Aisha : Amatullah

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Nous sommes en plein après midi, je viens tous juste de terminer de faire ma salâtul asr et je suis là devant ma fenêtre à regarder tous le monde marchais dans la rue...je n'ai rien d'autres à faire oui...

Ma mère et ma sœur sont sortie chez la voisine et papa Amir sont à la mosquée comme à leur habitude. Je suis donc seule à la maison.

Comme je vous le disais, j'étais là à regarder les gens marchaient...enfin, regarder est un bien grand mot car à vrai dire j'étais plus perdue dans mes pensées. Je pensais à ma vie, je me demander ce qu'Allah a bien pu réserver pour moi. Quel destin m'attends ? Quel fin aurai je ? Mourrai-je en ayant foi à mon seigneur ? Ou vais-je mourir après avoir provoquer la colère de mon seigneur ? Qu'Allah nous préserve de cette fin là et qu'Il nous accorde une belle fin à nous tous, servante et serviteur d'Allah.

Je me retourne et pars donc m'installer sur mon lit, je prends le livre poser juste a côté et commence donc à le lire en prenant bien soin de mettre mes lunettes. Je penses que peu de gens savaient que je portais des lunettes, mais oui, j'en porte bien mais pas toute la journée, seulement quand je lis.

PDV AKRAM ABDOUL HAQQ.

Cela fais maintenant deux jours que nous sommes arrivés en Arabie Saoudite, mon père m'a appeler pour prendre de mes nouvelles et je lui ai dis que nous allons bien Houss et moi.

Je suis à présent dans ma chambre d'hôtel, poser sur ce grand canapé entrain de travailler sur mon ordinateur. Vous dire que je suis vraiment entrain de travailler serai vous mentir car je ne suis pas du tout
concentrer à vrai dire.

Je penses que vous saviez la raison de ma distraction. C Aisha...j'espère qu'elle va bien. Qu'elle est bien arrivée.

Conscience : Appelle donc son père si tu es si inquiet.

Non, je ne préfère pas. Je n'ose même pas les appeler.

Conscience : N'oublie pas que de tout façon tu devra discuter avec ton père de la décision que tu as prise avec Aisha.

Oui, tu as certes raison mais cela peut encore attendre. Je ne sais pas comment le lui dire, me comprendra t-il surtout ? Je ne peux m'empêcher de l'imaginer avec différentes réactions qui ne sont pas très beau à voir d'ailleurs.

Je sors de mes pensées quand Houssam entre dans la suite. Il dépose la clé sur la table de l'entrée avant de me passer le Salam et s'installer juste en face de moi. Je répond donc à son Salam.

Houssam- Qu'as-tu mon frère ? Tu as l'air perdu dans tes pensées ?

Je lève le regard vers lui mais ne répond pas.

Moi- ...

Houssam- Le regret viens après.

Moi- Je n'ai pas de regret Houssam, tout ce que j'ai c'est de la culpabilité et aussi de la pitié pour ce que j'ai fais à Aisha.

Houssam- Pourquoi ressens-tu cela ? Elle est partis maintenant mon frère, c fini.

Moi- ...

Houssam- Toi même tu as pris cette décision et tu m'a même dis que c'était longuement réfléchi alors maintenant tourne la page et oubli là pour de bon, Aisha ne fais plus parti de ta vie maintenant.

PDV ABDOUL- HAMID HOUSSAM.

Je sais que mes mots sont assez fort mais si je parle avec un ton aussi dure c pour forcer mon frère à m'avouer qu'il a des sentiments pour Aisha...je veux qu'il me le dise avant que ses deux semaines prenne fin. Car si il ne le dis pas avant, je crains que nous ne pourrons plus faire machine arrière et à ce moment là il pourra vraiment oubliée Aisha pour de bon.