Chapitre 64

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Nda : I'm back bitches ! Did you miss me bitches ? *hair flip* (j'espère que vous avez la ref les enfants ! Parce que pour une fois, elle est faite exprès)

Je reprends enfin du service (avec deux jours de retard pour cause de petit voyage de dernière minute chez une amie qui n'a pas pu venir à la maison). Bref, comme je travaille plus pour le moment (jusqu'à lundi prochain, youpi !), j'ai mes journées complètes de libres pour bosser sur cette fic, donc je suis apte à poster tous les jours de nouveau ! En attendant, profitez de ce nouveau chapitre les enfants, j'vous aime ❤️

PS : je prends 2 sec pour remercier Wattpad, parce que grâce à cette appli j'ai rencontré deux des personnes les plus importantes de ma vie. On s'est parlé pendant plus de 3 ans avant de se voir, et je remercie chaque jour le ciel d'avoir placé ces filles sur mon chemin. Yell-AaA et Lykos_Luna , si vous passez par là... j'ai adoré vous voir en vrai ❤️


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– Axelle !, crie Tom depuis l'entrée. Je crois que le colis est pour toi !

J'entends la porte se refermer derrière lui et pousse un soupir. Là, tout de suite, je ne peux pas venir le récupérer : je suis en plein changement de couche, si je ne le fais pas maintenant, la suite va être catastrophique.

Matthew a l'air très fier de lui, il gazouille en bavant gaiement dans ses doigts. Il a tellement grandi depuis février ! Nous sommes à présent début juillet, le petit garçon va sur ses cinq mois, il est beaucoup plus éveillé. Il attrape les jouets qu'on lui tend, les doigts aussi, et parvient même à se retourner sur le ventre.

– Allez viens là, je dis en attrapant l'enfant du bout des bras.

Il me gratifie de quelques babillages avec un sourire ; ses grands yeux bleus si semblables aux miens me fixent, plein de curiosité. Moi qui pensais qu'il perdrait son duvet roux au fil du temps, ça a plutôt été l'inverse : il a tellement de cheveux à présent que je suis sûre qu'il y en a moins sur mon crâne que sur le sien !

Tandis que je m'occupe de changer la couche de Matthew, je sens une goutte de sueur couler dans mon dos. Bon sang, j'avais oublié à quel point il peut faire chaud dans le sud de la France, surtout en plein été ! Également, le chant des cigales est assourdissant, je me souviens que ça avait beaucoup étonné Tom, la première fois qu'il est venu à Marseille.

Je jette la couche sale dans la poubelle prévue à cet effet, puis dépose Matthew dans son lit. Franchement, ce bébé est plutôt agréable à vive : il n'a pas mis plus de deux mois à faire ses nuits complètes, et même pour les siestes, il n'est jamais compliqué de l'endormir. La preuve, il s'est allongé sur le dos et babille.

Je prends soin de fermer les stores aux baies vitrées, ne laissant qu'un filet de lumière passer. On dit qu'il est mieux pour les bébés de dormir dans une demi-pénombre que dans le noir complet. Je referme alors la porte derrière moi et remonte le couloir en direction du salon.

Tom est là, un gros carton dans les bras et un sourire éclatant scotché sur le visage.

– C'est pour toi, annonce-t-il en donnant un coup de menton vers le colis.

– J'ai cru comprendre, je me moque gentiment.

Il hausse les épaules et me tends le paquet à bout de bras. Je le récupère, manquant m'écrouler sous le poids.

– Bon sang, ils ont foutu quoi là-dedans ? C'est plus lourd que mes...

Le reste de ma phrase meurt au fond de ma gorge. J'allais comparer le poids à celui de mes livres, mais... Oh, seigneur ! C'est évident !

HiddlestonerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant