** Chapitre 47

5.4K 400 3
                                    


Ce matin, Lewis s'est levé très tôt il n'a rien voulu me dire depuis la scène d'hier, il s'est renfermé sur lui.

Je me suis occupé des enfants et déposer les filles à l'école, Aiden se chargera de les prendre plus tard. Julian reste avec Brooke, je prépare mes prochains cours dans la salle des proffesseurs quand j'entends une conversation entre deux collègues.

- Mr Perry ne viendra pas pendant trois jours, tu t'occuperas de ses cours. Dit un homme

- Le directeur me l'avait dit, il parait qu'il s'est fait agressé. Ajoute l'autre.

- J'espère qu'il reviendra en pleine santé.

Ils sortent et je m'adosse sur mon siège, Lewis à dû lui donné de grands coups pour qu'il soit absent pour trois jours. Il l'avait bien chercher s'il s'était éloigné comme je lui avait demandé il ne serait pas couché chez lui.

Une voix me dit d'aller le voir, au moins pour me rassurer et l'autre me dit de rester sagement et d'éviter la colère de mon mari, je suis partagé entre ces deux idées.

Je retrouve ma classe, leur adresse un bonjour qu'ils me rendent aussi enthousiastes. Je vérifie mon cahier de texte marque la date du jour et commence mon cours.

À la fin de mes cours, j'appelle mon époux il me dit qu'il va bien et qu'il rentre bientôt. Je gare ma voiture, et sonne chez William.
Une employée m'ouvre, je la salue et demande après lui. Elle me conduit dans le séjour il est allongé tout débrayé.

- Salut je peux ?

- Bien sûr Mina. Dit-il en se redressant

Il m'indique le sofa pour que je prenne place.

- Qu'est ce qui t'enmène? Tu es venu voir si je suis mort? Dit-il en colère.

- Je suis venu voir comment tu allais. Si tu ne voulais pas me voir, il ne fallait pas me laisser entrer je replique.

- Ne t'énerve pas, merci d'être passer tu devrais partir ton mari ne va pas apprécié dit-il.

- D'accord mais je t'en prie, repart vivre en France et oublie moi comme tu l'as fait des années plus tôt.

- J'étais un imbécile à cette époque, je t'ai abandonné comme un lâche pardonne moi.

- Il y a longtemps que je t'ai pardonné, j'essaye d'oublier tout ces mauvais évènements. J'aime mon mari et mes enfants, tu perdras ton temps si tu restes.

- Je t'aime toujours, j'ai eu des relations mais ce n'était pas comme avec toi.

- Je ne t'aime plus William met toi cela dans ta tête. Tu as des enfants?

-Oui, deux enfants, mon mariage bat de l'aile j'ai tout fait pour être permuté en pleine année scolaire dans l'université où tu travaille. Je pensais pouvoir te reconquérir.

- Comment m'as tu retrouvé?

- À la mort de tes parents, j'ai organisé leur enterrement, et vendu leur maison, je rangeais le bureaux et j'ai vu un document qui t'étais destiné.

- Un document? William dit moi tout je t'en prie.

- Le document indiquait que tes parents avaient tout garder de toi, ils savaient que tu étais sortie et que ta soeur jumelle t'avais enmené ici pour vivre avec elle. J'ai vu ton adresse et je suis venu.

- Mes parents me surveillait en cachette?

- Oui, ils avaient honte de t'avoir rejetée y compris moi mais on n'a pas osé venir vers toi. Mina ne me déteste pas dit-il triste.

Je me lève et prend place à ses côtés, je prend ses mains et lui parle sincèrement.

- Will, j'ai vécu de merveilleux moments avec toi, On étaient fou amoureux, on se projettait dans un avenir heureux. Mais ce n'est plus le cas chacun a refait sa vie, tu resteras un ami reconcilie toi avec ta femme aime la et rends heureux ta famille.

-C'est compris je vais terminer le semestre et regagner l'amour de ma femme.

- Je te souhaite que de belle chose, désolée que mon mari t'ai fait tout ces bleus.

- Je suis fort, je lui ai flanqué aussi des coups dit-il en riant.

- Oui j'ai vu ça, repose toi bien.

- Tu as de magnifiques enfants Mina.

- Merci, ils sont toute ma vie avec Lewis je sais que les tiens le sont aussi.

- Oui mes garçons sont très gentils, tes parents ont laissé des biens à ton nom tu veras les détails avec le notaire.

- Merci, je dois m'en aller, Porte toi bien.

- Mina je peux te demander une faveur?

- Oui dis moi.

- Je veux t'embrasser une dernière fois.

- Non William, oublie ça. Je ne veux pas tromper mon mari.

- Tu ne le trompe pas. Je veux juste un baiser amicale, une toute dernière fois. Après ça, je promets de ne plus t'inportuné.

- Je te ferais un bisou sur la joue uniquement rien de plus.

- Ça me va.

Je lui donne un baiser sur la joue mais il capture mes lèvres.

- Je dérange?

Je me détache et vois Lewis prêt à nous tuer. Il lance un regard assasin et sort, William me supplie de lui pardoner, mais c'est Lewis ma priotité je le ratrappe dans la cour.

- Attends mon chéri écoute moi.

- Va continuer à embrasser ton amant. M'agresse t-il

- C'est un malentendu Lewis, rien ne c'est passé.

- Prend moi pour un con pendant que tu y es Mina. Si je n'étais pas venu tu aurais coucher avec lui.

Je lui donne une gifle pour le ramener à la réalité.

- Je ne permettrais pas que tu me parles de la sorte. Ce que tu as vu, est un malentendu comme je te l'avais dit tantôt. Je tempête plus fort que lui.

- Et qu'est ce que tu faisais chez lui? Rajoute t-il

- Mr mon mari à presque tuer mon ex qui est devenu un ami donc je suis venu m'excuser et voir comment il se porte.

- Et ce baiser alors?

- Je lui ai demandé de rentrer en France et de reconquérir sa femme parce que j'aime mon mari. Il m'a demandé un dernier baiser sur les lèvres, j'ai refusé pour le faire sur sa joue. Il a détourner la tête pour s'attarder sur mes lèvres voilà.

- Comprends moi mon amour, je rentres je vois ta voiture et tu n'es pas avec nos bébés. C'est Aiden qui m'a dit que tu étais ici, je te retrouve en pleine séance de bécotage tu aurais réagis comme moi.

- Oui, je me serais comporter ainsi mais ce que tu oublie je ne serais pas venu ici si tu ne l'avais pas sauvagement tabassé. Dis je en regagnant la maison.

- Il repart quand? Me crie t-il

- Va lui demander toi même dis je en criant aussi.

Je peux voir son sourire de loin, qu'est ce qu'il m'énerve dès fois quand il se comporte comme un triple idiot mais je l'aime ainsi. S' il n'avait pas frappé William, je n'aurais pas eu une discution sincère avec lui. Mes parents prenaient de mes nouvelles malgré leur rejet, mon coeur s'apaise à cette idée.

Deuxième chanceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant