💫 Partie XLVIIII 💫

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✨Salam Aleykoum/Bonjour✨
 

 
    

Maëvah-✨ La Pute Du Kartier
 

  
    

Bonne Lecture 📖

        

Il ouvre la porte et me pousse à l'intérieur, je vais directement à la cuisine, sachant déjà qu'on allait se disputer. Je l'entends claquer la porte ce qui me fis sursauter.

Il rentre à son tour au salon et sans que je ne sois prête, il.....
   
  

{....}
   

Il me poussa violement contre le mur me faisant crier de douleur du au choc violent.

J'aurai jurer avoir entendu ma colonne vertébrale se briser.
    
      
Moi : MAIS T'ES MALADE ?

lui : À QUOI TU JOUES À DESCENDRE COMME ÇA ? TU CHERCHES QUOI SÉRIEUSEMENT ? QU'ON TE REGARDE ? QU'ON EST ENVIE DE TOI ? C'EST TON BUT, REFAIRE TA PUTE COMME TU SAIS SI BIEN LE FAIRE ?

J'écarquille les yeux choquée par ses propos.
S'entendait-il parler ?
Était-il conscient de ses mots, parce que ça en devenait blessant là.
Certes j'ai fait des choses -que je fais toujours mais que avec lui maintenant- mais était-il obligé de me le rappelle, ce que j'étais.

Nasser : t'es sincère genre la tu pleure

-Rire nerveux- Pathétique, voilà ce que j'étais, pathétique à pleurer pour ça, à cause de lui.
Mais cela m'avait blessé, le fait que ça vienne de lui.
   
   
Moi : j'ai de quoi pleuré...donc toi je m'inquiète pour toi, c'est la raison pour laquelle je suis sortie sans regarder comment j'étais habiller, j'ai eu peur qu'il te soit arriver quelque chose et toi regarde tu dis quoi ? Sincèrement Merci

Je le pousse et pars dans ma chambre je mets vite fais un tee shirt et me glisse sous les couettes en pleurant.

J'étais vraiment qu'une pauvre imbécile.
C'est quoi son problème sérieusement ?
C'était ça qu'il pensait de moi ?
Donc pour lui j'étais toujours la même, qu'une putain qui voulait avoir des mecs.

-rire- connard de mes deux, voilà ce qu'il était un sacré connard.

J'ai des enfants, et j'ai lui, comment pouvait-il croire que j'étais rester la même.
   
     
J'essuies vite mes larmes et fait semblant de dormir après l'avoir entendu ouvrir la porte de la chambre.
La personne dont on connaît l'identité, s'allonge à mes côtés et passe un bras sur ma taille, j'avais une des ses envies de mordre, tellement il m'avait énerver.

Nasser : arrêtes de faire zehma tu dors

Moi : si tu sais que je ne dors pas enlève ton bras, il me gêne

Je n'aimais pas le ton que je venais d'employer sur lui, mais il fallait qu'il comprenne qu'il pouvait être blessant dans ses mots.
   
    
Lui : vas y smeh -pardon- tahu écoute moi

Il me retourne nous faisant face.
Une de ses mains vint se poser sur ma joue, la caressant tendrement.
    
    
Lui : je le pensais pas ce que j'ai dis, c'était sur un coup d'énervement, t'es pas une pute mais MA femme , je suis désolé de t'avoir blesser avec mes mots, ce n'était pas mon intention, tu le sais pas mais je tiens beaucoup trop à toi et j'ai flipper en te voyant comme ça en bas, je déteste qu'on voit ce qui m'appartient, je suis à toi comme tu es à moi, les voir te regardaient comme ils l'ont fait ma foutu les boules, je n'aime pas qu'un autre te regarde comme moi je le fais et......
   
   
Il m'avance encore plus près de lui et se baisse vers mon cou, m'embrassant celui ci. J'en frisonne.
Il se stoppe au niveau de mon oreille me serrant plus fort dans ses bras.

Lui : et n'brick omria * je t'aime ma vie *

BOUM BOUM BOUM BOUM BOUM BOUM BOUM BOUM BOUM BOUM BOUM BOUM BOUM BOUM BOUM BOUM BOUM BOUM BOUM BOUM BOUM BOUM BOUM BOUM BOUM BOUM BOUM BOUM

Non ce n'était pas le bruit des tambours mais celui de mon cœur.
Je n'étais pas préparer à ça.
    
   
Sans m'en rendre compte je m'étais remise à pleurer, mais cette fois ci c'était des larmes de joie.

Ce bâtard savait comment se faire pardonner.
Après ce qu'il venait de dire, comment pouvais je continuer à être énerver contre lui ?
Il venait de me dire qu'il m'aimait, c'était tout ce que j'avais retenue de tous ça.
Je le sers plus fort dans mes bras et cale ma tête dans son cou, humant son odeur dont j'étais folle.
    
    
Moi : et moi je t'aime encore plus sache le, je t'aime de tout mon être Nasser

   

    

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La Pute Du Kartier- ChroniqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant