comment communiquer

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Pov Lexa

Impossible de raté le clan du ciel même dans cette forêt touffue, avec tout le bruit qu'ils arrivent à produire pour un si petit nombre de personnes, chacun d'eux semble avoir pour penser de crier du plus haut de sa voix pour couvrir celle de tous les autres.

Et pourtant ils tentent encore de chasser quelque chose, tentatives inutiles...

Du haut de son arbre Lexa pouvais facilement voir tout le territoire que c'était approprié les Skaikru, presque exactement à la même place que la dernière fois.

Elle repérât rapidement Abby et Kane qui criait à des gens ici et là, on aurait dit qu'ils se préparaient à la guerre, peut-être que Clarke n'avait exagérer, ce peuple était vraiment toujours préparé au pire sans prendre de profiter.

Elle descendit de son arbre et alla rejoindre les quelques guerriers qu'elle avait prévu en cas d'échec de la mission, elle savait qu'il y a toujours un risque, ce n'est pas sa première guerre tout de même !

Ils se dirigèrent tous d'un pas décidé vers l'orée du bois pour rejoindre le camp du potentiel ennemi, mais juste avant d'atteindre la lumière la moitié de la garde s'arrêta pour rendre leur entrée moins offensive.

A peine était-ils mis à découvert des cris d'alerte on put être entendus et du monde s'approcha en courant pour essayer de comprendre pourquoi tant de tapage est nécessaire, sur cette planète normalement vierge de toute civilisation.

Tout le monde ouvrait de grands yeux quand ils voyaient les terriens s'approcher d'eux, mais personnes n'osait plus crier sûrement à cause de leurs peintures de guerre, ou de leurs armes qui pendaient de part et d'autre de leurs corps. Ils avaient beau n'été que 10 ont aurais pu croire à la tête des Arkadiens qu'ils avaient devant eux une armée de la taille de celle d'Azgeda.

Une fois devant les grilles Lexa cria à voir le chef de leurs peuples, elle s'attendait évidemment à voir soit Kane soit Abby mais ce fit les deux qui sortir entourés de plusieurs gardes armés. Tous se fixaient les uns les autres attendant que celui qui aurait le plus de courage ouvre la conversation. Ce fut forcement Lexa...

-Je vous saluent dirigeants de l'arche. Elle essayer de la jouer soft avec eux.

Ce fut Kane qui eut le cran de lui répondre comme elle l'avait prémédité.

-Nous vous saluons, mais qui êtes-vous ?

-Au moins vous êtes polis vous ! S'écria un des gardes de Lexa qui fut rapidement remis à sa place par un simple regard de son commandant. Pas très rassurée par cette démonstration d'autorité, Abby eu tout de même le courage de demander :

-Comment pouvez-vous parler notre langue et que sont devenus tous nos enfants ?

-Du calme, Abby, je pense qu'elle ne peut pas tout vous dire maintenant, la calma Kane.

-Je veux bien répondre à toute vos questions je suis ici pour cela.

-Excellent, s'exclama Kane, nous devrions rentrée à l'intérieur pour discuter de tout cela.

Le pauvre essayait de jouer le médiateur, entre elle et cette femme qu'elle ne sentait déjà pas très bien.

-Bien-sûr, répondit Lexa.

Ils rentrèrent dans l'enceinte de L'arche en passant par la cour remplit de nombreux visages attentifs et curieux du peuple. Personne ne semblait vraiment effrayé c'est un bon point pensa Lexa, ils ne nous tireront pas dessus a vu

Ils entrèrent dans une grande salle avec une énorme table au milieu, chacun s'installa à un coin de l'épaisse table en ferraille grise peu amicale. Curieux comme à son habitude Kane commença rapidement la conversation.

-Alors, il y a des gens sur Terre !

-Oui, depuis toujours à mon simple avis mais la vie y est beaucoup plus sauvage comme vos enfants l'on fait remarquer, nous vivons plus dans des conditions violentes.

-Pourquoi cela ?

-Nous devons-nous protégeons des uns et des autres et la nature elle aussi à évoluer et il y a maintenant dans ses forêts des créatures qui n'hésite pas à tuer tout un village si l'envie leurs prennent.

-C'est affreux, c'est étonnant que nous ne nous soyons pas fait « attaquer », nous avons conscience de notre attitude peut discrète.

-Cela n'a rien de surprenant nous faisons en sorte que vous soyez en sécurité, votre « village » est constamment surveillé par mes guerriers.

-Donc vous nous protéger depuis notre arrivée. Pourquoi ?

-Car j'ai chez moi, quelqu'un qui tient à que vous surviviez tous et cette constante c'est juste jusqu'à que vous soyez capable de vous débrouiller seule ici, mais nous vous apprendrons.

C'est à ce moment que Abby décida enfin à parler.

-Qui est cette personne si importante pour prendre ce genre de décision ?

-Ma reine mais vous la verrez prochainement.

-Elle va venir ? S'enquit Kane.

-Non, je comptais vous demander de venir tous les deux à notre capitale, Polis, pour que nous vous racontions notre histoire, notre façon de vivre que ce soit politiquement que la simple agriculture et les moyens de survivre bien-sûr et le plus important nos règles car malgré le fait que ma femme soit attachée à votre peuple, de nombreux clans sont assez dubitatifs sur le besoin de vous garder en vie. Pour le moment nous pouvons les calmer mais vous aurez l'occasion de prouver votre bonne fois envers ma coalition. J'espère.

-Pourquoi dites-vous tout cela comme si vous étiez sûr que nous ferons cela, vous ne pensez pas que nous pourrions survivre sans vôtre aide.

-Abby des Skaikru, j'ai beaucoup de respect pour vous, malgré ce ton désagréable que vous persister à utiliser envers moi. Mais je vais essayer de vous expliquer correctement la situation et sans perdre mon sang-froid si possible. Depuis votre arrivée sur Terre vous revendiquer des terres qui appartiennent à mon clan, vous avez beau êtres humains aucuns de vous n'est un terriens, vous n'êtes que des invités sur cette planète. Ici il y a des règles dont vous n'êtes pas exemptée malgré votre intelligence, grâce à ces règles j'ai unis 12 clans et j'espère bientôt un 13ème, mais vous réduire tous en poussières ne m'empêcheras pas de dormir. Et je voudrais préciser que sans les rondes qu'effectues mes guerriers autour de votre village, vous seriez tous déjà mort, donc je pense que vous nous êtes tous redevables.

Abby n'osait plus ouvrir la bouche, la réaction que Lexa espérait, mais Kane tenta de faire redescendre la tension qui planait tel un épais brouillard dans la pièce.

-Nous partons dès maintenant avec vous à votre capitale, sans accidents, nous ne cherchons pas de guerre, nous voulons juste protéger notre peuple, vous pouvez comprendre cela.

-Préparer vos affaires des chevaux seront là dans 1 heure.

le temps d'une vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant