New York est une ville paisible. Sous la protection des agents du New York Police Departement, rien ne semble pouvoir troubler l'équilibre de la métropole géante et pourtant lorsque les évènements s'enchaînent et que le gouverneur se retrouve en dan...
Bonjour tout le monde ! Je vous retrouve pour un petit chapitre bonus j'espère qu'il vous plaira. J'ai testé un site pour créer des conversations par SMS en ligne vous me direz si c'est plus agréable pour vous a lire si certains veulent je peux vous donner le lien du site bien entendu.
Je sortis une voiture du garage et laissai le volant a mon référent. Je me chargeai d'allumer la radio et de régler les fréquences. Vance devait avoir repris le commandement puisqu'elle donnait ses ordres. Je lançai notre message radio de début de patrouille :
« 1022 et 1034 deviennent la patrouille 2234. Début de patrouille »
Un simple «Reçu » fut notre seule réponse. Je me tournai à nouveau vers Jones.
- Il faut que je demande au lieutenant Vance quel secteur de la ville nous prenons ?
- On part en patrouille libre, dites seulement ça à Vance .
- En radio ?
- Non envoyez lui un SMS.
- Je n'ai pas son numéro.
- Prenez mon téléphone.
Il tapa son code et me le tendis. J'ouvris les contacts et cherchai celui de Vance. Je remontai donc aux V et effectivement il y avait bien un contact « Vance » avec un emoji des moins respectueux, ce qui m'exaspérai au plus haut point mais je ne me permis aucun commentaire. Officiellement cet odieux individu était mon supérieur hiérarchique. Je cliquai sur le contact et copiais le numéro sur mon propre téléphone pour envoyer un message.
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Je verrouillai mon appareil et me tournai vers Jones.
- C'est bon pour elle.
Il me répondit à mi-voix d'un ton totalement désintéressé.
- OK.
Pendant un long quart d'heure, nous avons tourné dans les rues de New-York dans un silence de mort. Mes pensées étaient tournées vers la capitaine. Je ne savais pas ce qu'il se passait à la mairie mais j'aurais aimé être avec elle, ou du moins qu'elle ne soit pas seule. Au moment où je songeai qu'elle était peut être rentrée au commissariat et que je m'inquiétais pour rien, la voix du commissaire retentit en radio.
« A toutes les unités ! Je veux toutes les patrouilles devant la mairie immédiatement ! »
Je lançais un bref « Reçu » et Jones lança la voiture à toute vitesse sur la route. En cinq minutes nous étions devant le bâtiment. Deux patrouille composées d'agents que je ne connaissait pas et le commissaire étaient sur place. Fou de rage. Il hurla aux agents présents.
- 28, 04 et 06 vous venez avec moi, 51 vous rentrez avec 34 au poste de suite prendre les appels et gérer l'accueil, 47 et 32 vous bloquez la rue à gauche personne ne passe et surtout pas les journaux, aucune photo et vous ne répondez pas aux questions. 77 et 84 pareil à droite. 29 et 22 vous restez devant la mairie et si quelqu'un arrive à franchir les barrages sans autorisation vous neutralisez peu importe qui c'est.
J'avais prié toute la matinée pour avoir un peu d'action mais je n'en demandais pas tant...
