Pdv Claire pendant ce temps
Je me suis réveillée, d'une humeur bien différentes de la veille, préparée mentalement à accomplir mon plan : séduire cet abruti d'assassin. Je m'habille d'une robe noire simple mais décente (multimédia) et d'une paire de talons. Je noublie pas que je viens de perdre toute ma famille. Je me fais un queue de cheval. Je sors de la chambre. Je pensais trouver des gardes devant ma porte comme il l'avait dit la veille mais je ne vois personne. Je me déplace dans les couloirs, jusqu'à tomber sur cette détestable personne.
Joachim, discutant avec un des gardes dans le couloir : oui donc n'oublie pas de remettre à jour les caméras de la maison des Rossignols. Le boss veut les vidéos pour ce soir. Il me voit arriver et congédie le gars. Salut poupée. Tu as passé une bonne nuit ? Il se lèche les lèvres. Je sais que le boss ne t'a pas touché hier.
Moi, ironiquement : à ce que je vois, les nouvelles vont vite ici ?
Lui, s'approchant dangereusement vers moi : même plus vite que tu ne le crois. Il me saisit par le bras et m'attrape vivement. Un jour, beauté tu seras rien qu'à moi. Donc profite encore du peu de liberté que t'offre Louis.
Jonas, d'une voix froide dans notre dos : éloigne toi de la propriété du boss, tout de suite Joachim. Celui-ci me lâche immédiatement et s'en va. Je me rapproche de Jonas pour le remercier. Le boss t'attend dans son bureau. Tu ferais mieux de te dépêcher. Il déteste qu'on le fasse attendre. Je le suis jusqu'à une pièce au premier étage. Il cogne, on entend un entré. Rentre, il va te recevoir. Il m'ouvre la porte avant de s'en aller en la refermant dans mon dos. Je me sens, prise au piège littéralement.
Louis est assis dans son fauteuil. Je vois à son visage qu'il est de bien piètre humeur. Je reste debout, le plus loin possible de lui, c'est-à-dire collée à la porte. Mais dés qu'il me voit, il sourit.
Louis, cachant son mécontentement : salut swetty. Tu as bien dormi ? J'acquiesce de la tête. Approche et assied-toi. Nous devons parler mais vite et bien. J'ai les conneries de ton père à réparer.
Moi, énervée : je t'interdis de parler en mal de mon père, je lui crie dessus. Merde, mon plan ne commence pas si bien que ça. Il ne réagit pas.
Lui, calmement : si je dois encore répété de venir t'asseoir ici sagement, je ne réponds plus de rien. Son ton est menaçant. Il semble de mauvaise humeur, mieux vaut ne pas l'énerver encore plus. Je m'exécute, en essayant de cacher mon stress. Ton père t'a t-il déjà parlé de l'état actuel du groupe ? Je lui fais un non de la tête. Tu es allé en suisse et tu as fais tout ton cursus là-bas, du secondaire à l'Université. Sais-tu où ton père a trouvé l'argent pour tout cela ou pour tes petites gâteries ? Il a vendu des parts de notre marché aux autres mafias, il a escroqué des gens pour pouvoir te laisser vivre dans ce paradis d'abondance qu'il avait créée pour toi. Tout cela sur le dos du groupe. Je suis tellement choquée par ce qu'il vient de dire, que je ne réponds rien. Mon père aurait fait ça ? Lui un homme si bon, si respecté, si dévoué à sa mafia ? Non je ne peux y croire, il ment. Tu peux te berner d'illusion en essayant de penser que je mens, mais j'ai des preuves de tout cela. Regarde. Il me tend sa tablette.
Je regarde les documents et je dois avouer avec tristesse qu'il a raison. Je sens des larmes coulées sur mes joues. Tout mon monde vient de s'effondrer.
Pdv Louis
Dès que je me rends compte qu'elle pleure, je me lève de mon fauteuil, contourne mon bureau et m'approche du sien.
Moi, d'une voix douce : regarde moi Claire. Elle ne répond rien et ne bouge pas. Cette fille me désespère. J'essaie de faire des réels efforts pour ne pas hausser la voix sur elle. Je soupire profondément, avant de lui prendre le menton entre mes doigts et de tourner sa tête dans ma direction pour que nos regards se croisent. Hé ma belle, ne pleure plus, je lui dis en essuyant ses larmes du bout des doigts. Je la regarde intensément. Même en larmes, elle dégage une certaine force. Mais je dois reconnaître qu'elle me montre là son côté de faiblesse. Elle ressemble à cet instant à un jeune papillon qui fait ses premiers pas dans le vrai monde, mais qui a dû mal à casser son cocon. Ce n'est pas la fin du monde mon papillon. Je m'apprête à lui dire quelques paroles de réconfort, lorsqu'elle m'embrasse subitement. Je prends une demi-seconde pour réfléchir, avant de lui retourner son baiser. Je la soulève, elle passe ses jambes autour de mes hanches de manière à ne pas tomber. Je pousse tout ce qui se trouve sur mon bureau. Tanpis si qqch se casse. Je la dépose brutalement sur le bureau, avant de continuer à l'embrasser. Je passe ma langue dans sa bouche pour commencer une danse endiablée avec la sienne. Je descend complètement, la fermeture dans le dos de sa robe, avant de faire glisser une de ses manches. Révélant ainsi, une peau laiteuse et douce. Je lui mordille le creux de l'oreille, le cou... Lorsque j'entends un gémissement franchir ses douces lèvres, je souris automatiquement. Je lui fais des suçons pour marquer mon passage sur sa peau. Je la dévêt de plus en plus, laissant apparaitre son magnifique soutien en dentelle noir. Elle veut se coucher sur la table, mais je lui interdis, la maintenant fermement par mon bras dans son dos. Je sens mon désir, monté en flèche et je le ressens jusqu'à mon membre qui se dresse dans mon boxer. Je sens que je ne tiendrais pas longtemps comme cela. Je m'attaque à ses seins, lorsque j'entends un coup donné dans ma porte. C'est qui, je demande d'une voix énervée et roque.
Jonas, d'une voix calme de l'autre côté de la porte : boss, nous devons y aller c'est bientôt l'heure de votre réunion avec les cadres du groupes neutres et votre visite de tous nos dépôts.Merde, j'avais oublié cela. Je m'arrête brusquement. Claire se ressaisis, avant de descendre du bureau. Elle se r'habille en vitesse. Elle me fusille littéralement du regard. Je sens qu'elle est fâchée et elle semble avoir du mal à fermer sa fermeture. Je me place dans son dos, malgré ses protestations pour l'aider. En refermant la fermeture, je lui mords légèrement l'oreille, elle gémis
Moi, d'une voix roque : je n'en ai pas fini avec toi, mon papillon. J'ai beaucoup de projets pour nous, ce soir. Attends-moi ce soir dans ta chambre, toute en beauté et je finirais ce que je n'ai pas pu. Je sors de la pièce, sans lui jeter plus de regard et je me dirige vers l'entrée de la maison, pour monter avec Jonas dans une des berlines noires présentes. Je me reprends, car je vais faire un job pas très marrant aujourd'hui. Mais ce qui me réjouit, c'est de penser à l'idée de retrouver mon papillon ce soir et de la dévorer toute crue.
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Sous l'emprise d'un diable
Random"BEAU. SEXY. VANTARD. CONNARD. ORGUEILLEUX. POSSESSIF. DIABOLIQUE. SALAUD. Tous ces mots pourraient définir cet homme ou ce diable." "Mais pourquoi ? D'après ce que je sais de lui ne devrait-il pas être le mari parfait ? " "Laisse...