— Tu me veux quoi?
— Déjà, il faudrait qu'on se présente pour commencer. Je m'appelle Mary Weaver, je viens d'Illinois. Plus exactement de Milford, je m'occupe de base d'un atelier de dessin mais puisqu'on m'a embauché ici. Je vais devoir le suspendre jusqu'à la fin de mon contrat. Finissais-je pour lui laisser la parole.
— Evan Skinner. Si c'est tout ce que t'as à me dire tu peux partir.
— Bien sûr que non! Il faut qu'on fasse d'avantage connaissance. Dis-je en m'asseyant sur le côté opposé du canapé.
— Qui t'as dis de t'assoir sur mon canapé? Demande t-il en me foudroyant du regard.
— Ma conscience, et puis si il y a un endroit à proximité ou je peux m'assoir je m'assois.
— Va te faire foutre. Je m'en fous de se que te dit ta conscience.
Quel connard! Toujours aussi direct.
— Tu m'as dit d'être honnête alors je vais te dire quelque chose. J'en ai aussi rien à faire de ce que tu me dis. Et arrête de te comporter comme un connard. Lui répondais-je sûr de moi.
Surpris de mon soudaine élan de cofinance, je pouvais remarquer que mon partenaire qui regardait depuis tout à l'heure devant lui, venait de me foudroyer du regard avant de regarder dan le vide comme juste avant.
— T'es beaucoup plus violente avec les mots par apport à avant. Je me disais bien que t'étais beaucoup trop bête et naïve, c'est pas possible que ce genre de personne existe.
C'est une image de mon faux moi très abstrait mais je pense un peu la même chose.
— Malheureusement, c'est comme ça qu'on m'a toujours vu donc à par ma famille, toi et Skyler qui voyez mon vrai caractère. Les autres me voient comme une fille gentille et un peu crédule. D'ailleurs j'aimerais que tu gardes ça pour toi, j'ai une réputation à tenir.
— Et pourquoi je devrais le faire? Je ne t'aime pas et tu me les brises depuis que je te vois. Dit-il sérieusement.
Je devais me douter que ça allait arriver un jour ou l'autre. Mais j'avais oublier à quel point l'Homme est fourbe et est possédé d'une méchanceté que nul être vivant a. Ça me soûle de ne pas pouvoir ignorer tous mes problèmes, c'est chiant.
— Je sais que tu ne m'apprécies pas. Mais à quoi ça va t'apporter même si tu veux me faire virer, cette façon de faire est vraiment lâche.
— Je sais mais tout les moyens sont bon si c'est pour éliminé un ennemi, tu ne penses pas?
Ennemi? Il me voit vraiment d'une drôle de façon.
— Si c'est dit comme ça, oui tous les moyens sont bons. Après tout un ennemi reste un ennemi.
Après ma réponse, mon partenaire qui semblait toujours indifférent, venait de se perdre dans ses pensés. Je me demande bien à quoi il a pensé?
— Que penses-tu des gens? Demande t-il en me regardant, d'un regard profond et sombre.
Je sais pas si je peux réellement lui dire le profond de ma penser, mais étrangement quand je lui parle, j'ai l'impression qu'il me comprend vraiment. Mais qu'est-ce que je dis?... Un étranger à qui je parle seulement depuis une quinzaine de minutes ne peux pas me comprendre. Si même mes proches que je connais depuis ma naissance ne me croient pas, ça peut pas être lui qui va me comprendre. Je suis stupide je lui ai déjà trop montré de ma personnalité et de mes sentiments. Je vais juste répondre honnêtement sans trop dire le fond de ma pensée.
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Dangerously attractive [TOME 1]
Ficción General𝐌𝐀𝐑𝐘 𝐖𝐄𝐀𝐕𝐄𝐑 est une jeune adulte de vingt-quatre ans, au secret lourd. Elle s'occupe d'un atelier de dessin dans lequel elle y met toute son énergie et son savoir. Mary est d'apparence calme, très gentille même un peu trop parfois et toujo...