Congo Brazzaville 🇨🇬
***Dans la peau de Nafir***
Maman: VOTRE PÈRE...
Peter: oui papa a fait quoi?
Elle souffle et se met à pleurer.
Je me dirige vers elle.
Moi: oui maman pourquoi tu pleures ?
Elle : votre père s'est rétabli et il a demandé à nous voir.
Sandra : mais c'est génial ça maman, pourquoi pleures-tu ?
Elle : c'est l'émotion les enfants, je suis tellement heureuse, allons y vite.
On se dirige tous vers les voitures,
Moi, Sandra, maman et Chance allons dans la première voiture et Calvin, Peter et Alex dans la seconde.
Quelques minutes après on arrive à cette clinique, je suis tellement heureuse qu'il se soit remis sur pied , cet homme a tellement fait pour moi. On se précipite vers le couloir et on tombe sur Teddy le médecin familial.
Maman : Teddy comment va mon mari ?
Peter : oui Teddy il s'est réveillé ?
Teddy : calmez vous, Eric s'est réveillé il y'a une heure, et son état s'est stabilisé, il se porte bien et il a demandé à vous voir.
Sandra : aah gloire à Dieu ( elle souffle).
Moi : c'est vraiment génial!
Teddy : vous pouvez rentrer mais pas plus de trois personnes à l'intérieur.
Maman : je vais rentrer.
Chance et Peter : on vient avec toi.
On se retrouve Alex, Calvin, Sandra et moi en salle d'attente, à le voir j'ai l'impression qu'il ne va pas bien, c'est vrai que son départ pour le Canada s'est mal passé avec son père et cela a un peu dégradé leur relation. Je me pose sur un banc et patiente jusqu'à ce que je vois la porte de la chambre de papa s'ouvrir et laisser place à Peter et chance qui sortent.
Peter : la vieille ne veut plus laisser son mari .
Sandra : normal, Nafir tu viens? Allez ma puce allons voir ton papy( s'adressant à sa fille Natacha).
Je l'a suis derrière et referme la porte, après être rentrés, on tombe sur papa en pleine forme, si l'on m'avait dit qu'il est ici après avoir reçu une balle, je n'aurai jamais cru, il a un sourire large lorsqu'il voit.
Natacha : papy ( elle lui sotte au cou) .
Sandra : Natacha fais attention, grand père est encore souffrant. Papa comment tu te sens?
Lui: laisse ma petite princesse tranquille Sandra, je vais en super forme ( sourire). Et toi ma fille approche.
Je m'approche de lui.
Lui: quand est-ce t'es rentré ?
Moi: hier matin papa.
Lui: aussi rapidement.
Moi: j'ai eu de l'aide de la part de quelques amis, mais toi t'es sûr que ça va ? T'as pas mal quelque part?
Lui : non t'inquiètes ma fille, je suis un Davenport, et rien ne va me déstabiliser.
Maman : on en reparlera de ça, toi Eric, si tu veux te tuer, dis le nous au lieu de nous inquiéter pour rien.
Sandra : papa on croit que l'on va te laisser te reposer.
