💫 Partie XL 💫

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✨Salam Aleykoum/ Bonjour
 

 
    

Maëvah-✨ La Pute Du Kartier✨
 

  
  

Bonne Lecture 📖

《Quant Tu Sauras Qui J'étais, M'aimeras Tu Toujours ?》

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Quant Tu Sauras Qui J'étais, M'aimeras Tu Toujours ?

Passons jusqu'en Octobre, le 23 plus précisément.
   
    
Nous étions restés un mois et trois semaines en Thaïlande. nous avions passé un excellent moment entre nous, c'était tout simplement magnifique. J'avais acheté des cadeaux pour un peu tout le monde. Cela serait vous mentirez si je vous disiez que durant notre voyage, Nasser et moi, nous nous étions pas tout le temps disputer. Cet homme je l'aime, mais purée ce qu'il pouvait être chiant à des moments.

Nous étions rentrés y'a deux jours déjà. Aujourd'hui les filles devaient passés chez moi.
Ma sœur voulait à tout pris me parler.
Elle refusait de le faire par téléphone. Je m'étais mise au fourneaux, pour nous faire de quoi manger.
N'ayant pas les petits, pour cause, ma mère voulait les garder pour une semaine.

Vers deux heures d'après midi, on sonna.
Je me suis vite essuyer les mains avant d'ouvrir la porte. nous nous sautons dessus pour ne pas changer. Je ramène, un gâteau que je venais de faire avec du jus avant de me poser avec elles.
   
  
Moi : alors les amours ?

Nayla : ouuuuaaah en plus j'étais hyper pressée de vous le dire

Madame, éjecte ses cheveux en arrière puis nous lance un regard ainsi qu'un sourire toute fière.

Nayla : je suis en couple avec Tyler

Moi : depuis quand ?

Je ne suis pas vraiment étonner, je savais que s'aller se finir comme ça entre eux deux. Ils se cherchaient beaucoup.

Nayla : depuis hier

Nous étions qu'en même contente pour elle, ça se voyait qu'elle était attacher à lui.

Nayla : et toi Maelys

Maelys : y'a rien, j'ai rompu y'a même pas deux mois

Moi : et tu veux pas essayer avec farés

Nayla : c'est vrai, en plus il t'aime bien
    
Maelys : non, non merci, moi aussi je l'aime bien mais en amitié c'est tout, je veux pas lui donner des faux espoirs alors que je suis encore sur l'autre
   
  
J'avoue que c'est encore tôt pour envisager un relation, mais c'est pas pour autant qu'elle doit mettre des barrières à tout le monde. Djib, lui a peut être demander de l'attendre mais est ce que lui même de son côté l'attendra. Je ne veux pas lui forcer à aller dans les bras de farés si elle ne veut pas. Mais faut pas qu'elle mettes des barrières aux autres alors.

Elles sont restées avec moi jusqu'à vingt heures, avant que Nayla dût s'en aller après que sa mère l'ait appelé. Ce qui fait que je me retrouvais seule avec ma sœur.

Moi : au fait tu voulais me dire quoi ?

Je la vois hésité à parler. J'appréhendais déjà notre conversation.

Maelys : je sais

- et qu'est ce que tu sais ? Je lui demandais pas très sûre de quoi elle parlait

Elle : que tu es une prostituée, enfin l'était

Je sentis mon cœur ratait un battements.
Je continue de la regarder pour qu'elle continue de parler, ne sachant pas quoi lui répondre.
Je sentais le stresse me monter.

Elle : arrête de stresser, j'en ai parlé avec Mounir, et il m'a dit qu'il le savait déjà, ça serait te mentir si je te disais que je n'étais pas encore contre toi, pour ce que tu étais mais aussi pour me l'avoir cacher à moi, je suis partie chez Rodrigue et sa femme m'a tous expliqué

Je sentais les larmes me montés aux yeux.
J'essayais de les retenir du mieux que je pouvais même si je savais d'avance que je n'y arriverais pas à le faire longtemps.
    
    
Elle : pendant deux semaines je m'en suis voulue, car pendant que moi j'étais ici avec nos parents, toi tu étais autre part loin de tes proches, à nous en vouloir croyant que l'on t'avait abandonner, être en colère contre toi serais être égoïste, car tu as dû te débrouiller toute seule avait de subvenir à tes besoins, alors que moi j'avais les parents, je suis désolée pour ça, je suis contente que Rodrigue t'es pris avec lui et nous a permis de te rencontrer

Je l'entends sangloter et je le fis aussi, n'ayant pas réussi à me retenir plus longtemps. Je prends la prends dans mes bras et je le sens me serrer à son tour.
    
    
Maelys : je suis désolée pour toi

Moi : je suis désolée de te l'avoir cacher, j'avais honte que tu sois dégoutée de moi, que ton regard vis à vis de moi change

Maelys : tu es bête, j'aurai été certes choquer au début mais j'avais dégouter par toi, qu'est ce qu'un gamine de quinze ans à la rue aurait pu faire d'autre

On se sèche le visage, en riant de soulagement.
J'étais contente qu'elle le sache, je me sentais un peu plus légère. Mais la peur que mes parents le découvre aussi me rongeait de l'intérieur.
     
    
Elle : en plus Mounir m'a aussi raconté votre histoire à vous deux, par Dieu qu'il est trop con pour ne pas avoir vu la ressemblance entre nous deux

Moi : c'est normal, ce jours là je m'étais laissée maquiller par quelqu'un, y'avait de quoi ne pas me reconnaître, de plus on a quelques différences aussi

Maelys : pas énorme hein
    
    
Nous nous éclatons de rire, puis nous reprenions à nouveau dans les bras. On entend la porte de l'entrée s'ouvrir, pis se claquée avant de voir Nasser faire son entrer au salon. Lui et ma sœur se salut, pis cette dernière s'en va. Je me lève et me place face à lui, j'entoure mes mains autour de son cou et lui autour de ma taille nous collant.
    
   
Nasser : ça va ?

Moi : oui et toi mon namoureux

- grimaçant, arrête c'est moche ce mot, tu as pleuré ?

Moi : mmh mais t'inquiète, et non c'est pas moche

Lui : oh si

Moi : non

Lui : si

Moi : non

Lui : c'est bon on arrête sinon, on va dormir ici
    
    
Je dépose mes lèvres sur les siennes et l'embrasse avec amour et tellement de douceur.

    
    

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La Pute Du Kartier- ChroniqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant