Deuxième chance

** Chapitre 45

La journée se passe très bien, les filles chantent tandis que leur père joue du piano, julian ne cesse de gesticulé et de courir dans le salon tellement il est content, je m'amuse aussi a chanter et Lewis nous fait un grand sourire.

Nous restons dans cette ambiance familiale, les enfants nous apporte beaucoup, on n'essaye toujours de leur donné une bonne éducation.

Je les abandonne pour faire la pizza, je sais qu'ils ont tout donné dans ce mini spectacle, ils n'auront pas la force de venir m'aider comme on n'avaient tous prévu la veille. J'ai donné leur weekend aux employés.

Pendant que la pizza cuit lentement au four je faire cuire des pâtes pour julian. Je sens des mains à ma taille et des bisous sur mon épaule.

- Merci de m'avoir donné de beaux enfants, ils sont ma joie de vivre. Dit Lewis

- Merci aussi à toi d'avoir permis cela.

Il me retourne et me fais assoir sur le plan de travail.

- Tu m'excite quand je vois ce short te mouler les fesses. Dit-il en me faisant son regard ensorceleur.

- Je vois où tu veux en venir, mais ce n'est pas le moment Lewis je dois surveiller le feu.

Il m'embrasse et passe ses mains sous mon tee shirt.

- Lewis s'il... te plaît ... ce soir je te ferais grimper...... personnellement. Dis je entre deux baisers.

- Promis?

- Je te le promets maintenant va t'occuper des enfants. Je finis dans 30 mn

Il fait une de ses grimaces légendaire et se sauve, je continue ma cuisine en me replongeant dans mes pensées. Après tant d'années, on fait l'amour avec intensité, rage et douceur.

Il y avait des fois je me jouait les malades pour échapper aux assauts de Lewis, il n'est jamais épuisé par contre moi oui, j'en rit à cette idée.

- Maman j'ai faim me dit mon bébé.

- Tu seras bientôt servi mon poussin.

Je le prend et lui dégage une mèche de cheveux sur le front.

- Tu as aimé jouer avec papa et tes soeurs?

- Oui....

- C'est bien je suis contente.

Je prend son visage entre mes mains et lui faisant des bisous.

- Tu sais que je t'aime mon grand?

- Oui maman.

Je l'installe sur son siège toute heureuse, Lewis et les filles mettent la table après s'être lavé les mains. je pose le tout sur la table. Ils me félicite pour mes talents culinaires, même Julian applaudit à cette remarque il est trop mignon mon bébé.

La soirée se passe dans le calme, après le bain et le dîner nous sommes occupés à notre manière. Julian joue dans un coin du salon, Lewis aide les filles à faire leur devoirs et je corrige les copies des étudiants.

Mes cours sont compris par tout les Etudiants, je me force de leur donner le meilleur de moi, je m'applique dans mes explications. J'ai encore une vingtaine de copie devant moi et je commence à m'endormir sur la chaise.

Je sens des caresses sur le corps, j'ouvre les yeux et je me retrouve devant Lewis allongé à mes côtés. Il m'a porté jusqu'a la chambre.

- Où sont les enfants?

- Ils dorment..

- Tu leur a fait se laver les dents? Se changer? et leur raconté une histoire?

- Oui je me occupé de tout. J'ai même de tes copies.

- Tu rigoles Lewis?

- Non tu t'en endormie sur ton bureau, j'ai corrigé le reste des copies, couché et bordé les enfants, je t'ai porté et déshabillée parce que tu m'as fait une promesse.

Je tappe son torse, et l'embrasse sans attendre, sa langue prend possession de la mienne je me détache tout doucement en soutenant son regard.

- Tu es un amour, merci mon chéri.

Je me lève passe sa chemise et ouvre la porte.

- Où vas tu?

- je vais m'assurer que mes bébés dorment bien je reviens te faire voyager attends moi dans la salle de bain.

Je n'attends pas sa réponse et je vais faire mon inspection, Julian dort à point fermer son doudou dans les mains, je l'embrasse et me rend chez les filles, je remets leur courvertures, les embrasse aussi et retourne à la cuisine pour prendre quelques glaçons, et du chocolat pour mon époux.
Je le retrouve adossé contre le carrelage tout tendu.

- Tu en a mis du temps dit-il en me collant a lui.

Il m'enlève la chemise, me suce les tétons tout dressés pour lui. Je le fais assoir sur le rebord de la baignoire, prend du chocolat que j'applique sur ses lèvres, je lèche avec envie et l'embrasse farouchement.

Ensuite je prends un glaçon dans ma bouche en lui suçant son sexe. Je l'entends déjà murmurer, il passe ses mains dans mes cheveux et lance des jurons. Je m'applique et accélère les mouvements de ma bouche sur sa délicieuse queue toute gonflée. L'entendre gémir me donne envie, il se lève, me plaque au mûr, se positionne derrière moi et me pénètre brutalement, un cri m'échappe il continue en me donnant de furieux coup de reins.

- J'adore quand tu me prend avec fureur. Dis je toute excitée

Il me pillonne tout doucement maintenant, j'aime aussi, au faite j'aime tout ce qu'il me fait.
Je me retire d'un coup de lui, je me retourne et le fixe.

- Je t'ai fais mal ma chérie?

- Non, je voulais voir l'expression de ton magnifique visage.

-Et que voit tu?

- De l'amour et de la passi...

Il me coupe en m'embrassant sauvagement, il m'empêche de respirer tellement il s'est appliquer avec ferveur.

- J'aime quand tu me freine dans mon éland, c'est pourquoi je vais te faire connaître l'extrème en te prenant dans toute les positions ce soir.

Il me soulève de ses grands bras et s'enfonce en douceur, je m'agrippe à son cou, les va et vient se font de plus en plus vite. Je suis au bout de l'explosion, Lewis est vraiment le seul à me faire tant d'effet. Seule, la salle de bain est témoin de notre folle nuit de sexe.

Je gare ma cooper à ma place dans le parking de l'université. Quelques proffesseurs et étudiants me salue au passage.

J'ouvre mon casier pour prendre des livres et mon classeur. Au moment de rentrer dans la classe mes bouquins se retrouve au sol au passage de deux étudiants qui partent en courant dans le couloir.

- Jeunes gens vous ne pouvez pas faire attention? En plus ils sont pas fichu de s'excuser. J'hurle

- Je peux t'aider moi, dit une voix.

- Non merci, dis je sans regarder le visage de cette personne occuper à ramasser mes bouquins.

Sa main sur ma main, je lève la tête et ses yeux marrons clairs sont plongés dans les miens.