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Image de la place et du jeune homme.


Je me lance en première sur l'échelle :

- Mohane attend ! Ce n'est pas une bonne idée. On ne sait pas qui nous attend en haut.

- Il faut bien tenter. On ne va pas attendre en bas de l'échelle que la trappe s'ouvre. Moi j'y vais avec ou sans toi.

- Ok laisse moi passer d'abord alors.

- Nan, j'y vais.

- Mohane. J'y vais.

Il m'attrape par la taille et me pose délicatement au sol. J'avais oublié qu'il était aussi musclé.

-Tu m'attends là.

Il devient vraiment sévère. Je le comprends. On ne sait pas ce qu'il y a au dessus.

Je le regarde monter, lentement. Sans bruit. Je suis juste concentrée à le regarder. J'ai l'impression d'être à sa place sur l'échelle, d'avoir la même pression sur les épaules que lui. De monter sans savoir où je vais.

Il est au niveau de la trappe. Mon cœur bat de plus en plus vite. Est-ce une sortie ou un piège ? Nous allons vite le savoir.

Il pose sa main sur la trappe et la pouce légèrement.

Je le vois regarder discrètement dans l'ouverture quand la trappe se fait ouvrir brusquement.

Trey se fait tirer puis la trappe se referme.

Je lâche un énorme hurlement. Je n'arrive pas à comprendre ce qu'il vient de se passer.

Je bondis sur l'échelle et monte jusqu'à cette fameuse trappe que j'ouvre brutalement.

Il n'y a plus personne.

J'arrive dans une rue assez sale, une impasse.

il n'y a aucune trace de passage, aucune trace de Trey.

En face de moi il y a une porte métallique sur le mur d'un immeuble. Je pense qu'ils n'ont put passer que par là.

Je décide d'y rentrer.

La porte est ouverte. Je rentre. La porte mène à un escalier. Je descends et tombe sur une porte. Je passe et arrive dans un couloir blanc illuminé de néons clignotants pour certains.

J'entend un bruit de porte. Ils sont là. J'en suis sure.

Rien au mur, rien au sol, seulement un virage au bout du couloir. Je cours jusqu'à celui-ci.

J'arrive face à une porte blanche. Je la pousse et arrive dans une pièce carrée, blanche et vide. Il y a une sorte de sortie de secours métallique.

Il y a un homme au milieu de la pièce. Les pieds légèrement écartés, les bras croisés il est très musclé et il est tatoué des deux bras. Il porte un débardeur noir un peu large et un jean foncé. Il a le visage assez fermé, neutre.

je me stoppe net dans mon élan.

- Je t'attendais.

- Qui es-tu ?

-Tu n'as pas à te soucier de qui je suis. Je suis de ton côté. Suis-moi.

-Nan. Je ne te connais pas. Qui me dit que tu ne travailles pas pour eux ?

-Sincèrement ? J'ai vraiment une tête à travaillé pour la direction ? Aller viens avec moi avant que je ne sois obligé de te forcer. Et puis de toute façon sans moi tu es perdue.

Il me tend la main.

Je jette un coup d'oeil à ses bras musclé et décide finalement de lui prendre la main. Je n'aurais aucune chance face à lui.

-Bonne décision.

-Est ce que tu peux me dire qui tu es maintenant que nous sommes dans le même camp ?

-Pas maintenant, tu le découvriras par toi même dans peu de temps.

Il m'emmène à la porte de sortie. Nous arrivons sur une place ronde avec un Trianon placé au centre. La place est entourée de bâtiments carré, symétriques. Nous passons sous les arcades et entrons dans un de bâtiment. Nous entrons dans un appartement lugubre au rez-de-chaussée. Le décor est simple, les meubles sont vieux et usés. Ce n'est absolument pas chaleureux. ça à l'air vide. Nous traversons rapidement jusqu'à arriver à une trappe dans une pièce qui sert de placard. Nous descendons l'escalier et arrivons dans un petit couloir blanc très lumineux. Nous passons la porte au bout et arrivons dans une grande salle. Au milieu il y a une table avec des écrans de contrôle, des plans informatique... Au fond il y a plusieurs hommes sur des ordinateurs. Sur les cotés il y a des canapés et des tables. À une d'entre elle je vois Alrich, Tatiana et Trey en train de discuter.

L'homme qui m'a conduit jusqu'ici se retourne vers moi

- Sian, chef des Frondeurs, pour vous servir.

Il fait un geste de salutation de la main.

Alrich se lève et avance vers moi.

- Bienvenue dans la Rebellion ma belle. 


Voilà désolé du retard mais j'était en vacances sans réseau et je profitait aussi je n'avais pas eu le temps de le finir et de le poster, j'espère qu'il vous à plu. 

la bise

The FutureOù les histoires vivent. Découvrez maintenant