114

614 69 0
                                    

☆ Tome 2 ☆










































𝐴𝑖𝑠ℎ𝑎 : 𝐴𝑚𝑎𝑡𝑢𝑙𝑙𝑎ℎ...

































PDV AISHA.

Je venais tous juste de sortir de la salle de bain serviette à la main. Je suis tellement heureuse de tous les cadeaux qu'akram m'a offert. C'est très gentil de sa part .

Conscience : c normal, c ton mari !

Pas tout les mari sont si attentionné comme sa. Je suis tout de même heureuse. Wal lillahil hamd.

Quand je dépose ma serviette je vois abdoul haqq entrain de me regarder. Il me regardait comme si il ne m'avait jamais regarder avant...enfin je ne sais pas comment expliquer.

Je m'avance donc pour aller vers le lit mais...

Abdoul haqq- Ya Aisha...

Je me stoppe directement et lève la tête juste en face de moi pour le regarder droit dans les yeux.

La façon dont il a dit mon prénom était un peu bizarre. Je ne sais pas ce qui lui arrive...c la première fois que je le voyais ainsi.

Moi- naam ? *Dis je d'une petite voix*

Il ne prends pas la parole de suite et continu de me regarder en murmurant quelque chose.

Abdoul haqq- je...je...

Moi- ...

Mon cœur commençais à battre vite, je ne comprenais pas ce qu'il voulait me dire mais je sentais tout de même que cette nuit allais être assez différente des autres nuits...
Ya rabbi.

Abdoul haqq- j'aimerais qu'à partir de maintenant...tu..tu ne porte plus de jilbeb au coucher .

Je n'avais pas bouger, j'étais toujours statut entrain de me rendre compte de ce qu'il me demande...je réalise enfin mais n'agit pas pour autant.

Pourquoi suis-je si anxieuse ? C mon mari après tout...il a le droit de me voir sans jilbeb en tenue beaucoup plus légère...

Conscience : Alors pourquoi tu trembles ?

Alors toi tu ne m'aides vraiment pas hein. Laisse moi tremblais si je veux tremblais...c mon droit de me sentir anxieuse !
Parfois tu parles vraiment pour ne rien dire hein. Je devrai éviter de trop t'écouter.

Conscience : Fais ce que tu veux...mais viens pas te plaindre ensuite avec moi.

Je ne suis pas folle pour parler avec toi, tu n'es que ma conscience...c juste que parfois- ah ! Je suis entrain de devenir folle à parler toute seule Astaghfiroullah.

Aisha : Amatullah Où les histoires vivent. Découvrez maintenant