Aisha : Amatullah

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Quand nous arrivons à la maison akram m'aide à déposer les sac dans la maison ensuite il repart à la voiture pour la verouiller et il entre à nouveau dans la maison.

Abdoul haqq- Donne je vais t'aider à ranger bi idhni llah.

Moi- Va abd haqq, ne m'impose pas cela. Tu as assez fait pour moi mon chère mari. Va te reposer . *Dis je les larmes aux yeux*

Certaines personne vont trouvés que ma réaction et quand même exagérer mais j'étais obligée de réagir de cette façon. Akram veux tous les jours m'aider et cela même quand il n'est pas bien.

Je ne peux supporter voir mon mari souffrir devant moi. Aucune femme ne peux supporter une telle chose. Alors je préfère qu'il aille se reposer, et si pour qu'il m'écoute je dois me mettre à pleurer alors je le ferais.

Abdoul haqq voulait dire quelque chose mais je le vois sourire à la place et me faire un bisous avant de monter à l'étage. Je suppose qu il est parti dans notre chambre.

Moi je continue à ranger les courses et ensuite quand je termine je décide de faire un gâteau pour akram. Sa va sûrement lui faire plaisir.

Après sa je monte à l'étage et trouve akram allonger dans le lit. Il était bizarre, enfin c surtout l'expression sur son visage qui était bizarre. Je m'inquiète de plus en plus de son état.

J'enlève mon niqab et le pose sur le petit fauteuils avant de revenir vers le lit. Je me pose à côté de sa tête et le regarde donc dormir.

Qu'il est mignon quand il dort comme cela. Je ne peux m'empêcher de sourire سبحان الله. Au moment de me lever pour repartir en bas faire son gâteau, je vois une larme sur l'une des joues de mon mari.

Je ne bouge pas et continue à fixer cette larme là. Que ce passe t-il ? Il pleure ? Je ne savais pas quoi faire....

Moi- La hawla wala quwata illah billah...abd...abdoul haqq ?

Il ne me répond pas. Il m'a l'air endormi . Je ne sais pas quoi faire, dois-je le réveiller ou pas ? Je décide de le réveiller. Il ouvre les yeux et me fixe l'air un peu perdu .

Moi- Que t'arrive t-il mon mari chéri ? *Dis je inquiet*

Abdoul haqq- Ya Aisha je ne me sens pas bien, j'ai mal...mais Allah n'impose à aucune âme une charge supérieure à sa capacité.

Moi- naam mon chéri, Allah n'impose à aucune âme une charge supérieure à sa capacité. Ne tkt pas, supporte la douleur akram je vais aller te chercher un médicament mais où as-tu mal ?

Abdoul haqq- Je ne sais pas exactement, par moment j'ai mal au genoux, ou au niveau de l'abdomen ou au épaule...cela dépend. Parfois les douleurs sont forte et d'autre fois moins forte .

Moi- Wal lillahil hamd, je vais te chercher un anti douleur ensuite je vais essayer de contacter un médecin Insha'Allah.

Abdoul haqq- Pas de médecin pour le moment stp, donne moi juste un anti douleur .

Je ne discute pas avec lui et pars lui chercher un médicament à la cuisine. Vous dires que je ne suis pas du tout inquiete serait vous mentir ...je suis complètement affoler mais je ne le montre pas à mon mari.

Les choses vont trop vite, je n'arrive pas à comprendre ce qui ce passe avec lui et je penses que lui aussi doit être perdu. Je peux voir dans ses yeux sa souffrance, je peux bien le voir...