𝐈𝐈. 𝐬𝐯𝐠

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𝗣𝗿𝗶𝗻𝗰𝗶𝗽𝗮𝘂𝘅 𝗽𝗿𝗼𝘁𝗮𝗴𝗼𝗻𝗶𝘀𝘁𝗲𝘀 : 𝗟𝗼𝗹𝗮 𝗛𝗲𝗿𝗻𝗮𝗻𝗱𝗲𝘇 & 𝗬𝗼𝘂𝗻𝗲̀𝘀 𝗗𝗲𝗺𝗯𝗲́𝗹𝗲́

𝗣𝗿𝗶𝗻𝗰𝗶𝗽𝗮𝘂𝘅 𝗽𝗿𝗼𝘁𝗮𝗴𝗼𝗻𝗶𝘀𝘁𝗲𝘀 : 𝗟𝗼𝗹𝗮 𝗛𝗲𝗿𝗻𝗮𝗻𝗱𝗲𝘇 & 𝗬𝗼𝘂𝗻𝗲̀𝘀 𝗗𝗲𝗺𝗯𝗲́𝗹𝗲́

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𝗟𝗼𝗹𝗮 𝗛𝗲𝗿𝗻𝗮𝗻𝗱𝗲𝘇

Remontant mon sac sur mes genoux, je me pinçais les lèvres en n'osant pas tourner ma tête vers Younès qui venait de s'arrêter devant mon immeuble.

- Bon... Bah merci. déclarais-je finalement pour couper le blanc qui m'oppressait.

Younès - Y a pas de quoi, ton chez-toi était sur ma route. m'indiquait-il en me souriant, sa tête tournée vers moi.

Il était vraiment, vraiment très beau.

- Je pense que notre idée de cadeau a plu à ta sœur. renchérissais-je, ne voulant pas rentrer chez moi et quitter Younès.

Younès - Faut croire, elle avait l'air contente. rigolait-il doucement, me faisant rougir direct.

Il avait un beau rire aussi.

- Tiens, je te rends ta veste au fait-

Younès - Non vas-y garde la, ce serait con que t'attrapes froid en traversant les dix petits mètres pour rejoindre ton immeuble. je pouffais de rire en remontant une de mes mèches à mon oreille, attirant le regard du métisse dessus qui se tut.

- Au pire... T'as qu'à me raccompagner et je te la refile au pas de ma porte. En plus, j'ai mal aux jambes, tu pourrais me porter Youyou.

Younès - Tu me casses la tête avec ta sœur à m'appeler comme ça. grognait-il en passant une main sur son visage avant de monter le levier de vitesse et de tourner la clé dans le contact. Vas-y on fait ça vite, j'ai entraînement demain.

- Oh non, si t'es fatigué tu peux y aller, c'est déjà sympa de m'avoir déposé.

Younès - T'inquiètes, ça va le faire. Mais on fait vite.

Je hochais de la tête en me détachant tout comme le basketteur amateur et sortais de la voiture à ses côtés. Je passais à peine mon badge en dessous du digicode que Younès ouvrait la porte d'entrée en grand avant d'attraper le dessous de mes cuisses pour me faire basculer à l'horizontal.

Retenant un cri de peur, je posais ma main sur mon cœur, les yeux ouverts en grand alors que de son côté, le Dembélé n'avait pas l'air plus atteint que ça par son geste, montant simplement les marches de mon immeuble pour accéder au quatrième étage.

- T'as vu, je te fais un post-entraînement là. plaisantais-je en me permettant de rouler un bras autour de son cou, calant une main sur le torse de Younès pour me tenir à quelque chose.

𝘣𝘦𝘴𝘵 𝘰𝘧Où les histoires vivent. Découvrez maintenant