💫 Partie XVIII 💫

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Salam Aleykoum/Bonjour



Maëvah- La Pute Du Kartier

Bonne Lecture 📖

Je sonne et attends, au bout de deux minutes environ la porte s'ouvre et on voit une fille.

Mais pas n'importe quelle fille. Genre plus je la regardais plus elle me rappeler quelqu'un, et ce quelqu'un ce n'est autre que moi.
Elle ne me ressemblait exactement exactement, mais on se ressemble, sa se voyait qu'on avait de fou un lien de famille.
Un bail de c'est soit ma sœur jumelle soit sa mère à trop penser à moi quand elle était enceinte d'elle ou inversement.

Je la dévisageais comme pas possible, mais pas en mal, j'étais en mode je l'analysais de la tête au pieds.
Et Rodrigue l'a remarqué puisqu'il m'a mis une claque à l'arrière du crâne pour que j'arrête.

Rodrigue : Bonjour Maëlys

Maëlys : Bonjour Monsieur Rodrigue

Sa me fait grave rire d'entre les gens l'appeler Monsieur.

Elle se décale et nous laisse rentrer, on la suit jusqu'au salon.
J'ai fait que relooker la maison pendant qu'on avançait, j'avais kiffé leur décoration et surtout celle du salon.

Un mélange arabe et africain.
On rentre dans le salon et voit un homme et une femme assissent regardant en notre direction, enfin en ma direction.
Je fronce les sourcils et m'accroche au bras de Rodrigue.
On nous invite à nous installer, chose que l'on fait.

L'homme : Bonjour Rodrigue Merci de l'avoir convaincu de venir

Rodrigue : c'est normal après tout c'est votre fille

Moi : -tout doucement- j'étais leur fille

Je sens une grosse main atterrir sur mon front. Je lève la tête vers Rodrigue et lui fait les gros yeux.

Rodrigue : je t'ai entendu impoli que t'es

Moi : -rire gênée- chui pas impoli

Présentation de la famille

Bon déjà ya karim alias " papa" 44 ans marocain algérien ( mddrr c'est la ya les marocain et algérien qui commente pttddrr) travaille dans une entreprise familiale

Après ya rania alias " maman" malgache sa explique pourquoi je ressemble à une tismey pololo je suis une bombe avec ses trois beau mélange mddrr ok je sors elle a 42 ans et travaille à la crèche

Puis y a maelys mon sosie mddrr non sérieux c'est ma jumelle 18 ans bref elle est à la fac masha'llah elle veut devenir sage femme.

Et pour finir Mounir, que je n'avais pas encore rencontré. Il a 21 ans, ce qu'il fait dans la vie, personne ne le sait.

Ma mère me posait des questions sur ma vie, si j'étais toujours à l'école, ou si je travaillais.
Pendants quelques secondes, l'envie de lui dire que j'étais une prostituée me brûler à la gorge.
Mais au final j'ai préféré me taire.

Je leur ai seulement dit pour Aymen. Ils furent choqués au début que j'ai un enfant à mon âge, alors que je n'étais  même pas marier.
Rodrigue a du remarquer que je n'avais nullement l'intention de leur expliquer le pourquoi du comment Aymen était dans ce monde au jours d'aujourd'hui, du coup il leur a expliqué à ma place.
Ma mère, faisait que pleurer pendant que mon père Rodrigue leur raconter mon viol.
Déjà de base elle pleurait quand elle m'a vue et voilà qu'elle repleure encore.

C'est bien beau tout ça mais j'avais toujours pas réponse à ma question.
Moi si j'étais venue ici c'était pour savoir, pourquoi m'abandonner si c'est pour le regretter après.
Après que Rodrigue est fini,  mon vrai père cette fois ci me demanda s'il pouvait rencontrer le père de l'enfant.

J'avais de la peine pour Nasser, après Rodrigue, il allait devoir faire face à mon vrai père cette fois ci.
J'avais envie de rire mais en même temps de pleurer pour lui tellement la situation m'amuser.

On nous a demandé de rester jusqu'au repas du soir. Chose qu'on a bien sûr fait sans broncher.
On était tous à table quand on entend la porte de l'entrée claquer,sûrement mon fameux frère.
La personne rentre au salon et se retrouve face à nous.
Je manque de m'etouffer en voyant qui se tenait devant moi.

Je baisse la tête et cache mon visage avec mes cheveux.

    FLASHBACK  

Je m'avance vers un gars que j'avais repérer depuis mon arrivée.
Je m'assois à côté de lui et lui tapote légèrement l'épaule.
Je lui fait signe de se baisser et m'approche doucement de son oreille.

Moi : sa te dit on monte ?

Lui : * sourire * pourquoi pas

On se lève de nos places et montons à l'étage.
Je le suis jusqu'à dans une chambre. Il entre et se déplace pour me laisser entrer à mon tour. Je referme la porte et me retourne vers lui.

Je saute sur lui et enroule mes jambes autour de sa taille, je place mes mains autour de son cou et lui autour de ma taille, on se regardait avec envie et là on a fini par s'embrasser.
Il m'allonge sur le lit sans jamais stopper le baissé, il me retire mon croc top et moi son t-shirt.

Il descend jusqu'à mon cou en oubliant pas d'embrasser chaque partie de mon corps.
Je change les rôles, cette fois ci c'était moi au dessus de lui, assise à califourchon. J'enlève le chouchou dans mes cheveux et le met sur mon poignet.

Les cheveux lâchés sa excite encore plus les hommes. Je colle mes lèvres aux siens, et bouge sur lui.
Je bougeais mes hanches de haut en bas. Je le sentais grave excité, je voulais rire mais fallait que je me retienne.

Lui : t'es grave bandante tu le sais

Moi : je sais

Je lui fais un clin d'œil et lui smack une dernière fois avant de descendre jusqu'à son entrejambe.
Je défait sa ceinture et déboutonne les boutons de son jean.
Au moment de le lui retirer son téléphone se met à sonner.

Il se relève et je fais de même. Il part répondre à la salle de bain je crois. Et moi j'en profite pour m'habiller et me casser de cette maison.

Fin Du FlashBack

A'starfirlillah, j'ai embrassé mon frère.
J'ai chauffé mon frère. Encore un peu et j'allais lui sucer la......mais bon Dieu.
Je pense que son téléphone n'aurait pas sonné, jamais on aurait pu se regarder dans les yeux. Je pense que l'un de nous se saurait ôté la vie pour ne pas à avoir à affronter cela.

Al Hamdulillah, ce téléphone il a sonné et nous a fait tout arrêter.
Je préfère mille fois embrasser mon frère que le sucer, t'es fou.



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La Pute Du Kartier- ChroniqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant