💫 Partie XLIV 💫

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Salam Aleykoum/Bonjour
    
    
    
Maëvah- La Pute Du Kartier
     
       
    
Bonne Lecture 📖 

《 Les Liens Du Cœur Sont Parfois Plus Forts Que Les Liens Du SangEt Sache Qu'elle N'aura De Seconde Chance 》            

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Les Liens Du Cœur Sont Parfois Plus Forts Que Les Liens Du Sang
Et Sache Qu'elle N'aura De Seconde Chance 》
    
       

21 heures :🕘
     
     
   
Les enfants venaient tous juste de s'endormir.
Je me suis calée dans mon canapé, télécommandé en main, ainsi qu'un bol de chips entre mes cuisses.
J'avais mis un film indien que j'avais déjà vu un millier de fois mais dont je ne pouvais m'en passer.

Je tourne ma tête vers l'entrée après avoir entendu la porte d'entrée claquer, et vois Nasser accompagner. J'arque un sourcil me redressant pour leur faire face.
        
Depuis quand il se permettait de ramener des femmes chez moi.
   
     
Moi : Bonjour ?

- euuh ouais......Maevah, commença Nasser, c'est Yasmine la mère à Yanis, et Yasmine, Maevah celle à Aymen
    
   
Cool et ?
   
    
Moi : elle fou quoi ici elle

Yasmine : pardon mais "elle " elle a un prénom

Gneugneu, je lui prête même plus attention et me retourne vers Nasser.
  
 
Nasser : elle voulait voir Yanis

Yasmine : le récupérer

Nasser : tu réc.......
   
    
- attend, attend, en interrompant Nasser, mdr hari " le récupérer ", tu prends le petit pour un jouet, que tu peux laisser puis revenir calment crari le "récupérer", mais t'es culotté ma parole, pour commencer ce n'est pas à presque dix heures du soir que l'on débarque chez les gens comme ça, et Ton fils tu le récupéras pas, m'en bat les reins que tu sois sa mère, on n'abandonne pas un enfant de son plein gré, pour revenir calment réclamer sa garde, donc tu vas me faire la gentillesse de dégager de chez moi et tout de suite
    
     
Yasmine : parle moi autrement parce que je n'ai grave pas ton âge, chui pas ta copine moi je te dis p'tite conne

Ah pardon, c'est vrai qu'avoir deux ans de plus et un grand écart -tsss-.
Je la dévisage de haut en bas, m'apprêtant à lui répondre mais Nasser le fit avant.
      
  
Nasser : déjà toi change de ton, je te laisse déjà voir le petit alors viens pas casser les couilles
    
    
Yasmine : pfff c'est ça défend ta pute

Mais attendez, elle est vraiment culolot, on est bien d'accord ?
Je suis une pute et je l'assume, mais elle, elle est quoi alors ?
Elle, comme moi avons eu un enfant hors mariage avec le même homme. Avant de vouloir cracher sur moi, qu'elle se regarde dans une glace.
    
     
Moi : tu sais ce qu'elle te dit la pute ? D'aller te faire voir

Je la pousse jusqu'à l'entrée et lui ouvre même la porte.
     
   
Moi : barre ta gueule de chez moi et plus vite que ça

Yasmine : crois pas que j'en ai finis avec vous

Moi : eh cousine j'en ai rien à foutre
    
    
Je la pousse à l'extérieur et lui claque doucement la porte dessus.

Putain.
Maintenant j'avais les mains tremblantes.
Je me passe une dans les cheveux afin de me calmer et me retourne faisant face à Nasser.
   
      
Nasser : oh il t'arrive quoi ?

Moi : la laisse pas nous prendre Yanis, Nasser

Lui : fais moi confiance, c'est notre fils à nous deux depuis le jours où elle me la laisser, ne voulant plus de lui

Moi : mmh
   
     
Il me soulève et nous amène au salon. Il s'installe sur le canapé, me posa à califourchon sur lui.
Je sens ses mains à l'intérieur de mon haut me caressant le dos.
    
     
Moi : demain c'est l'anniversaire au petit

Lui : tu as tout acheter

Je lui montre toutes ma gencives, puis dépose avec douceur mes lèvres sur les siennes.

Moi : tu peux pas trouver meilleure organisatrice d'anniversaire que moi
     
    
- toi tu mens, il se met à rire, en balançant sa tête en arrière, tu as oublier ce que tu as fait avec mon gâteau

Moi : attend mais là, c'était pas ma faute, je l'avais commander

Lui : mais tu es censée vérifier non

Moi : gneugneugneu
   
     
Je me réveille et lui prend la main, nous ramenant à la cuisine, pour manger.
Je mourrais de faim, mais voulais l'attendre.
    
     
    
24 DÉCEMBRE :
     
      
     
Je finis d'accrocher les derniers ballons au plafond, avec l'aide de Nayla.
Il était 15 heures et fallait que je finisse tous avant 18 heures.
Je descends de ma chaise et prends Yanis qui me tendait ses bras, biberon à la main.

Moi : Nay, je reviens je vais lui faire la sieste

Nayla : asy grosse

Je me dirige dans sa chambre et m'allonge sur le lit avec lui.
Je suis restée une bonne dizaines de minutes dans la chambre avant qu'il ne s'en dorme.
Je positionne des cousins autours de lui et quitte la chambre après avoir jetée un oeil au berceau d'Aymen.

C'est à 18 heures que l'on avait fini le ménage et la bouffes avec ma soeur qui nous avait rejoins, trois heures plus tôt.

Je laisse les filles au salon avec les enfants. Et part me préparer à mon tour.
Je ressors toute fraîche, et j'eus même droit à des compliments sur ma tenue.

Pas longtemps après ça sonne à la porte.
Tout le monde arrivait petit à petit.
Je discutais avec Naima et les filles quand la mère à Nasser, s'adressa à moi.
    
     
Khalti : du coup Maevah c'est quand le mariage avec Nasser

Je manque de recracher la boisson dans ma bouche.
Je regarde ma mère qui me regarde elle aussi attendant ma réponse.

Dieu soit louer, aucun darons n'était présents.
     
    
Moi : khalti faut demandé à Nasser, c'est lui, il doit venir me demander ma main

Cet idiot s'était perdu où en plus ? C'était censé être une soirée en famille, au final y'avait aucun garçon. Ils s'étaient tous enfermés dans la chambre inoccupée pour jouer.
    
      
Ma mère : j'espère qu'il fera vite, parce que je n'aime vraiment pas que vous vivez ensemble comme ça

Khalti : à votre âge nous étions déjà marier

Nayla : ouaah maman t'aime trop parler comme ci tu étais de la préhistoire

Maelys : de fou -rire-, ils le feront quand ils seront prêts, le fait qu'ils habitent ensemble, c'est pour s'aider avec les enfants

Khalti : oui mais faut quand même envisager le mariage

Moi : j'en parlerai à Nasser
    
    
J'eus l envie de rouler des yeux, mais me suis retenue.
Me marier ne me dérange pas, j'aime Nasser, s'il venait à me faire sa demande, je sais d'avance que je dirais oui.
   
     
Un peu plus tard, ma mère va chercher les garçons pour qu'on mange.
Rodrigue arrive à ce moment là, suivit de mon père.
Je leur fis tout deux un bisou sur la joue, avant de m'installer à table.
   
      
     

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