***Dans la peau de Nafir****
On venait de rentrer chez nous et notre weekend était tellement bien, Alex s'est vite intégré auprès de mes parents, il a bien mené son rôle de beau-fils, il a aidé mon père quelques fois aux champs jusqu'à aller suivre ma maman dans ses réunions de mutuelles des femmes du village.
En rentrant j'ai raconté ce que j'avais appris à Alex, et qu'elle a été ma surprise lorsqu'il m'a dit qu'il le savait aussi, même mes beaux parents le savaient aussi.
Lui: t'as vu comment tes parents t'aiment beaucoup?
Moi : oui trésor.
Lui: je sais qu'ils ne voulaient pas que tu le saches mais t'es devenue assez grande,
Moi: savoir quoi?
Lui:la somme que tes parents avaient pris c'était pour tes frais scolaires.
Moi: comment ça ?
Lui:Tu m'as toujours dit que t'avais fait les meilleures écoles privées de la ville malgré votre situation ?
Moi : oui
Lui: cette somme c'était pour payer tes frais d'écolage dans ses différentes écoles, après tes parents voulaient que tu aies un avenir comme tu le désirais voilà pourquoi ta mère a fait promettre à la mienne de t'aider à réaliser tes rêves.
Moi: mais c'est moi qui ai demandé à ta mère que je voulais reprendre les études .
Lui: oui mais ma mère le savait déjà elle attendait juste que cette décision viennes de toi pour que ça fasse naturel .
Moi: woah je ne sais pas quoi penser.
Lui: je suis juste fier de mes beaux parents, ce sont des gens honnêtes et je vais faire de mon mieux à ce qu'ils ne manquent de rien.
Moi: moi aussi, ils sont tellement incroyables mes parents.
Lui: Nafir tes parents sont des héros.
Moi:je le penses aussi.
Moi:Hey mais qu'est-ce que tu fais??
Lui: qu'est -ce que t'as cru, ça fait 4 jours au je ne t'ai pas touché, je te dis que je me contenais de fou chez tes parents mais là je suis au bout.
Lui:Alex la petite dort en haut.
Lui: c'est parfait on a du temps pour se retrouver sans être déranger, nafir me prives pas de toi ce soir, je suis au bord de ma vie je vais craquer et je sais que toi aussi tu meurs d'envie.
Moi: même pas, me mets pas dans tes choses.
Lui: toujours à jouer la timide, tu penses que je ne te voyais pas lorsque tu me mattais de fou chez tes parents.
Moi: j'avoue parce que tu m'appartiens uniquement.
Lui: voilà ! Et moi j'accepte.
Moi: ah ouais ?
Lui: en ce moment même si tu le demandes d'être ton esclave je le serai.
Moi: ah ouais t'es mon esclave alors.
Moi: et toi t'es ma mairesse
***lendemain matin****
Lui: Salut ça va?
Les rayons du soleil me frappait à peine, que je sentais une agréable odeur
Moi: ouais ça va mais qu'est-ce c'est ?