💫 Partie LXII 💫

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Salam Aleykoum/Bonjour

Maëvah- La Pute Du Kartier

Maëvah-✨ La Pute Du Kartier✨

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Bonne Lecture 📖

Une fois Aymen au lit. Je me mets en pyjama.
Après avoir ranger tout les affaires acheter.
Je reviens au salon et récupère Yanis qui s'était endormi sur le canapé pour le remettre dans son lit. Il était 16 heures et je devais recevoir les enfants de mon père vers 19 heures.
Je m'installe sur le fauteuil à gauche de Nasser et le regarde, attendant qu'il se décide à me parler.

- Maëvah

Je tourne ma tête et le regarde attendant qu'il continu.

Nasser : faut qu'on parle

Lui : ce qui c'est passé y'a un mois, je suis désolé d'être parti comme ça

Moi : je sais que c'est moi qui ait fauté en acceptant son chantage mais tu voulais que je fasse quoi Nasser

Lui : que tu me fasses confiance pour commencer, tu étais prête à aller donner ton corps à ce putain te rends tu comptes

Moi : si cela me permettait de te garder à mes côtés alors oui je l'aurais fait

Je le vois se passer les mains dans les cheveux signe qu'il commençait à s'énerver. Il vint se mettre à genoux devant moi m'encadrant le visage de ses mains.

Nasser : quel homme serait d'accord de laisser sa femme se faire toucher par un autre

Il m'essuie une larme que je venais de lâcher sans m'en rendre compte.

Moi : et quelle femme serait prête à laisser son homme partir sans rien faire, sachant en plus qu'on lui donnait la possibilité de l'aider

- et pour toi c'était la meilleure façon de m'aider ? Tu penses réellement que j'aurais été heureux de savoir que ma moitié coucher avec un homme pour m'éviter la prison

Moi : mais t'aller perdre la garde de Yanis et prendre bea...

Nasser : je m'en fou de prendre dix vingt ans de prison Maëvah, je préfère mille fois cela que te voir faire quelque chose que tu allais regretter, et pour ce qui est de Yanis jamais je n'aurais laisser Yasmine l'avoir tu le sais

Je ne lui répond pas ne sachant pas quoi dire. Je pose mes mains sur les siennes qui étaient elles toujours placer sur mon visage.
Je fonds en larme me sentant désoler de l'avoir déçu.

Moi : je suis tellement désolée

Lui : arrête de pleurer, je n'ai pas beaucoup de temps, ils vont bientôt venir me chercher

Je relève aussitôt la tête.

Non, non tous mais pas ça.

Moi : qui ?

J'avais déjà une idée mais j'avais besoin d'être rassurer. Fallait que je vérifie que non je me trompais.

Lui : la police

J'eu la respiration couper durant les secondes qui ont suivi.

Lui : à l'heure qu'il est, il a surement dû déjà me poucave à la police et ils doivent même pas être loin

Moi : non...non Nasser, tu peux pas, tu peux pas me laisser

je me jette dans ses bras et le serre aussi fort que je le pouvais. Il resserre à son tour ses bras derrière mon dos essayant de calmer mes pleurs. Mais c'était impossible que je ne m'arrête, ils ne pouvaient pas me le prendre. Je ne voulais pas qu'on me l'arrache.

Moi : me laisse pas s'il te plaît

Nasser : calme toi mon ange, je n'aime pas te voir comme ça

Il me décolle difficilement de lui et vint plaquer ses lèvres sur les miennes.
Je réponds à son baiser, le faisait basculer au sol pour me retrouver assise sur son bassin, mes jambes de chaque côté de son corps.

J'approfondis notre échange en rajoutant la langue. Il me serre par la taille m'allongea complètement sur son corps.

BOUM BOUM BOUM

.........   : POLICE OUVREZ

Nasser : Maë...vah

Moi : non je veux pas

J'essaye de le réembrasser mais il me recule et nous relève. Il m'embrasse le front et pars ouvrir la porte avec moi le suivant en pleure.

Nasser : oui qu'est ce qui y a

Un policier : vous êtes bien Nasser Abd***

Nasser : oui

Un autre policier : vous êtes en arrestation pour trafique de drogues et d'armes à feu * à son collègue *  menottez le, nous allons vérifier qu'il n' y a rien

Je le prends dans mes bras avant qu'on ne le menottes.

Moi : les-les enfants

Lui : -aux policiers- je peux au moins  dire au revoir à mes enfants

Les flic se regardent puis hochent la tête lui donnant le droit.

Il part dans la chambre suivit d'un policier. Je me passe une mains dans les cheveux, composant un message pour envoyer à son frère et sa sœur ainsi que ma famille.

Nasser : Maëvah

Moi : mmh

Lui : occupe bien des enfants comme tu l'as toujours fais, et y'a possibilité que j'y reste longtemps, ça me fait pas plaisir de te dire cela mais je ne veux pas que tu m'attendes

Moi : q....quoi ?

Nasser : dès que l'occasion se présente saisi ta chance et mari toi, mais sache une chose

Il me relève la tête avec difficulté à cause des menottes puis me smack les lèvres.

Nasser : je t'aime

Et c'est sur ses mots qu'ils l'amenèrent me laissant seule devant l'entrée en pleurs.
   

    

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La Pute Du Kartier- ChroniqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant