Un déménagement dans une nouvelle ville. Une nouvelle année de cours et de nouvelles rencontres. Surtout une en particulier... qui lui apprendra pas mal de trucs.
Comment les choses vont-elles évoluer ?
Univers alternatif (pas d'alter 👀)
Contient d...
— Aucune idée, mais au moins c'est fini, c'est le plus important, souffla Denki en s'étirant. J'ai bien cru ne jamais sortir de cet amphi.
Izuku ricana gentiment, amusé. Mais au fond, lui aussi était content que leur partiel d'histoire soit terminé. Il attrapa son téléphone qu'il alluma et envoya un rapide message à Katsuki, afin de le prévenir qu'il avait fini son partiel. La réponse du blond lui avait soutiré un léger sourire. Il éteignit ensuite son téléphone et se tourna vers Kaminari, lui demandant ce qu'ils allaient faire maintenant. Le blondinet bailla, une main devant la bouche.
— J'ai faim, pas toi ?
— Un peu, oui, répondit l'autre.
— Viens, on va à la librairie, ils vendent aussi des trucs à graille. En plus j'ai un truc à acheter aussi.
L'adolescent aux boucles vertes acquiesça d'un hochement de tête et se mit en route vers la librairie, en compagnie de son ami. Ils arrivèrent après une dizaine de minutes de marche. Denki alla dans la section roman et attrapa un livre en particulier, sous le regard attentif de son ami.
— C'est pas le livre dont parlait Eiji la semaine dernière ?
— Lui-même, répondit Denki, un grand sourire aux lèvres. J'me suis dit que ça ferait un bon cadeau de notre part, non ?
— De notre part... à tous les deux, tu veux dire ?
Denki hocha simplement la tête pour acquiescer, et un sourire étira les lèvres d'Izuku qui accepta immédiatement. Chacun donna la moitié du prix pour payer le livre, puis ils allèrent s'acheter de quoi se sustenter. Izuku prit un café noisette et un muffin aux amandes et à la framboise alors que Denki avait choisi un thé glacé et un donut au chocolat avec des vermicelles en sucre. Après cela, ils quittèrent la librairie et se dirigèrent vers chez Eijiro, tout en mangeant et buvant.
— Tu crois qu'il aimera ?
— Mais oui, pourquoi il n'aimerait pas ?
— Je sais pas... j'me posais la question.
— Il aimera, ne t'en fais pas.
Denki esquissa un petit sourire suite à ces paroles.
***
— Je sonne ou tu sonnes ?
— Bah peu importe, non ? Vas-y, sonne, toi.
— Mais je...
— Quoi ? T'oses pas ?
— Je sais pas...
— Bon. Je sonne, alors ?
— Oh s'il-te-plaît, oui ! Je crois que je stresse.
Izuku ricana gentiment avant de lui dire de se calmer, et de penser à respirer. Puis il appuya sur la sonnette et attendit quelques secondes, avant que la porte ne s'ouvre sur Eijiro. Ce dernier esquissa un sourire en les voyant et les laissa entrer.
— Salut Eiji, joyeux anniversaire, souffla Izuku en souriant.
— Salut ! Merci, p'tit buisson, sourit le roux.
Midoriya ricana et secoua la tête. Denki plongea ses yeux dans ceux de son copain et déglutit faiblement, avant de lui murmurer un joyeux anniversaire, faisant sourire le rouquin qui lui vola un baiser avant de le remercier. Le blondin se sentit violemment rougir.
— E-euh je... de rien, bredouilla-t-il ensuite.
Katsuki se posta à côté de son petit ami aux boucles vertes, avant de lui demander en chuchotant :
— Hé, qu'est-ce qu'il a, Pikachu ?
Midoriya leva la tête et planta son regard dans celui du blond, avant de répondre que Kaminari stressait juste un peu. Cela fit sourire Bakugo qui ricana avant que son copain ne lui fasse un léger coup de coude.
— Ris pas, c'est pas drôle pour lui, murmura-t-il.
Katsuki tourna la tête vers lui et ancra ses yeux dans le vert des siens. Il passa ensuite son bras derrière le dos d'Izuku et posa sa main sur sa hanche, le collant à lui. Midoriya détourna le regard, les joues légèrement rouges.
— J'me moquais pas, hein, t'sais ?
— Hum, si tu le dis, murmura l'autre. Hem, e-enfin bon... euh il y a qui d'autre sinon ?
— Ochaco et Shoto sont dehors, sur le balcon. Mina arrive bientôt avec Iida et Tsuyu. Sero avait un partiel aussi, il doit bientôt arriver je pense, répondit Eijiro en fermant la porte. Et les mecs, c'est pas que j'vous aime pas, mais svp, essayez de pas passer le reste de la journée et la soirée à vous sauter d'sus comme des lapins, vous serez gentils.
— Hé ! On sait se tenir, puis on passe pas notre temps à baiser, râla Bakugo, outré par les dires de son meilleur ami.
— Oh merde, on a perdu Izu, je crois, lâcha Denki avant d'éclater de rire.
L'étudiant aux éphélides se cachait le visage derrière ses mains, rouge de gêne. Il marmonnait des phrases que personne ne semblait arriver à comprendre. Katsuki leva les yeux au ciel, faussement désespéré par cette manie qu'avait son petit ami, alors que le rire d'Eijiro rejoignit celui de Denki.
Après un moment, ils se décidèrent à bouger vers le balcon, rejoignant ainsi la brune et le bicolore qui papotaient joyeusement.
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