chapitre 21

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Pdv Claire

Joachim me jette dans l'une des voitures stationnées. Je me jette sur lui et lui donne un coup de poing.

Joachim, fort mécontent : merde ! Sale pute ! Tu as de la chance que tu plaises bien au boss, sinon je t'aurais appris le respect, me dit-il en rageant. Il me met des menottes et va se mettre au volant. Bon allons-y, me dit-il avant de démarrer.

On roule un bon moment, avant de s'arrêter devant une baraque style européen magnifique en banlieue de Paris.

On passe devant des grilles gardées par des gorilles en costume noir

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On passe devant des grilles gardées par des gorilles en costume noir. Il y a plein de caméras partout. Je ne pourrais pas m'échapper de cet endroit aussi facilement que je l'espérais. Merde ! La voiture s'arrête et Joachim descend de la voiture et m'ouvre la portière.

Joachim, me tirant de la voiture avec brutalité : nous sommes arrivés la sauvageonne. Une jeune femme arrive et Joachim s'adresse à elle. Je te présente Claire Rossignol, la fille de Lestor, Lucie.

Lucie, de mauvaise humeur : je sais qui c'est. Donc explique moi une chose: qu'est-ce qu'elle fait ici alors ? Le plan n'a pas marché ou quoi, lui demande-t-elle tendue ?

Joachim : ça a marché et même mieux que tu ne le crois pas. Le boss est formidable, formidablement effrayant, dit-il en riant. Même à moi, il a foutu les chocottes. Le boss a abattu Lestor avant que je ne parte. Il lui raconte tout ce qui s'est passé. Bon, il m'a dit demandé de l'emmener ici. Je pense que le boss va s'amuser avec elle ce soir, pourrais-tu t'en occuper s'il te plaît ?

Lucie : OK, je m'en occupe. Elle s'adresse à moi. Toi suis moi. Je la suis, prenant garde à faire attention à tout autour de moi qui pourrait me permettre de fuir. Même à l'intérieur, il y a des gardes. Je n'ai jamais vu cela, même ma maison n'était pas aussi protégé. On rentre dans une chambre au deuxième étage.

Lucie : tu ne peux pas rencontrer le boss, vêtue de cette manière, dit-elle en inspectant ma robe déchirée. Bon faut que je m'occupe de toi. Elle s'approche de moi et commence à essayer de me dévêtir, quand je lui envoie un coup de pied bien placé dans son ventre. Putain ! Tu veux jouer à ça ? Elle se rend dans la salle de bain de la chambre et revient. Elle se rapproche de moi et cette fois, m'attache avec une corde, avant de m'enfoncer l'aiguille dune seringue dans l'avant bras.

Moi, en train de perdre mes moyens : qu'est-ce que tu m'as fait. Elle sourit et je regarde le reste d'un liquide incolore dans sa seringue.

Lucie, m'injectant le reste du contenu de la seringue: c'est juste des calmants, je n'oserais pas t'abîmer, alors que tu es le jouet du boss. Ce serait succidaire de ma part. Mais comme tu ne me laisse pas faire mon travail je n'ai pas trop le choix. J'entends difficilement ses derniers mots avant de plonger dans un état second.

Sous l'emprise d'un diableOù les histoires vivent. Découvrez maintenant