💫 Partie LX 💫

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Salam Aleykoum/Bonjour

Maëvah- La Pute Du Kartier

Maëvah-✨ La Pute Du Kartier✨

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Bonne Lecture 📖

Je le sens soupirer sur mon cou avant de me reposer au sol.

Nasser : je t'écoute

Je commençais à avoir mal au ventre tellement je stressais. Je nous installe sur le canapé entrelaçant nos doigts.

Moi : je sais que j'ai eu tord de ne pas t'en parler dès que ça c'est passer mais faut me comprendre, j'avais peur pour toi

Nasser : arrête ce que tu fais et viens en au fait

Je fuis son regard sans pour autant lâcher ses mains.

Moi : je... c'est Mike

Nasser : mais encore ?

Moi : il était venu à la maison

Nasser : parle vite Maëvah parce que là tu es déjà entrain de m'énerver, qu'est ce qu'il faisait ici cette merde

Moi : toute façon tu vas t'énerver

Nasser : Maëvah

Il lâche l'une de mes mains. Il passe la sienne sur son visage essayant de se calmer.

Nasser : qu'est ce que tu as fait ?

Moi : rien, je te promets, j-je n'ai rien fais mais j'en étais à ça de le faire c'est pour ça que j'ai préférer t'en parler vite

Il vint m'attraper par le menton, relevant ma tête afin que mon regard rencontre le sien.

Nasser : explique moi exactement ce qui s'est passé sans tourner autour du pot parce que je ne pourrais pas garder mon calme longtemps, ok ?

Moi : ou-oui, en faite tu vois avant le procès Mike était venu à la maison

Il me regarde sans rien dire, m'incitant à continuer.

Il va me tuer.

Il va me tuer.

Il va me tuer.

Il va me tuer.

Il va me tuer.

Il va me tuer.

Il va me tuer.

Il va me tuer.

Moi : il m'a dit que Yasmine était partie le voir pour lui demander s'il pouvait dire pendant le procès tous ce que tu faisais en échange elle couchait avec.

Je m'arrête quelques instants pour le regarder. Son regard était comme perdu comme s'il connaissait déjà la suite de l'histoire.

- I-il est venu me voir pour me le dire et-et il a dit qu'il avait pas encore accepter parce que ce n'était pas avec elle qu'il voulait coucher

Nasser : me dit pas que tu as c.....

Moi : non non Nasser, je te promets que je n'ai rien fait avec

Je m'essuies les joues, nettoyant mes larmes, mais cela continuer de couler.

Nasser : mais tu as accepté

Voyant que je ne répondais pas, il compris. Il se releva aussitôt me lâchant par la suite les mains, je me releve à mon tour le retenant par le bras.

Nasser : lâche moi Maëvah

Moi : tu-tu vas partir ?

Nasser : j'ai grave pas envie de te parler là donc lâche moi

Moi : je-je peux pas, on doit pa-parler

Je l'entends soupirer d'agacement avant de retirer violement son bras me faisant trébucher et cogner la table basse. Je lâche un cri de douleur, me massant la côte.

Il se tourne vers moi et me regardant avec dégoût. Comment vous expliquez l'état actuel de mon cœur. J'avais comme l'impression qu'on me le piquer, qu'on me le compresser tellement j'avais mal.

Nasser : tu sais quoi ? Vas-y va voir ton putain comme tu comptais déjà le faire mais sache que tu m'a déçu

Moi : m-non je-je suis désolée je...

Il ne me laissa pas finir qu'il était déjà parti. Je tente de me relever pour le suivre mais impossible avec ma cheville qui s'était foulée. Je suis reste une bonne dizaine de minutes au sol calmant mes pleurs. J'ai essayé de l'appeler plusieurs fois sur son téléphone mais à chaque fois il ignorait mes appels.

Je me relève doucement et pars à la salle de bain. Je m'applique de la pommade sur ma cheville et soigne la légère coupure que je m'étais faites en me cognant sur la petite table.
    
  

-3 Semais Plus Tard-

Depuis l'histoire avec Nasser, je ne suis pas sortie de chez moi si ce n'est pour descendre chez sa mère pour chercher les petits puis les redéposer chez elle les Week-end.
Et maintenant ça faisait presque cinq jours que je ne les avais pas vu et ils me manquaient.

Ce matin je me suis réveillée à 10 heures.
Je suis directement partie à la salle de bain pour faire ma toilette.
J'en ressors habillée d'une longue robe moulante, je mets mes chaussure. Je prends mon sac et sors de la maison pour aller chercher les petits.
J'avais des courses à faire.
Courses que je devais faire y'a une semaine déjà. C'était bientôt l'anniversaire à Aymen, qui allait avoir un ans.

Je sonne et attend qu'on vienne m'ouvrir.
La porte s'ouvre sur Nassim, je le salut puis pars rejoindre sa mère au salon qui était posée avec les enfants devant les dessins animés.

Moi : bonjour tata -l'embrassant le haut du crâne-

Khalti : ah benthi, ça fait longtemps on t'a pas vu pourquoi tu sortais pas, ça va pas ?

Moi : ne t'inquiète pas, j'étais seulement malade et je voulais pas vous contaminés

Je serre mes bébés dans mes bras les embrassant à tour de rôle.

Moi : vous m'avez grave manquer

Nayla : t'abuses tu ne les a pas vu que cinq jours, en plus t'habite en haut qui t'empêche de descendre

Moi : tu peux pas comprendre l'amour d'une mère jeune fille, j'étais trop fiévreux pour les garder avec moi, d'ailleurs tu sais pour Nass ?

Nayla : il a dormi ici trois jours, il est parti y'a pas longtemps, je crois presque deux heures avant que tu n'arrives

Moi : et il n'a rien dit sur moi

Elle : non désolé

Moi : mmh pas grave

Elle m'aide à préparer les enfants, puis part à son tour se préparer.

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La Pute Du Kartier- ChroniqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant