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PDV AKRAM ABDOUL HAQQ.

Nous sommes enfin rentrer à l'hôtel, nous avons passer une bonne journée avec la compagnie de notre nouveau partenaire en affaire par la grâce d'Allah. Je suis très heureux d'être tomber sur un frère comme lui.

Bon, maintenant il est temps de rentrer à la maison mais comment vous dire...je ne suis pas si pressé que sa car j'ai peur. Peur de revenir là bas tout en me disant que s'ayez, je n'ai plus Aisha à mes côtés. Je n'ai plus de femmes à mes côtés...

Je me sens vraiment mal d'avoir pris une telle décision pensant que c'etais la bonne chose à faire mais j'ai l'impression que depuis tout ce temps je me suis mentis à moi même.

Engloutis dans ma tristesse et aveuglé par l'amour que je portais à Assia, je ne me suis pas rendu compte qu'il y avait une femme qui essayer de me donner l'amour.

Ou du moins, je me suis rendu compte de cela beaucoup trop tard et je peux vous dire que ce dire que nous avions fais une erreur qu'on aurait pu éviter est très amer en bouche.

Mais bon, cela ne sert à rien de souffrir et de se dire que si j'avais agis ainsi tout sa ne serai pas passer car personne ne peux échapper à sa destiner et nous devons l'accepter même si elle est amer...

Ne jamais dire "si j'avais fais sa" "si j'avais fais ci..."

Qadar Allah wa masha-fa' al.

Prends la pilule et bois de l'eau. Un moment donné le mauvais goût passera même si tu n'oubliera jamais ce goût bizarre.

Houssam ouvre la porte de la chambre à l'aide de la carte et nous entrons ensuite dans la chambre.

Houssam- Je n'ai même pas encore fais ma valise.

Moi- Et moi alors ? *Dis je en me posant sur le bord du lit*

Houssam- Tu trouves encore le moyen de t'asseoir alors qu'on a même pas encore fais nos valises ? *Dit il étonnait*

Je ne répond pas et baisse la tête. Je pensais à la façon dont mes parents allaient réagir. Je vois déjà les coups de savate de ma mère venir....

Houssam vint à mes côtés et se pose juste à côté de moi.

Houssam- Sois pas triste mon frère, qadar allah wa masha-fa'al. Je te jure par Allah que moi aussi je suis mal de savoir que malheureusement il est trop tard pour revenir en arrière. Je suis vraiment très mal de te voir ainsi mon frère...

Je souri pour ne pas qu'il soit plus triste que sa.

Moi- Baaraka'Allahu fika, pour tout l'amour que tu me donnes et ne soit pas triste...peut être que derrière ce mal se trouve un kheir. Alors, on ne vas pas être triste ok ? Allez viens on vas faire nos valises.

Je me lève pour aller commencer à faire ma valise et au même moment houssam me tiens le bras donc je me retourne face à lui.

Houssam- Je sais que je te le dis assez souvent mais permet moi de te le dire encore une fois avant qu'il ne soit trop tard. Je t'aime en Allah mon frère.

J'aime quand il me dit des je t'aime comme cela. Nous n'avons pas honte de nous avouez nos sentiments et cela depuis tout petits. Il n'y a pas que les femmes qui peuvent se dire des "je t'aime".

Moi- Que celui en qui tu m'a aimé t'aime également mon frère et d'ailleurs moi aussii je t'aime pour la cause d'Allah. Je t'aime tellement...

Aisha : Amatullah Où les histoires vivent. Découvrez maintenant