Un pompier pour moi #Epilogue

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Son corps contre le miens, son parfum mentour, je referme la porte de mon appartement à coup de pieds, nous avons passer la soirée avec mes coéquipiers, mais ce soir, cette journée est un moments important, ça fait un an que nous sommes ensemble avec Romane. Mes lèvres sur les siennes, je ne l'ai pas lâcher depuis que nous sommes entrer dans l'ascenseur. Mes mains on parcouru son corps quand elle conduisait ma bouche ses poser sur sa peau quand la voiture étaitn arrêt. Nos vêtements tombe au fur et à mesure que nous pénétrons dans mon salon, je l'attrape sous ses fesses et la hisse contre moi, Romane enroule ses jambes autour de mes hanches, le tissu léger de sa culotte transparente me nargue, mais je sais que je me ferai engueuler pour avoir une nouvelle fois fichu en l'air un de ses fichus bout de tissu. Nos lèvres ne se quitte pas.Nous passons mon salon et arrivons dans ma chambre, chambre ou quelques affaires à elle s'y trouvent.
Nous avons laisser des affaires chez l'un et chez l'autre naturellement. Je lui ai fait une petite place pour ses culotte et chez elle pour mes caleçons.
Allonger sur le lit, je ne perd pas de temps, mon corps recouvre le siens. Je la vénère avec mes baisers, elle est ma déesse depuis le jours où j'ai foutu ma main sur son cul lors de l'intervention dans se foutu ascenseur et même avant, quand je la regardais entrer dans son bâtiment.
Je me retrouve sur le dos, Romane sur moi, je la regarde retirer son soutien-gorge, ses magnifiques seins devant mes yeux, je ne peux m'empêcher de les caresser. Ils sont à moi. Sa main caresse mon torse.

- Alors maintenant tu sait que je suis à toi.

- Je ne veux pas me réveiller se de merveilleux rêve.

Le reste de nos vêtements tombe, nus l'un contre l'autre, nous ne faisons qu'un après quelques minutes, quelques caresses. Comme à chaque fois nous atteignons l'orgasme,
Romane lover contre moi, je caresse sa peau douce, son parfum ma manquer.

- J'aime pas quand nous sommes séparer comme ça, dis-je.

- Je suis parti qu'une petite semaine.

- C'est déjà trop, dis-je. Tu t'es bien amuser ?

- Tu m'as manquer, mais j'ai pu me reposer, ajoute-t-elle en riant.

- Hum... je vais te fatiguer de nouveau alors.

- Tu est incroyable, mais j'ai passer une bonne semaine, très intéressante aussi. Apprendre de nouvelles techniques c'était bien.

- Temps mieux alors. C'est important d'apprendre de nouvel chose.

Je soupire.

- Je pourrait faire une place pour Maurice ici, dis-je.

Romane se redresse et se tourne vers moi.

- Pardon ? Tu veux que Maurice vienne la ?

- Et toi aussi d'ailleurs, dis-je.

- Est tu en train de me demander de venir vivre ici ?

- Oui, ou on pourrait se trouver une petite maison pour nous ? Enfin qu'est ce que tu en pense ?

- Je ne m'attendais pas à ça, me dit Romane.

- J'espèrais une réponse plutôt que ça, dis-je gêner.

Je me redresse dans le lit.

- Oh non non !

Romane se met sur moi, passe ses bras autour de mon cou, nos regards s'accroche.

- C'est juste que je ne m'attendais pas à ça, bien sûr que j'ai envie qu'on se trouve quelques chose à nous, mais tu est prêt à partager vraiment ta vie avec moi, je peut être chiante, bordélique, maniaque, je suis une lève tard, j'aime sortir autant que j'aime être chez moi, je suis chiante quand j'ai mes règles, tu est prêt à ça ?

- Tout me va, dis-je en souriant. Surtout si je peux trouver des soutifs dans tout les coins de la maison.

Romane m'embrasse après m'avoir frapper gentiment me bras.

- Alors trouvons nous une maison, mais je te préviens, pas de bébé tout de suite.

- Bien sûr, on se marie avant, dis-je en souriant

Romane se fige, j'ai envie de rire.

- Je vais faire comme si je n'avait rien entendu, marmonne t-elle.

Est ce que j'ai envie de l'épouser ? Oh oui bordel ! Comme je l'ai dit à mes amis quand elle était au toilette, c'est elle et personne d'autre, bien sûr ils en on fait tout un cinéma. Mais tant pis. C'est la vérité. Est-ce que j'en ai parler à sa mère ? Oui, c'était important pour moi, c'est une personne importante pour Romane.
Romane pose sa tête contre mon torse, ma main caresse sa peau, j'en suis accro, je me vois passer toute ma vie avec  elle...

Plusieurs jours plus tard, nous sommes appeler sur une nouvelle intervention au centre commercial, rien de grave, un ascenseur en panne, cinq personnes son coincer à l'intérieur. Le centre commercial est bomber en cette fin d'après-midi, moi qui espérait rentré tôt pour lui faire une surprise c'est raté, en quelques minutes les portes de l'ascenseur son ouverte, je me penche et mon regard est tout de suite attirer par la jeune femme qui se trouve être ma petite amie. Je sourit et garde pour moi la remarque que j'ai envie de faire. Nous sortons la jeune femmes avec le bébé en premiers, puis la vieille dame, son amie, Drew que je salue et pour terminer, j'attrape ma douce après que Henry l'ai porter pour que je l'attrape, habiller en jupe longue, tout mes souvenirs remonte. Mais cette fois-ci il est hors de question que quelqu'un vois sa jolie pair de fesses.

- Je te jure que je ne le fait pas exprès, me dit-elle en mordillant sa lèvres inférieure.

Je la regarde en souriant, bordel que j'ai envie de l'embrasser quand elle fait ça.

- Je te l'ai dit, je viendrais te sauver dans n'importe quel circonstances.

- Je t'aime Marshall si tu savais.

- Moi aussi je t'aime.

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