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Bonne Lecture 📖
-8 mois plus tard-
Huit mois se sont écoulés depuis que tu nous as quitté. Tu manques à tout le monde, ta perte nous a tous beaucoup anéanti, nous avions tous eu du mal à avancer au début. Mais maintenant nous essayons de vivre avec car ce n'est pas en nous lamentant tous les jours que cela te ferra revenir. En tout cas sache ma sœur que tout le monde va bien Dieu merci. Beaucoup de choses se sont dérouler entre temps.
Tout d'abord les parents étaient partis quatre mois au pays pour être tranquille et mieux faire le deuil. A leur retour nous avions organiser mon mariage. Je suis triste de ne pas l'avoir fait avec toi à mes côté, car j'aurais aimer que le jours le plus beau pour moi, ma sœur soit là.
Mais Dieu en a décidait autrement. Sache en tout cas que je suis mariée depuis trois mois presque quatre, et que je suis enceinte d'un mois.
Oui tu vas toi aussi être tata. Je présume que je n'ai pas besoin de t'annoncer le nom du monsieur, tu t'en doutais déjà. Qu'est ce que je pourrais te dire d'autre.
Ah notre frère Mounir, il s'est trouver un travail légal. Il s'est beaucoup calmer depuis ton départ, et il y'a quelques semaines, il nous a annoncer vouloir se marier. Cela a été une sacré surprise venant de lui. Je suis très fière de lui, on s'y attendait réellement pas, mais depuis c'est vrai que depuis quelques mois, nous avions qu'il a énormément changer, en bien bien-sûr.
Pour ce qui est de tes bébés, eux aussi ils vont bien. Enfin cela ne doit pas être facile pour eux, d'être séparer à chaque fois d'un de leur parent. Mais sache que Nasser s'en occupe très bien, beaucoup trop bien même. Il les gâte comme pas possible. Les petits monstres prennent la grosse, jusqu'à ils se qualifient de plus beaux avec leur père.
Mais je t'ai dit que notre frère veut se marier, mais j'ai omis de te dire qui aller faire son hlel dans peu de temps.
Notre Nayla et son futur, Tyler. Plus personne ne veut retarder les choses car personne ne sait quand ça sera notre jours. Alors au lieu de continuer de vivre dans le pêché, autant saisir l'occasion et s'unir.
........ : Maëlys eh
Moi : ou-oui
Je me tourne vers la personne pour tomber sur Farès, devant ma figure.
Farès : vient la habiba
Il m'ouvre ses bras, je m'y fais pas prier, je saute doucement sur lui, et entoure sa taille de mes bras.
Farès : tu pensais à elle ?
Moi : mmh, je pensais à tous ce qui s'était passé jusqu'à maintenant, elle me manque beaucoup
Lui : elle nous manque à nous aussi
Ya eu 3 minutes de silence avant que je le coupe
Moi : tu sais que depuis la sortie de Nasser, je ne fais que penser à ce qu'il a dit
Lui : de ?
Moi : la photo
Lui : je ne sais pas, tout avait l'air de faire penser que c'était elle
Moi : mais on a pas vu le visage
Il se frotte la nuque, comme perturber avant de continuer.
Lui : je ne sais pas, parfois je me dis que peut être qu'il avait raison mais c'est impossible de le savoir maintenant qu'ils sont morts
- et tu penses que c'est Nasser qui... Je ne finis pas phrase trop effrayer de connaitre la réponse
Farès : ça non plus nous le saurons jamais à moins qu'il nous le dise de lui même, bref arrêtons de parler de chose qui déprime, ce n'est pas bien pour le petit
Moi : le petit ? Et pourquoi pas la petite
Lui : parce que c'est un garçon
Moi : et comment tu le sais ?
Il se penche vers mon oreille et me dit en chuchotant.
Lui : tu as oublié c'est qui qui te l'avais fait entrer dedans
Je le regarde choquer alors que lui était mort de rire. Je lui donne une légère tape sur la cuisse.
On continue encore de discuter quand son téléphone se met à sonner, il répond en mettant le haut parleur.
Farès : ouais
Je lui fais les gros yeux m'aimer pas sa façon de répondre au téléphone.
L'interlocuteur : Oui allô bonjour je suis bien avec Monsieur Farès B***
Lui : oui c'est moi et vous êtes ?
Elle : je vous appelle depuis l'hôpital ****** de Lyon, il faudrait que vous veniez d'urgence vous ainsi que monsieur Tyler R***
Je le regarde, attendant qu'il m'explique pourquoi un hôpital qui se trouve à Lyon l'appeler, et réclamer d'urgence sa présence. Mais bien sûr lui même ne connaissait pas la raison.
