Bonjour bonjour ! Comment allez vous ? Je vous retrouve pour un nouveau chapitre où vous allez apprendre quelques petites choses. Comme promis c'est notre cher Chavez en média ! Nous en sommes au chapitre 8 déjà et un petit bonus vous attend après le chapitre 10 (oui je tease totalement ha ha). Sur ce, bonne lecture à vous des bisous ! Attention ce chapitre comprend un langage assez vulgaire.
Média : Chavez
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Chavez a interrogé les nouveaux venus.
- Il se passe quoi ?
L'agent qui se trouvait à la droite des deux hommes répondit
- Ca a dégénéré là haut, ils ont 02 en otage et ils veulent des armes et de quoi se barrer. Ces deux types apportent ce qu'ils ont demandé pour libérer la capitaine Evans. Ils ont demandé la même chose que la dernière fois en résumé. Vous devez les monter jusqu'au commissaire ils sont au deuxième.
La dernière fois ? Je ne comprenais rien mais n'ai pas ouvert la bouche. Chavez a un peu pâlit.
- On sait comment elle va ?
- Blessée apparemment mais pas gravement.
- Merde...
- Pour ça qu'il faut qu'on apporte vite ces putains d'armes qu'ils la relâchent.
- Vous avez raison, on y va Brooks ?
J'ai acquiescé.
- Je vous suis.
Nous avons pris un sac chacun et sommes montés dans les étages. Une fois au second, nous n'avons pas eu à les chercher longtemps, dans le couloir même se tenaient trois hommes, dont le maire, avec un revolver chacun. La capitaine était là également, au sol et les mains liées, sans surprises. Hormis une lèvre en sang et quelques bleus au niveau du visage ainsi qu'une plaque bien rouge sur le haut de son bras, à l'endroit probablement où ils l'avaient attrapée elle ne paraissait pas gravement blessée. Le commissaire, Vance , Alost, Lévy ainsi que 04 se tournèrent vers nous au moment même où nous sommes entrés dans la pièce. Le commissaire est immédiatement venu nous prendre les sacs et les a ouverts. Il s'est tourné vers les trois hommes.
- Deux fusil, des munitions et trois radios, tout est là on a rempli notre part du marché. On va poser les sacs au sol et tous se mettre contre le mur, arme en main mais personne ne tirera à l'intérieur de la mairie sauf si vous ouvrez le feu, comme convenu. Vous récupérez vos sacs et vous allez chercher vos bagnoles en bas. Quand à la capitaine vous la laissez ici sans la toucher sinon on tire, je vous rappelle qu'on est deux fois votre nombre. Si vous ne respectez pas votre part du contrat mes agents ont l'autorisation de tirer. Je vais donner les ordres en bas pour qu'on vous laisse les dix secondes négociées pour vous barrer avant qu'ils vous prennent en chasse on est bon ?
L'un des hommes a grommelé.
- Ouais c'est bon on va récupérer les sacs et elle on vous la laisse ici comme prévu de toute façon elle va pas pouvoir marcher. Par contre un de tes agents va nous accompagner une arme pointée sur lui jusqu'à ce qu'on soit dans les bagnoles sinon vous allez nous la mettre à l'envers dès qu'on sera sorti de la pièce.
Le commissaire a réfléchi quelques secondes.
- Très bien mais deux agents suivront et si jamais vous jouez aux cons vous allez le regretter amèrement.
- Écoute nous on en a plus rien à foutre, ce qu'on veut c'est se barrer c'est tout.
- Bien, qui vous comptez prendre ?
- Lévy.
Vance a eu un rire méprisant.
- Vous avez peur en fait. Vous savez très bien que c'est un tireur d'élite.
- Te moques pas ne nous Vance , vous avez mis les meilleurs tireurs ici hormis les deux qui viennent d'arriver et que j'ai jamais vu une arme en main. Dans tous les cas tu crois qu'on sait pas comment vous tirez Garcia et toi sérieux ? Ou Alost ? Et encore plus le commissaire ? Si on fait un pas de travers on peut clairement se prendre une balle dans la tête même si vous tirez les yeux fermés alors arrête de nous prendre pour des imbéciles et redescend d'un ton avant que ta capitaine ne se prenne une balle dans la tête à cause de toi !
Le commissaire est intervenu.
- Vance ça suffit ! On est pas là pour régler des comptes personnels quand à vous, contentez vous de faire ce qui est convenu et il n'y aura pas de balle dans la tête de qui que ce soit c'est clair ?
Vance a hoché la tête et l'homme s'est contenté de soupirer avant de faire signe à Lévy d'approcher. Ce dernier a levé les yeux au ciel avant de donner son arme a Alost et s'approcher des trois malfrats les mains levées. Presque immédiatement, l'un des hommes l'a pointé avec son arme et les deux autres se sont saisis des sacs avant de sortir de la pièce avec Lévy, sur un signe de tête du commissaire, Alost et Garcia les ont suivis, nous laissant seuls avec la capitaine, Chavez, Vance, le commissaire et moi...
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Romance & Gouverneur
RomanceNew York est une ville paisible. Sous la protection des agents du New York Police Departement, rien ne semble pouvoir troubler l'équilibre de la métropole géante et pourtant lorsque les évènements s'enchaînent et que le gouverneur se retrouve en dan...