💫 Partie LI 💫

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Salam Aleykoum/Bonjour
  
  
Maëvah- La Pute Du Kartier
  
  
Bonne Lecture 📖
     

✨Salam Aleykoum/Bonjour✨      Maëvah-✨ La Pute Du Kartier✨      Bonne Lecture 📖     

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Ce Fut La Première Fois
   
 

Ils me regardent tous choquer comme ci c'était la première fois qu'ils me voyaient. J'étais certes trop belle, mais calmos les yeux.

Moi : il y'a quoi ? Pourquoi vous me regardez comme ça, à voir vos têtes on dirait vous avez vu un fantôme
      
 
Je ris à ma phrase qui d'ailleurs n'était vraiment pas drôle hein.
J'allais ressortir une autre connerie du genre quand je sens mes cheveux être tirée en arrière.

Je pose instinctivement ma tête sur le poignée de la personne me retournant pour tomber sans surprise sur Nasser.

Il me regardait mes cheveux les sourcils froncés.
Je fronce à mon tour les miennes en voyant son visage abîmé.
Un énorme cocard se trouvait sur son œil gauche, je fis une grimace de dégoût en voyant sa lèvre inférieur fendu.
Une passion la bagarre chez lui.

Bref je finis de l'examiner et me reconcentre sur lui.
  
 
- c'est quoi ça, en parlant de mes cheveux

Moi : bah mes cheveux

Farès : non Jure c'est tes cheveux, j'ai cru c'était une serpiere

Tyler : on veut savoir ce que t'as foutu à tes cheveux c'est quoi cette couleur horrible
     

Ouah trop dans l'excès eux.

Moi : c'est pas horrible, c'est du bleu nuit, même Nayla et Maëlys ont fait aussi

Eux -excepté Nasser- : PARDON ?
   
 
Je lève les yeux au ciel, exaspéré par leur réaction.

De un, ce sont des cheveux

De deux ce sont Nos cheveux.

Mounir : les gars vas y moi je rentre et toi -à moi- j'ai pas fini avec tes cheveux, va savoir à quoi vous jouez
  
Mais je rêve.
C'est mes cheveux quand même.
En plus je suis majeur, c'est quoi leur problème.

Il sort de l'appart en m'embrasant le haut du crâne.
Les autres se lèvent à leur tour, tchèque Nasser et moi puis partes.
Je me retourne vers Nasser qui tenait toujours mes cheveux.
Heureusement je ne craignais pas parce que Dieu seul sait qu'on se serait embrouiller quitte à ce qu'il me nique.

Il se met à tiré fort dessus me faisant crier. Il me plaque contre le mur se rapprochant de moi.
  
  
Nasser : MAIS TU TE CROIS OÙ ENFAITE ?

Chez moi, bêta -tssss.
  

moi : c'est seulement une teinture Nasser calme toi

Lui : ET TU AS DEMANDÉ  À QUI POUR FAIRE CE PUTAIN DE TRUC

Je fronce à mon tour les sourcils sentant mes nerfs montaient. Il commençait à me gonfler là.

moi : personne, je te rappelle je suis majeur, de plus tu n'es ni mon père ni mon frère et encore moins mon mari, donc..... attend mais t'es là tu me saoules avec mes cheveux mais on en parle de toi, de ton visage ? Tu disparais je ne sais combien de temps et je te retrouve défigurer

Mais le culolot quand même.

Lui : parle bien, et ça ne te regarde pas ce que je fais dehors
  

Mai-mais va te faire foutre enfaite.

Moi : je te retourne ta phrase, ce que je fais ne te regarde pas non plus, donc arrêtes de venir me cassé les couilles tu deviens gonflant à la longue pour des cheveux

Il me regarde choqué par mes propos et sans que je ne le vois venir, je sentis sa main s'écraser sur ma joue.
       
     
J'ai été plus surpris qu'autre chose, mais ce qui me vient à la seconde ce n'est pas de pleurer mais l'insulter.
  
Je n'eu le temps de sortir la première injure qui me venait en tête que j'entendis des pleurs.
  
Les enfants, merde. Ils venaient d'assister à cette scène.

Ce n'est quand les voyant en larmes que je fondis à mon tour en pleurs, m'écroulant au sol.
     
 
Ça faisait un mal de chier quand même.
Il aurait pu contrôler sa force l'idiot.

Yanis : papa méchant pas taper maman

Il s'approche de moi et me fait un câlin.
Aymen fait de même mais avant ça, je le vois s'approcher de Nasser les joues gonfler pour lui donner un léger coup au genou. 
  
Je sers mes bébés dans mes bras essayant de stopper leurs pleurs et les miens, mais en vain.
  
La douleur psychologique faisait plus mal que la douleur physique.

Je l'entends marmonner à côté mais je ne fis pas attention à ses paroles.
La porte de l'entrée claque violemment.
Il venait de nous laisser seul.
C'était tout ce qu'il savait faire.

Fuir.
Fuir à chaque problème qu'il causait.
      
  
  

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La Pute Du Kartier- ChroniqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant