✨ Salam Aleykoum/Bonjour✨Maëvah-✨ La Pute Du Kartier✨
Bonne Lecture 📖-Dans la peau de Maëvah-
Nous étions bientôt arrivés. Plus on s'approchait, plus je strssais. J'étais nerveuse mais très éxcitée à l'idée de les revoir.
On se gare et descendions de la voiture. Je mets ma capuche sur la tête et avance derrière eux tête baissée. Je passe devant les garçons dans le hall sans rien dire et part appeler l'ascenseur le temps que Farès et Tyler leurs parlent. Ils me rejoingnent une fois l'ascenseur là, et nous montons.- je peux sentir que tu stresses même d'ici, me dit Farès en rigolant
Moi: vie de moi, j'ai l'impression que je pars au front
Ils essaient de me détendre jusqu'à notre arriver l'étage.
Moi : attend sonne pas encore
Tyler : -rire- frère détends toi, ils vont être contents de te voir
Moi : mais je leur explique comment le pourquoi de ma venue que maintenant
Farès : tu leurs dit ce que tu nous as dit et basta
Moi : hein ? Jamais. Tu me vois dire ma mère que je me suis fais violer, puis rekidnapper et re-violer ? Non, elle va faire une crise cardiqaue
Tyler : écoutes au pire tu n'es pas obligée de tous expliquer maintenat, tu dis que tu dois te reposer avant de tout dire comme ça, cela te donnera le temps de réfléchir et trier ce que tu penses pouvoir dire ou pas, OK ?
Moi : oui, tu-tu as raison, merci, c'est bon
Farès : par contre y'a une personne qui va vouloir tous savoir maintenant
Moi : ouais je sais ma soeur, ou mon frère, l'un des deux va pa me lâcher de si tôt
Farès : je ne parlais pas d'eux mais c'est vrai aussi
Je le regarde ne comprenant pas ce dont il parle. Mais je n'ai pas le temps de le question que la porte s'ouvre sur Naima, la femme à Rodrigue, mon père adoptif.
Moi : co-coucou
Je la vois qui commence à pleurer, et étant moi même émotive je pleure avec elle en la prenant dans mes bras. Je relève la tête après avoir entendu des pas s'approcher, et cette fois ci c'est ma soeur qui fond en larme en me voyant.
Maelys : OH MON DIEU
On se prends dans les bras en pleurant.
.... : qu'est ce qui se passe ?
Mon père, seigneur ce que sa voix m'avait manqué.
Maelys : elle-elle est là
Je vois tout le monde qui nous rejoingnent. Je suis tellement heureuse de les revoir, mon Dieu, qu'est ce qu'ils m'avaient manqué.
Moi : ils s-sont où les-les enfants
Ma mère me serre dans ses bras en pleurant et remerciant Dieu.
Ma mère : les enfants sont au salon. Mais où est ce que tu étais ? Est ce que tu vas bien ? Mon Dieu regarde comment tu es maigre
La mère à Nasser : on devrait aller s'installer, allons y tout le monde
Nous partons tous au salon, avec moi dans les bras de ma mère. Je suis à peine rentrée dans la pièce que je sens qu'on s'accroche à mes jambes. Je baisse mon regarde et tombe sur mon fils, Yanis. Je le prend dans mes bras et le bombarde de bisoux, lui disant à quel point il m'avait manqué. Juste après c'est Aymen qui suit en criant maman. J'étais tellement heureuse que je n'avais pas fait attention à la présence de Yasmine en face de moi. Mais en la voyant là, dans mon salon avec ma famille, je n'ai pu que froncer mes sourcils d'incompréhension. Et cela s'intensifia encore plus en voyant qui était placé à quelques pas derrière elle.
Je ne comprenais pas ce qu'il faisait là. Pas que cela ne m'enchanté pas, au contraire, mais à mes souvenirs cela ne faisait même pas encore 1 ans.
La soirée se passa calmement, dans la joie des retrouvailles. Je n'avais rien dit sur ce qui m'était arrivée, leur faisant comprendre que je voulais profiter de nos retrouvailles et leur expliquer un autre jours.
Je n'avais pas encore échanger un mot avec Nasser. J'avais pu parler avec Yasmine, qui m'avait expliquer qu'elle venait souvent ici pour aider Nasser avec les enfants, et qu'elle était contente de mon retour.
Je ne la sentais pas sincére pour cela,mais j'ai préfèré ne pas me prendre la tête. L'heure des au revoir était arrivée, je les prends dans mes bras leurs disant encore que j'étais heureuse de les revoir et qu'ils m'avaient manqué. Ma soeur s'était proposée pour garder les petits chez elle pour ce soir, je n'étais pas pour car je venais juste de les retrouver mais elle m'avait fait comprendre que j'avais besoin de parler avec Nasser. Et nous connaissant, le ton pouvait très vite monter. C'était mieux que les enfants n'assistent pas à une dispute, si cela venait à avoir lieu.
Ils se dirigent tous vers l'entrée quand Yasmine parle.
Yasmine : attendez Nasser voulait vous annoncez quelque chose tout à l'heure
Elle finit sa phrase en me regardant. Nous nous tournons tous vers Nasser le questionant du regard. Il me regarde à son tour sans expression. Il donnait l'impression de me regarder sans me regarder. C'était impossible de savoir ce qu'il pensait.
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La Pute Du Kartier- Chronique
Ficción GeneralDébut : 24 / 06 / 2015 Fin : 08 / 11 / 2015 Chrinikeuse #N