Zoro est un Yakuza du clan des Qwan Tao, sa réputation n'est plus à faire, mais pourtant, il semble n'avoir qu'un défaut à son armure. Une seconde d'hésitation lors d'une mission et sa vie bascule...
Vinsmoke Sanji désire se faire un nom, il est prê...
Hey ! Alors je préviens, ce chapitre est un peu long et il vous faudra surement revenir aux précédents pour ne pas être perdus (psk même moi je le suis 😭) MAIS si je ne le mettais pas en place, ça n'aurait pas fait l'enchaînement que j'attendais pour Kenzo. ET SURTOUT, j'en poste un 2e ET un 3e bien plus importants dans la foulée.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Tokyo, pdv Kenzo
-Bye...
-Bye .. souriait-je en partant, mon blouson à la main tandis que je refermais la porte sur une beauté aux cheveux blancs qui me souriait depuis son lit.
La porte claqua et je ne pus m'empêcher de m'adosser à celle-ci en soupirant.
Je crois que j'ai jamais passé une nuit aussi heureux.
Un sourire niais collé au visage, je partis dans le couloir en me demandant qu'est-ce que j'avais bien pu faire récemment pour mériter d'avoir rencontré cette fille aussi géniale.
Le retour fut rapide jusqu'à chez moi.
Comme d'habitude, je pris le journal sur mon palier pour avoir des nouvelles du monde. Enfin LES journaux : depuis qu'il y a autant de mouvement en ville, j'en ai au moins 4 différents chaque matin. De toute façon j'ai aussi Misaki et Chaz qui m'aident bien. Ils ont de la chance ces deux-là d'avoir la position qu'ils ont...
Cependant ce matin je ne pris pas la peine de lire les news tout de suite. Je commençais par faire couler mon café tout en repensant à cette nuit. Un stupide sourire niais toujours sur le visage.
Le soleil se levait à peine.
Je m'atablais devant les premiers rayons du matin, serein. Son visage d'ange occupait toute mes pensées. Et le souvenir de la sensation sur mes lèvres.. je sentais mes joues en rougir déjà.
Mais en face, au coin du frigo était agrafé une note sur une page du calendrier. Je failli recracher tout mon café d'un seul coup :
-Merde ! Le dossier pour la fac c'est aujourd'hui !!!
Sans plus de cérémonie je reposa bruyamment ma tasse sur la table en bois et repris ma veste sur l'épaule.
Et le sac sur le dos, je partis aussitôt en claquant la porte
Quelques dix minutes plus tard, j'arrivais enfin dans l'amphithéâtre, essoufflé de ma course contre la montre.
Je pris place comme d'habitude vers mes collègues d'amphi, un peu à la hâte. Ils me dévisageaient longuement, comme s'ils avaient vu un truc incroyable.
Je préfère dire "collègues" parce que pour moi, dire que c'est mes potes ce serait aller trop loin. Chaz est un pote, il vaut 100 fois mieux que tout ces clowns en chemise cintrée et jupe plissée, qui vous regardent de haut parce qu'ils lisent Le Monde en anglais. Non eux, disons que je les aime pas mais je les déteste pas : je les tolère. Et ils me tolèrent aussi donc ça me convient comme ça. Je ne pourrai jamais être avec eux comme je suis vraiment, ils ne comprendraient pas.
