Aisha : Amatullah

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Quelque temps plus tard, une infirmière m'appelle et me donne l'autorisation de rejoindre mon époux. Je ne perd pas une seconde et prends mes affaires pour le rejoindre dans sa chambre.

PDV AKRAM ABDOUL HAQQ.

Je venais tous juste de terminer mes examens. J'enfile mon qamis et m'assoie au bord du lit, j'avais encore du mal pour digérer ce que je venais tous juste d'apprendre.

Une infirmière entra dans ma chambre pour me poser de multiples questions avant de me dire une dernière et quitter la chambre dans laquelle on m'avait placer .

Infirmière- Je vais demander à votre épouse de vous rejoindre dans votre chambre.

En entendant cela je fut comme soulagé. Je voulais revoir ma femme, je voulais la serrais dans mes bras et je voulais qu'elle m'apaise le cœur. Qu'elle me dise également que tout vas bien se passer même si je savais pertinemment que je n'allais pas survivre...

Je veux la voir, je veux voir Aisha...

Quelque seconde plus tard, j'entends la porte de ma chambre s'ouvrir et vois Aisha entrer rapidement dans celle ci. Elle déposa son sac sur l'un des fauteuils et se précipita à venir me serrer fort dans ses bras.

Je me suis donc mis à pleurer toute les larmes de mon corps...
Ma femme était là avec moi, enfin, s'ayez je pouvais enfin sentir son parfum.
Elle était entrain de me serrer dans ses bras.

Je me comporte peut être comme un enfant pour une personne ayant 11 ans de plus que sa femme mais je vous jure que je n'arrive pas à garder la tête haute. Je n'arrive pas à affronter cela, j'ai l'impression que cela est trop pour moi.

Aisha étais entrain de me caresser le haut de la tête. Essayant de m'apaiser du mieux qu'elle pouvait, elle fut agréablement surprise de me voir pleurer ainsi à vrai dire.

Aisha- Oh Allah apaise le cœur de mon mari *Dit elle frustrée de me voir ainsi*

Moi- *Pleure*

Aisha- Chuuut, chuuuut sa va aller...

Elle se détache de moi et prends mon visage entre ses deux mains. Elle avait le regard vers moi, ses yeux fixais les miennes comme si elle voulait transpercé mes yeux. Je pouvais la voir également essoufflée comme une personne ayant courut pendant plusieurs minutes.

Moi- Ya Aisha j...je vais mour-

Aisha posa son doigt sur mes lèvres et me regarda avec sévérité. Elle ne lâcha pas du regard.

Aisha- Es-tu Allah pour savoir ta destiné ?

Moi- Qu'Allah me pardonne ! Non, je ne suis qu'un simple serviteur parmis tant d'autre .

Aisha- Justement ya Abdoul haqq, tu n'es pas Allah, tu n'es qu'un simple serviteur. Tu ne connais pas ton futur, tu ne connais pas ta destiné alors tu ne peux pas te permettre de dire ce genre de chose en plus devant moi. *Dit elle les larmes aux yeux*

Moi- ...

Aisha- Écoute moi akram, nous n'allons pas baisser les bras. Nous n'allons pas laisser les mauvaise choses nous atteindre.

Moi- Mais tu n'as pas entendu le médecin Aisha !?

Aisha- calme toi *Dit elle en me caressant le dos* calme toi ya Abdoul haqq ne tkt pas...