Engendrement [Tome 2]

16. Entraînement

Point de vue de Chris :

Ses cheveux blonds, lisses, scintillants, encadraient son visage. Elle se tenait droite, sa chute de reins sublime et son cul sexy dans ce legging moulant. Les mains sur les hanches, elle écarta les jambes et se baissa – pas trop bas - pour faire le premier squat. Ce cul.

— Garde le dos droit, l'assistai-je. Et contracte ton périnée en te baissant.

Elle se releva et je l'entendis soupirer en tirant sur sa brassière.

— Un souci, bébé ?

— Ça me serre trop. J'ai mal aux seins.

Je la contournai pour mieux la regarder et mon souffle se coupa en voyant de plus près sa poitrine compressée dans son soutien-gorge de sport. Ses gros seins, si fermes et somptueux. Putain. Je ressentis déjà les frétillements de ma queue.

Du calme, on vient à peine de commencer.

— Je te dis que j'ai mal et tu baves devant ma poitrine ? gronda-t-elle.

Je sursautai. Merde ! Quel con !

— Pardon, ma puce... Je ne voulais pas...

Elle éclata de rire. Bon sang. Elle se foutait de ma gueule !

— Je te taquine ! Pourquoi t'es si tendu ? Tu adores le sport, non ?

— Si, haussai-je les épaules, mais c'est la première fois que je coache une femme aussi sexy.

Et enceinte.

— Quel frimeur !

Elle m'attira par la nuque pour m'embrasser et je souris contre ses lèvres.

— On s'y remet ? Ou tu as besoin de changer de brassière ?

— Non, ça va, mais j'ai l'impression que mes seins pèsent une tonne. Ils sont énormes !

— Mais non, souris-je en fixant les deux lobes de chair. Ils sont parfaits.

Je m'imaginais les palper, les sucer, les dévorer, y glisser ma queue et les baiser...

Non, bordel, un peu de tenue, Warner !

Je restais à bonne distance du corps attractif de mon épouse, surveillant ses mouvements et sa souplesse. Je la guidai sans la toucher. Dos à moi, elle souriait. Elle savait l'effet qu'elle me faisait dans cet accoutrement, mais je ferai de mon mieux pour mener cette séance d'entraînement à bout avant de tenter quoi que ce soit avec elle. Elle fit ses vingt squats et se tourna vers moi, essoufflée.

— Bien, on passe au prochain exercice maintenant. Mets-toi à quatre pattes, les genoux sous les hanches, les épaules au-dessus des coudes.

Ses lèvres s'étirèrent. À quatre pattes. Bien sûr... Mais à cet instant, je n'avais pas l'esprit mal placé, contrairement à elle !

Elle s'exécuta, enthousiaste, et j'étais certain qu'elle faisait exprès de remuer son popotin en écartant un peu trop les jambes.

— Comme ça ?

— Non, grognai-je, tes genoux doivent faire la largeur de ton bassin.

Elle remua un peu, sans corriger sa posture pour autant.

— Comme ça ?

— Non.

— Tu ne m'aides pas en restant à cinq mètres loin de moi !

J'inspirai en me rapprochant d'elle. Je m'agenouillai derrière elle pour resserrer ses jambes, mais elle poussa brusquement ses hanches vers les miennes et son cul dodu heurta mon entrejambe. Ma queue tressaillit. Petite peste !