💫 Partie LXVII 💫

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Salam Aleykoum/Bonjour

Maëvah- La Pute Du Kartier

Maëvah-✨ La Pute Du Kartier✨

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Bonne Lecture 📖

⚜️ Je ne serai la femme à quelqu'un si ce n'est à tienne ⚜️

Lui : -m'interrompant- j'ai pas fini, Je voulais aussi te dire...

[.......]

Lui : -m'interrompant- j'ai pas fini, Je voulais aussi te dire, n'oublie pas ce que je t'ai dit

Moi : non tu-tu peux pas me demander de faire ça Nasser je ve-veux pas

Lui : mon ange, pense aux enfants, ils ont besoin d'une figure paternel, et ce n'est pas moi en prison qui vais pouvoir avoir ce rôle, j'en ai pour dix ans tu le sais

Moi : je ne veux pas, ils ont déjà un père et c'est toi, je m'en occuperai jusqu'à ce que tu revienne

Lui : habiba, je suis désolé, je suis désolé pour tous ce que j'ai pu te faire, désolé que ça ce soit passer comme ça entre nous. Si je pouvais revenir en arrière crois moi que je l'aurais fait parce que je regrette réellement de t'avoir fait souffrir, mais je suis aussi heureux, parce que j'ai passé des bons moments avec toi. Nous avons de très beaux enfants. Mais tous ça c'est fini, je veux que tu tournes la page et que tu rencontres une personne qui peut te rendre heureuse sans te faire souffrir, une personne qui sera un bon mari mais aussi un bon père

Moi : tu peux p-pas me dire ça, n-non

Lui : je ne rappellerai plus parce que je veux que tu puisses avancer

Moi : Nasser non, je t'aime me fait pas cela

Lui : je t'aime aussi ma vie

Et c'est sur ses mots qui mit fin à l'appel.

Et comme il me l'avait si bien dit. Je n'ai plus reçu d'appel ou de nouvelle de lui.

- Mois de Mars-

Nous sommes au mois de mars. Plus exactement la veille de l'anniversaire à Aymen, qui fêtera ses deux ans.

-Arrivé à la cité de mes parents-

Je gare ma voiture et y sors.
Je détache Aymen prends mes affaires et nous nous avancer vers le bâtiment.
Ce sont les gars d'en bas qui m'ouvre la porte. Je les salut et prends l'ascenseur qui fonctionne une fois tout les 33 du mois.

Je sonne à la porte et attend qu'on vienne m'ouvrir.

.... : oh la grosse

Moi : déjà on ouvre la porte et on dit bonjour là plus belle merveille de ce monde

Il me calcule même pas et prends Aymen dans mes bras pour parti.
Mounir de merde.
Je le suis au salon ou y'avait mes parents ainsi que ma sœur.

Je m'installe au côté de Maëlys après les avoir saluer et attend qu'on m'explique le but de la réunion.

Ma mère : Maëvah tu sais que nous t'aimons et ne voulons que ton bien

Moi : euh oui

Mes parents se regardent hésitant à poursuivre la conversation.

Mounir : quelqu'un va venir te demander ta main

PARDON ?

Moi : hein ? C'est une blague

Maelys : Mounir, tu fais chier, c'est faux, c'est m-moi qu'on va venir demander en mariage dans deux jours

Moi : NOOOON

ELLE : SIIIIIII

On se saute dessus trop heureuse pour elle. Je n'avais pas besoin de demander l'identité de l'heureux élu. Je pense que nous le savons tous.

Moi : c'est tout ?

Mon père : non, j'en ai discuté avec Rodrigue, on sait que ça ne va pas te plaire ce que l'on va te dire, mais tout le monde est d'accord du fait que tu devrais penser à te marier

Ma mère : il faut que tu te maris, tu as besoin de quelqu'un pour t'aider avec les enfants, on sera toujours là pour toi mais tu as besoin d'une autre personne

Je les regarde attendant le moment où ils me diront que ce n'était qu'une blague, mais rien. D'un coup il y'a comme un silence.

Moi : ok, je vais me marier, une fois que le père de mes enfants sera revenu

Mounir : Maëvah arrête de faire ta tête de mule, tu n'arriveras pas à t'occuper des petits toute seule pendant dix ans

Moi : et qu'est ce qui va m'en empêcher ? Des mères célibataires il en existe beaucoup, pourquoi je dois me marier ? Ça ne fait même pas encore un an qu'il est parti, vous n'allez pas un peu trop vite là ?

Ils venaient de me saouler avec leur mariage de merde. Je n'ai même plus attendu la suite que je suis partie de la maison en claquant la porte laissant Aymen avec eux le temps de me calmer un peu. Je déteste que l'on me parle de ça, qu'est ce qu'ils ont à me presser comme ça.

Je monte dans ma voiture et démarre pour aller je ne sais où.

Après presque une heure de roule, je me gare sur le côté et décide d'un peu marcher. Il était déjà dix huit heures et il faisait nuit. J'entre dans un petit parc vide et m'y installe en sortant mon téléphone qui ne cessait de sonner.

Moi : allô

Nayla : Maëvah ma belle ça va ? Ta sœur m'a appelé pour me dire que tu étais sortie de chez toi en colère, il s'est passé quoi

Moi : ils veulent tous que je me marie

- d'un ton plus calme, ce n'est pas de leur faute, c'est Nasser qui fait que dire aux autres qu'il faut que tu te maries, pour ton bien et celui des gosses

Moi : mais qu'est ce qu'ils ne comprennent pas quand je dis que je ne veux pas ? Merde je peux quand même choisir quand et avec qui je veux le faire ? Et lui ce con au lieu de vouloir me caser avec n'importe qui qu'il se mêle de ses fesses déjà

Je la raccroche, et balance mon téléphone je ne sais où. Dieu merci ce n'était qu'un vieux téléphone qui beuguer déjà, sinon je l'aurais regretter surtout qu'avec ce noir on ne voit presque rien.

Je m'essuies les yeux et me relève de ma place pour rentrer.


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La Pute Du Kartier- ChroniqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant