Congo Brazzaville 🇨🇬
**Dans la peau de Nafir**
Je me réveille paisiblement, alors qu'en ce moment j'ai un tas de problèmes mais rien à faire, ma nuit à été la plus calme depuis des semaines et je remercie Dieu.
Je me lève, m'étire et direction salle de bain où je fais ma toilette, après avoir terminé, je m'habille d'un jogging blanc que j'enfile avec un débardeur, je passe un long manteau kaki par dessus et enfile une paire de baskets. Je descends et les trouve tous en bas comme d'habitude. Calvin est le premier à me remarquer.Calvin : hey la miss!
Moi: hello la famille!
Peter : salut !
Chance : salut !
Sandra : ça va chou?
Moi : ça va bebounet et toi?
Elle : ça va diamant.
Chance : t'es sérieuse là ?
Sandra : bah quoi?
Chance : on est ensemble depuis un long moment et je ne t'ai jamais entendu m'appeler par ses surnoms et aujourd'hui pour Nafir tu dévoiles la bibliothèque.
Sandra : oh que mon mari est mignon.
Moi: oui je trouve aussi.
Chance : non mais sérieux je te boudes.
Elle essaye de l'embrasser sur la joue mais il détourne la tête.
Moi: mais t'es sérieux là frère ? Franchement ça pue la jalousie à des kilomètres .
Je pars m'assoir à côté de Peter.
Moi : sinon ça dit quoi?
Chance : il y'a juste papa dont l'état s'est amélioré et qui veut reprendre sa campagne électorale.
Moi : ah ouais, donc il ne blaguait pas hein?
Peter : tu le connais.
Sandra: après tout monsieur Davenport a parlé.
Calvin : ouais je vois d'où Alex tire son entêtement.
On rigole tous vers Alex, qui sourit à la suite de cette remarque, oh qu'il est mignon, nos yeux se croisent, ce qui n'était pas le cas depuis tout à l'heure il a la tête sur son téléphone, son regard est si spécial que d'habitude non ne me dîtes pas que la meuf elle délire ou elle est en sang sur le gars non, son regard est si brillant, ça un mélange de tristesse, de colère, d'amour, de passion, oui j'arrive à le lire dans ses yeux.
Sandra : euh on dérange ?
Je me rends compte qu'on était entrain de se fixer tous deux assez longtemps qu'on a attiré les regards sur nous.
Moi : non non.
Dis-je toute gênée.
Calvin: et maman qu'est ce qu'elle en pense ?