** chapitre 1

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Je me nomme Mina Lincol, j'ai 25 ans avec plein de charme je ne laisse pas les hommes indifférent. Je suis grande, mince avec des cheveux noirs, je suis beaucoup proche de ma famille. Mais depuis le malheur qui a frappé dans ma vie, ma famille m'a reniée, enfant unique je me sentais beaucoup seule personne ne venait me voir mes amis m'avaient abandonnée, ainsi que mon amoureux j'avais tout perdue maintenant je suis coincée ici à compter les jours, que dis je les années. Une voix me sort de mes pensées.

- Débout là dedans, tu as de la visite hurle la gardienne.

- Qui vient me voir?

- Sors et tu veras, petite sotte.

Je lui tend mes mains pour qu'elle me passe les menottes, je la suis dans la salle réservée aux visites. Je lève la tête et voit mon avocate, je prends place en la saluant.

- Salut Mademoiselle Lincol, j'ai une nouvelle pour vous. Commençe t-elle

- Elle est bonne ou mauvaise.

- plus ou moins, je vous rassure on aura gain de cause cette fois.

- Je vous écoute alors dis je impatiente.

- Eh bien votre dossier sera réouvert, on n'a eu un témoin qui est prêt à témoigner pour vous innocentez.

- Ah bon, comment est ce possible?

- Demain votre audience aura lieu à 7heures j'ai tout préparé le juge à longtemps étudier le dossier soiyez prête à l'heure. Termine t-elle

- Merci Maître Collins.

- Vous allez bientôt être libre et vous recomencerez tout à zéro je vous le promets. Je vous aiderez, á demain.

Elle me salue chaleureusement j'emboîte le pas de la gardienne regagner ma cellule, le coeur rempli d'espoir. Je suis couchée et perdue dans mes pensées.

j'imagine comment sera ma vie une fois dehors. Mes parents voudrons encore de moi?
J'ai perdu mon appartement je n'ai nulle part où aller. Dans ces situations là je préfère rester à la prison.

La sonnerie me fait sursauté, il est l'heure d'aller effectuer des travaux manuels dans la cour, je me place devant ma cellule tout en suivant la file indienne.

Je suis harcelée ici sans raison, j'ai beau me défendre c'est peine perdue , elles sont plusieurs à me ruer de coups si je ne leur donne pas mon repas. Il y a plusieurs clans ici . J'ai un fort caractère je ne me laisse pas marcher dessus, si j'ai survécue sans me faire violée par ces femmes hideuses c'est grâce à ce caractère. Je me fait toute petite pour éviter les histoires. Je prie chaque jour pour quitter cet enfer, si tout se passe bien demain je sortirais d'ici.
Adossé au mûr je depose mon outil de travail et reprends mon souffle les herbes ont beaucoup poussés.

-Eh toi !! Tu nous quitte à ce qu'il paraît. Me dit une fille.

Elle fait partie de celle qui me torture ici , elle est la soeur de la "Tigresse" la plus méchante femme que j'ai jamais connue elle est ici depuis 10 ans et personne n'ose dire un mot quand elle s'exprime. Je garde mon sang froid et continue à désherber.

- Ooh sale poufiasse, regarde moi quand je te parle. Continue t-elle

- Sinon quoi dis je en soutenant son regard.

j'en avais marre de cette fille, je la vois venir, elle me fait du rentre dedans mais je l'envois toujours sur les roses.

- Ce qu'elle me tient tête aujourd'hui la petite, c'est peu t'être dû a ton départ. Tu me repond?

- Je n'ai rien à te dire, laisse moi travailler j'ajoute irritée.

Elle s'approche un peu plus de moi, me plaque au mûr, et passe une langue sur ses lèvres. Comme elle me repugne

- Tu m'excites toujours quand tu me crie dessus petite, j'aime ta tenacité, ton caractère.

Elle m'embrasse de force et je la repousse violement.

- Plus jamais tu poseras tes sales lèvres sur ma peau. Espèce de sale idiote sans cervelle.

- Tu vas regretté ton acte ma jolie. Dit-elle en colère.

Je prends ma machette et m'installe pour terminer ce que j'avais commencé. La sonnerie met fin à ce travail qui m'a épuisée, je prends une douche rapidement et me rend au réfectoire après quelques minutes d'attente je prends un siège et fait un éffort pour manger cette purée de pomme de terre au poisson. Je déteste la nouriture ici je ne finis pas mon assiette, la voisine de face me demande si elle peu prendre mon reste j'hôche de la tête et elle s'empare aussitôt.

J'ai beaucoup maigri mais je m'en fiche, de toute les façons j'ai plus un homme dans ma vie. Celui que j'aimais de tout mon coeur m'a lâché à la moindre difficultée.
Je retrouve ma cellule tout en espérant que je sortirais d'ici au plus vite je ferme les yeux pour un sommeil bien mérité.

Deuxième chanceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant