La bibliothèque semblait trop vide, trop calme, alors que des gens révisaient. Pourquoi se donner un rendez-vous dans l'université un vendredi, alors qu'ils n'avaient pas cours. Un seul motif valable. Il devait travailler cette dissertation sur ses sciences sociales le désolé à un plus grand point, en face de lui Mitsuya lisait un livre de couture. Quelques étudiants passaient de temps à autre devant la table, son ordinateur affichait toujours cette même page, son cours qu'il ne comprenait pas, cette question illogique.
Des chuchotements ainsi que des messes basses laissaient un bruit de fond plutôt normal, alors que d'autre avait opté pour le port d'un casque ou d'oreillette qui devait aider à la concentration. Baji soupirait. Le bruit parasite des conversations sur une soirée l'énervait en tout point, lui qui essayait de comprendre sa dissertation.
Il soupira, trop fort, visiblement, ce qui fit tiquer les autres qui le fusillèrent du regard. Le garçon en face de lui semblait avoir capté la détresse de son ami.- « Je ne comprends rien... » dit-il un peu trop fort, attirant la colère des autres étudiants qui lui firent signe de se taire en plaçant leur index près de leurs lèvres, soufflant d'exaspération face à ce garçon. « Vous chut. » il plaça ses mains sur la table, lançant ainsi son stylo, et fit reculer la chaise fortement contre le parquet. Un bruit sourd se fit entendre, cette fois, Mitsuya leva les yeux hors de son livre, retirant son casque de ses oreilles.
- « Qu'est-ce qu'il se passe toi ? »
- « Pourquoi j'essaie même... je suis nul. »
- « Baji... » comment était-il censé réagir, l'ébène n'était pas si bête que ça, il avait juste du mal à comprendre, en même temps, ce professeur abusait. Pendant une heure trente il ne faisait que balancer un tas de parole à prendre en note. Donnant toujours des travaux illogiques.
- « Je n'aurais pas dû me lancer dans le markéting... » il passa ses mains sur ses joues, les tirants ainsi fortement, ce qui fit apparaître un sourire presque effrayant et un peu moqueur sur son visage. Le tas de manuel à côté de lui, ne lui servait pas à grand-chose, en plus de ça, il devait présenter un projet. Il n'aurait pas dû arriver en cours d'année.
- « Mais il ne doit pas t'aider ton tuteur ? »
- « Qui ? Chifuyu ? Si, mais je voulais arriver avant pour essayer d'avancer tout seul... » il souffla, pourquoi il ne comprenait pas, ou pourquoi ce n'était juste qu'à moitié... « Mais j'y arrive pas... ça me soûle. » il lança son stylo, sous le regard médusé de son ami.
- « Attend-le alors. » il posa son livre, et fouilla dans son sac après quelque chose. « Café ? » Baji finit par hochait la tête refermant son livre, poussant son ordinateur sur le côté pour regarder son téléphone. Le temps semblait si long...
- « Pff... vie de merde... » se chuchota-t-il alors que Mitsuya finit par se lever.
- « Ça va allez tiens le coup... je reviens bouge pas. » il frappa l'épaule de son ami qui tirait une tête monstrueuse et dépité, pour sourire.
- « Comme si je pouvais allez bien loin... » pouffa-t-il alors que le violet s'en allait vers les machines du couloir.
Il mastiquait son crayon, cherchant dans son sac de quoi grignoter et son chargeur tout en mastiquant un pauvre crayon à papier... pourquoi il ne comprenait cette foutue question que tout le monde avait compris. Ses notes papiers étaient illisibles, son ordinateur affichait les trois quarts de son cours, et... est-ce qu'il avait réellement compris ce que le professeur avait dit ? Baji souffla, laissant son poing s'écraser sur sa joue jouant avec quelques touches de son ordinateur portable pour replacer ses dossiers sur son bureau.
Au bout de cinq minutes d'absence Mitsuya arriva un léger sourire aux lèvre, accompagné de son bleu qui semblait avoir chaud vu la couleur de ses joues. Espérant que l'inspiration et la motivation lui revienne, il préféra mastiquer cette graine de tournesol plus que mâchée avant de la mettre dans un papier.
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𝘓𝘦 𝘴𝘰𝘯 𝘥𝘶 𝘑𝘢𝘻𝘻 | ᵇᵃʲⁱᶠᵘʸᵘ ᵈʳᵃᵏᵉʸ ᵐⁱˢᵗᵘᵏᵃⁱ |
أدب الهواةLe Black Trombman c'est un peu comme un lieu magique aux douleurs et aux douceurs un peu parasites. Succomberez-vous a cette ambiance jazzy-rock, pour découvrir l'amour sous un autre décors ? . . . Bon... Voilà, après réflexion... Nouvelle fictio...