait plus aucun secret pour elle. Elle savait parfaitement comme me faire perdre la tête.

Ses efforts portèrent leurs fruits ; mes sphincters se desserrèrent et ses doigts plongèrent en moi jusqu'à la dernière phalange. Elle se mit alors à presser cet endroit précis en moi ; ma prostate, envoyant une décharge électrique le long de ma colonne vertébrale.

— Tu regrettes de ne pas m'avoir laissé faire ça plus tôt, hein ? me taquina-t-elle.

Oui. Tellement.

— Toutes ces fois où tu t'es renfermé quand j'évoquais le sujet, tu te souviens ?

Oui. Et je le regrette.

Je l'entendis soupirer. Elle intensifia ses mouvements, frappant ma prostate avec une précision infaillible. C'était tellement agréable. Bon. Intense. Jouissif. J'ouvris les yeux, les lèvres entrouvertes, mon souffle s'échappa de façon saccadée. Ma queue se prépara à entrer en éruption. Mon corps commença à convulser.

— Je vais jouir !

— Non, pas tout de suite !

Les larmes de frustration me brouillèrent la vue alors qu'elle se retirait complétement.

— Ne m'en veux pas, ajouta-t-elle en caressant le bas de mon dos, je sais que tu vas t'endormir immédiatement après l'orgasme et j'ai besoin de toi, moi aussi. Je te veux en moi. Je veux que tu me fasses l'amour. Ne t'en fais pas, je vais me dépêcher.

Engendrement [Tome 2]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant