La Pute Du Kartier- Chronique

💫 Partie XLVII 💫

✨Salam Aleykoum/Bonjour✨
 

  
    

Maëvah-✨ La Pute Du Kartier✨
 

 
   

Bonne Lecture 📖

Je lui laisse pas finir et capture ses lèvres, je l'embrasse avec tellement d'envie.
Je ne voulais plus le lâcher.
Je descends jusqu'à sa pomme d'Adam que je mords doucement lui provocant un grognement, et sa prise se resserra plus sur moi.
Je lui fais un léger suçon au cou avant de me décoller de son corps satisfaite de mon travail.
   
   
Moi : tu me fais visiter

Il me sourit comprenant ce que je venais de faire, mais ne dire rien.
Il me prends la main et nous fait sortir de la pièce. Elle était grande comme la plupart des villas que j'avais déjà vu.
   
    
Une fois finit de faire le tour de la maison, nous nous sommes posés à la cuisine.
Je fouille un peu partout à la recherche de quelques chose pour lui faire de quoi manger, étant donner que monsieur avait faim.

Nasser : bouges pas, j'arrive
    
  
Je fais pas attention à lui et continue ce que je faisais.
Il devait surement rejoindre les autres hommes étant donner qu'il les avait laisser comme ça.

Il me rejoint une bonne trentaines de minutes après, alors que je venais de mettre le plat à la cuisson.

Je m'installe en face de lui et le fixe jouer avec son téléphone.
   
   
Moi : Nasser ?

Il lève sa tête et me regard tout en reposant son téléphone sur la table.

Moi : tu comptes arrêter quand tous ce trafique ?

Lui : quand j'aurais fini de faire tous ce que je dois régler

Moi : et tu dois faire quoi ?

Lui : des petits trucs vite fait
    
    
Je le regarde attendant plus de détails, mais on dirait que je n'allais pas en recevoir.
Je lâche inconsciemment un soupir d'exaspération.
Il se lève de sa place et vint se mettre derrière moi, m'en lassant, sa tête poser sur mon épaule.
    
  
Lui : après avoir finit tous ça je viendrai te kthob -demander en mariage-

Je tourne ma chaise pour lui faire face.

Moi : tu es vraiment sérieux ?

Lui : -sourire- ouais, comme ça je pourrai te faire plus de gosses et on pourra le faire tranquillement sans que tu es peur de tomber en cloque

Je roule des yeux et lui tape légèrement sur le torse.

Irrécupérable.

Moi : ça t'arrives de penser à autre chose ?
   
    
Il se penche à mon oreille, les mains poser derrière moi, sur la table.

Lui : pas quand je suis avec toi, tout comme maintenant tu vois

Je le pousse loin de moi et pose mes mains sur mon visage, pour me cacher.
Merde y'a que lui pour réussir à me gêner.

Moi : toute façon on peut pas, y'a des gens au salon

Lui : donc si je les vire on pourra ? ok
   
   
Je le retiens vite par le bras alors qu'il s'apprêtait à réellement le faire.

Moi : non tu es fou

Lui : -rire- rhololo
    
    

[......]
   
   

Moi : je peux savoir pourquoi tu es rentré avec moi

Je m'allonge sur le canapé et pose ma tête sur les genoux à Nasser.

Nasser : je voulais revoir les petits et -m'embrassant les lèvres- il n'y a que ici qu'on peut être tranquille pour faire.... tu sais quoi

Cet abruti se met à rire.
Je me redresse aussitôt et me mets à son opposer.
Mais bien sûr un mètre de distance ne plaît pas à monsieur. Il se lève et vint se placer à côté de moi.
   
  
Nasser : arrête de bouger, je blaguais

Moi : mouais mais avec toi mieux vaut se méfier

Il pose sa tête à son tour sur mes genoux, je passe ma main dans ses cheveux et lui fait des petits caresses. Nous discutions de tout et de n'importe quoi.

On vint sonner à la porte, nous faisant taire.
Il relève sa tête pour me laisser me relever.
J'ouvre la porte, sans vérifier, pour tomber sur Yasmine.

Mon Dieu, elle nous laissera jamais vivre en paix celle la.
   
  
Moi : oui ?

Elle me regarde de haut en bas, chose que je n'aime pas du tout, c'est tellement malpolie.

Yasmine : je dois parler à Nasser

Moi : ok
   
    
Je la regarde à mon tour de haut en bas, puis lui claque la porte au nez.

Je retourne au salon et me réinstalle à ma place.

Nasser : c'était qui ?

Moi : Yasmine

Lui : et ?

Moi : elle veut te parler
    
   
Je change de chaîne pendant que lui se lève et sort de l'appartement. Je parlais avec ma sœur par message, quand dix minutes plus tard la porte s'ouvre pour se refermer violement.

Je me mords la lèvre pour ne pas crier pour ma porte, il rentre au salon énerver et balance une enveloppe par terre.
    
   
Moi : il t'arrive quoi ?

Lui : cette putain a fait avancer le procès

moi : comment ça ?

Lui : je suis convoqué dans deux semaines, alors que ça devait être dans un mois

Merde, non elle faisait réellement chier.

moi : calme toi Nasser

Je le prends dans mes bras et l'enlace.

Moi : c'est toi qui va gagner toute façon

Lui : sauf, si elle poucave pour le réseau
    

   

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