💫 Partie L 💫

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✨Salam Aleykoum/Bonjour✨

Maëvah-✨ La Pute Du Kartier
 


Bonne Lecture 📖
 


♦️Passons 3 jours♦️
    

Ce matin je me réveille, seule dans la chambre étant maintenant habituer, car encore une fois Nasser s'était absenter de la maison.

Je descends de mon lit et pars prendre les enfants avec moi.

Je laisse Yanis devant le lavabo brosse à dent en main et commence à préparer Aymen.
Une fois finit avec lui je m'occupe de son frère avant de les poser tout deux devant les dessins animés biberon à la main.

Je pars à la douche et m'occupe cette fois ci de moi.

Je ressors prête, habillé, maquillé, et les cheveux lisser.

Enfin, ils étaient lissés depuis hier, j'ai du seulement passer un coup de liseur à la vite fait

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Enfin, ils étaient lissés depuis hier, j'ai du seulement passer un coup de liseur à la vite fait. Je n'allais nulle part habiller ainsi mais bon 🤷🏾‍♀️.

Je devrais d'ailleurs écouter ma mère et arrêter de niquer mes cheveux avant qu'il ne soit trop tard

Je rejoins les petits et m'installe devant Sam le pompier.
   
    

13h32 🕜 :
   

Je m'arrête en pleine activité culinaire et me précipite vers la porte d'entrée. Je l'ouvre après que la personne se soit acharner à plusieurs reprises dessus.

Je fus choquer d'y trouver mes parents ainsi que mon frère.

Ils ne m'avaient pas prévenu de leur arriver.
Enfin, je les laisse rentrer et retourne à la cuisine, je les rejoins après avec les quelques cupcake que je venais de faire.

Je finirai de faire les Donuts après.

Effectivement j'étais en pleine séance de pâtisserie -une de mes passes temps d'ailleurs-.

On parlait de tout et de rien jusqu'à ce que mon père me pose une question un peu bizarre.
   
  
Mon père : alors Maëvah, Nasser t'as annoncé la nouvelle ?

Moi : quelle nouvelle ? Il ne m'a rien dit

Ma mère : Karime hegoune -idiot- tais toi -à moi- ce n'est rien de grave ma chérie t'inquiètes pas il te le dira après le truc au tribunal

Il va me dire quoi nasser à votre avis ?

Mounir : ça s'appelle un procès Yemma -maman-

Ma mère : c'est ça que j'ai dis

Moi : non point du tout

Ma mère : tshiiiiip vous les enfants de France vous croyez tout savoir moi à mon époque on ne contredisé pas mon parents sinon c'était direct la fessé

Mon père : * doucement * sa explique pourquoi ta un gros derrière

On se retourne tous vers mon père, il est trop culolot cet homme, ma mère lui lance un regarde qu'elle seule avait le secret.
    
    
Maman : je fais te jetai ma chaussures sur ta tête d'arabe * je vous aime les arabes *

Mounir : la madré ne blague plus

On se mets tous à rigoler sauf elle.

Ils sont restés jusqu'assez tard avec moi.

Entre temps ma sœur nous avait aussi rejoint.

J'étais bien, là, chez moi, avec ma famille, mes enfants.
   
   

♦️ Le Lendemain ♦️
  
   

Aujourd'hui avec les filles, étant donner qu'on était un samedi et qu'elles n'étaient pas prises avec l'école et le travail.

On s'était organiser une journée rien que pour nous.

Les garçons avaient eu la gentillesse de me garder Yanis et j'avais pris Aymen avec moi, il était beaucoup trop petit pour que je le leur confie, la seule personne qui aurait pu s'en occuper en dehors de mes parent, était toujours porter disparu.

C'est à dire Nasser.

Ils s'étaient aussi organiser une journée entre homme.

Journée entre homme, est égal journée devant la PlayStation.

Rien de constructive ou d'utile quoi.

Avec les filles, nous avions fait tout le tour des magasins, étant au chômage maintenant, j'ai du piqué une des cartes à Nasser.
   
    
Que voulez vous michetonneuse mais qu'avec son homme.
Nous nous sommes ensuite poser pour manger un petit quelques chose. Je mourrais de faim.

Pendant qu'on mangeait, j'ai vu une fille passait devant nous avec une teinture violette, ça m'avait donner envie de changer la mienne.

Après manger nous sommes partis chez le coiffure.

 Et comme ce n'était pas assez on s'était faites une séance manucure avant de se séparer chacune de son côté

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 Et comme ce n'était pas assez on s'était faites une séance manucure avant de se séparer chacune de son côté.

À peine, j'avais franchi le seuil de ma porte que je pouvais déjà les entendre se crier dessus.
Ils savent vraiment pas parler doucement ceux la.

Je retire mes chaussures avant de rentrer au salon attirant tous les regards sur moi.

     

      

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La Pute Du Kartier- ChroniqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant