les crises de wanheda

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Clarke alla rassurer sa fille qui commençait à pleurer à cause du bruit soudain, ce qui fut suivi par les pleurs de Natan et comme la blonde l'avait prévu, les cris des ambassadeurs qui eux étaient indignés par le manque de respect d'Abby envers leur commandant. Et Lexa n'allait surement pas laisser passer cet affront direct envers elle.

-Comment osez-vous ? je vous invite dans ma demeure, à ma table, je vous offre les terres de votre atterrissage, sans rien demander en retour et vous osez hausser le ton ! Pour qui vous prenez-vous !

Abby était soufflée par cette gamine qui lui dictais une loi qu'elle n'avait jamais acceptée.

-Je vous assure que nous n'avons jamais demander à avoir ces terres et surement jamais signer pour avoir une enfant comme nouveau dirigeant !

Clarke en avait plus qu'assez de tels mots sortir de la bouche de sa mère alors qu'elle devrait être en train de remercier platement sa femme pour les avoir acceptés sans rien en échange au lieu de l'insulter d'enfant et de penser qu'ils pourraient survivre plus de quelques jours seuls sur Terre, quels ignorants ! C'est surement comme cela que nous avaient vus les Grounders avant.

-GARDES ! Envoyez les dirigeants de Skaikru dans leurs quartiers jusqu'à que je vienne les voir !

Les gardes s'exécutèrent rapidement à la surprise d'Abby, qui fut éloignée de force à travers les portes de la salle, tandis que Kane suivait doucement.

Une fois tout le monde partis et les enfants calmés, tout le monde se rassit et Clarke recommença sa discutions avec les ambassadeurs comme si rien n'était arrivé :

-Il faudrait que Le clan des plaines laisse quelques arbres au clan des bateaux, qui pour le moment sont en mauvaises saison pour le moment.

Bien entendu, tout est rapidement revenu à la normale, ce genre d'esclandre était tous sauf rare, mais c'est vrai que dans ce genre de cas finissait normalement avec des exécutions. Lexa scrutait souvent Clarke en coin, pour essayer de prévoir une crise, qu'elle avait surnommée "Furie de Wanheda, c'était les rares moments où la blonde laissait son alter-ego prendre le relais sur sa personnalité en cas de choque ou de colère, elle ne critiquait rien car cela lui arrivait de temps en temps aussi. Dans ce moment-là mieux vaut ne pas être autour d'elle. Même elle ne pouvait pas la calmer, les quelques fois furent courtes mais assez dévastatrices.

La première fois fut quand une tentative d'enlèvement fut faite sur Allia par le clan du feu, qui avait toujours sembler être de loyaux sujets, s'étaient rebellés à la naissance de la petite princesse et avaient quelques assassins.

- Flashback :

Les réunions s'étaient cumulées pour les deux dirigeants et malgré la dernière naissance de leur fille, Clarke avait refusée d'être mise à l'écart et de laisser les autres contrôler pour elle.

Une fois la dernière querelle idiote réglée, elles purent retourner dans leurs appartements en toute quiétude, mais en arrivant devant celle-ci, la porte était ouverte sans gardes devant pour la garder, et pour cause, ces derniers étaient assommés dans un coin de la chambre.

Lexa couru directement le landau qu'elle trouva vide, ce qu'elle avait tant redouté était arrivé, son poste de commandant avait blessé sa famille.

En se recourant elle s'attendais à voir sa femme effondrer et en pleurs ou au pire en colère contre elle pour avoir mis Allia en danger, mais non son visage était crispé mais avec un sourire carnassier et avant qu'elle ne puisse lui en demander son origine, elle était hors de vu.

Elle n'eut pas temps de la rattraper, le temps qu'elle arrive en bas de la tour, la blonde avait déjà mis 3 gardes hors combat, tout le monde semblait surpris et apeuré de la rage de cette femme pourtant tellement calme et discrète d'habitude.

Lexa faisait partit des gens qui admirait la façon parfaite dont la reine combattait mais la brune elle se demander aussi où elle avait su car la blonde n'avait jamais été formée, donc elle ne devait normalement pas savoir comment mettre à terre des hommes bien plus grands et plus forts qu'elle. Ses gestes étaient sans doute, fluides, elle semblait pouvoir prévoir les attaques de ses adversaires avant qu'ils ne les fassent ; puis elle put entrevoir ses yeux entre deux mèches de cheveux reflétant le soleil de midi, ses yeux était rouge sang, personne ne pouvait avoir des yeux comme cela...

le temps d'une vieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant