La Pute Du Kartier- Chronique

💫 Partie XIX 💫

✨Salam Aleykoum/Bonjour✨
    
 
    
Maëvah-✨ La Pute Du Kartier✨

Bonne Lecture 📖


J'étais grave gênée. Après qu'il sera qui je suis, y aura deux options, soit il me défonce devant tout le monde, soit il fait comme ci de rien n'était et m'ignore par dégoût ou autre.

Il Salam tout le monde.

Ma mère : Mounir hmar tu étais où ?

Mounir : -en l'embrassant son front- en bas yemma

Mon vrai père : mon fils voilà, tu connais déjà Monsieur Rodrigue et la c'est ta soeur


Mounir se tourne vers moi suivit par tout le monde aussi d'ailleurs.
Personne ne voyait mon visage étant donné que je m'étais caché avec mes cheveux, en laissant à découvert que mes yeux.
Je lui fais un petit coucou de la main et baisse vite la baisse vite après.

Rodrigue : Maëvah tu as trois secondes pour enlever tes cheveux de ton visage et dire bonjour correctement

Moi : mais pap....

Il me coupe et commence à compter, il me fout le seum cet homme parfois.

Rodrigue : 1

Tout le monde me regarde attendant que j'enlève mes cheveux. Mais la vie que j'avais honte, une première pour moi d'avoir aussi honte.

Rodrigue : 2

Il me fait les gros yeux, en mode me laisse pas aller à trois sinon tu es morte.
Tcha, un malade ce monsieur.


Moi : c'est bon

Je dégage mes cheveux et relève la tête pour regarder Mounir.
Au début il ne m'avait pas reconnu, puisqu'il me regardait en souriant puis d'un coup son sourire disparaît et il fronce les sourcils, en me détaillant mieux.

Mounir : je peux te causer deux minutes

Moi : euuuh...oui

Je sens Rodrigue qui me tapote l'épaule, je sais pas si c'était pour m'encourager ou m'avertir d'éviter d'être insolente.
Dans mon cas c'était la première option dont j'avais réellement besoin là.

Je quitte la table et le suit, on rentre dans une chambre que je suppose être la sienne.

Mounir :   t'es pas......

Moi : -en le coupant- la meuf qu'a failli te sucer y a un an mais heureusement ton tel avait sonné? Si c'est moi mais avec moins de maquillage

J'avais tellement parler vite, j'essayais d'avoir de l'assurance mais gros sa se voyait que j'étais morte de trouillle la.

Lui : attend en gros j'ai failli ken ma sœur la -rire nerveux-

Moi : bah écoute à ce que j'ai vu je ressemble à Maëlys, c'est toi t'es pas capable de voir que je ressemble à ta sœur hein

Lui : asy ferme ta gueule j'étais défoncé sa mère et avec ton maquillage de beureutte tu ressemblais à rien d'autre qu'une keh...starfirlillah j'allais baizer ma soeur

Je sais plus quoi dire là les gars.

Moi : euh dit t...........

Lui : TA GUEULE ZEUBI

J'ai sursauté tellement il venait de me faire peur, je m'assoie sur son lit à côté de lui et le regarde.

Mounir : attend s'il s'est passé ça là, sa veut dire que t'es une kehba, tu couchais avec des hommes

Moi : ho ho ho doucement, je ne couchais avec personne

Mounir: tu faisais quoi là bas

Je ne vais pas non plus lui dire, qu'à la place de coucher, je faisais des fellations aux homme.
Je pense pas que sa sera ça qu'il prendra bien.

Moi : bah comme tu l'as fait, on me paye après je les chauffer et quand ils voulaient plus c'était une des filles avec qui j'étais venue qui s'en occuper

J'ai menti sans mentir, car c'est vrai que la plupart du temps c'était Florence et Camille qui venaient terminer ce que j'avais commencé, mais je ne les chauffais pas seulement.


Mounir : viens là - en montrant ses bras-

Je me blotti contre lui avec hésitation, il me caresse les cheveux et me fait un bisou sur le front.

Mounir : j'espère que tu as arrêté tes bails

Moi : oui j'ai tout arrêter

Mounir : maintenant je vais te surveillé h24 sache le, je ne vais plus te lâcher

Je roule des yeux et rigole.

Moi : oh non déjà que les deux idiots de Farès et Tyler sont insupportables maintenant y aura toi mddrr

Lui : tu parles à des gars toi ?

Moi : ils sont comme des frères pour moi, ils habitent chez mon père Rodrigue

Lui : ouais bon vas-y bouge

On rejoint les autres au salon et terminons de manger.
Après avoir fini de manger et fait la vaisselle, puis on se pose au salon avec les hommes.

Maëlys : Mounir  tu sais que tu es tonton

Mounir : de quoi tu parles toi ?

Ah merde j'avais oublié ce petit détail.
Oops 😬.

Ma mère : Maëvah a un fils

Mounir : QUOI ?

Wesh il est sourd où c'est comment.

Mounir : toi tu as un fils ?

Moi : -doucement- oui

Mounir : je vais la tuer

C'est vraie que je lui avais dit que je ne couchais pas avec les hommes, donc il a du croire que j'étais encore vierge.
Il se lève et essaye de m'approcher mais   Rodrigue s'est mis entre nous.

Maelys : calme toi Mounir on va tout t'expliquer


Il me regarde puis regarde les autres, au final il s'assoit, ils lui  expliquent tous. Il avait les poings serrés et la mâchoires contractée de malade.

On est encore restée un peu puis nous sommes partie.
Mon père ( Rodrigue) m'accompagne chez moi puis part.



✨ Le Lendemain ✨


Je me réveille vers les midi passés.
Je pars me préparée et ressors de la salle de bain habillé -média-.
Je fais le ménage et à manger, je me sers une assiette et me pose devant les dessins animés pour manger.
On sonne à la porte, je me lève, pas trop motivée et ouvre.
Nasser entre avec Aymen dans ses bras qui dormait.
Il part le déposé dans ma chambre puis  me rejoint au salon.

Nasser : t'es partie voir ta famille hier ?

Moi : oui et...d'ailleurs ils veulent te rencontrer

Je lui dit tous ça en souriant.
Il commence à faire les cent pas au salon, j'étais dead de le voir dans cet état.

Moi : détresse, ils vont pas te manger 

Nasser : parle pour toi, c'est pas toi qui a violé leur fille

Dit comme ça, c'est vrai.

Moi : t'as raison...continu de stressé

Lui : tahu ce que tu fais toi aussi tu m'aide pas du tout là

Ptdr, ah parce que tu veux de l'aide.
Une idée assez lumineuse venait de m'éclairer l'esprit.
Maintenant que j'étais bien, que l'épisode de l'abus était passé et que je ne paniquais plus à ses côtés, j'avais une envie de jouer.
Je me lève et me mets devant lui, je pose mes mains sur ses joues et l'embrasse, crari histoire de le détresser.
Bien sûr il y répond, au début le baiser était doux mais après c'est parti en n'importe quoi et c'est ce dont je voulais.

Il me porte et j'enroule mes jambes autour de sa taille. Il m'allonge sur le canapé et se met sur moi.
Il me fait des bisous partout sur le visage en descend vers mon cou.
J'avais chaud, il m'excitais mais fallait pas que je perd le contrôle.

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