chapitre 28

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Pdv Louis

Je regarde Claire dans les yeux. Je n'aime pas les cachotteries et les secrets. Elle devrait le savoir depuis le temps.

Moi, essayant de garder un ton posé : Claire Rossignol ! Je ne vais pas et ne veux pas me répéter. De quoi parlait-elle ? De quoi parlait Lucie ?

Elle, essayant de trouver ses mots: elle me demandait si je comptais porter ma robe bleue ou noire pour le dîner de ce soir, avec tes associés. Et j'ai répondu la bleue et elle a trouvé mon choix judicieux.

Moi, suspicieux : j'espère que tu ne me mens pas. Tu sais très bien, à quel point je n'aime pas cela. Je laisse tomber. Bon mettons ceci de côté pour l'instant. Une dernière chose ! Finalement, je préfère que tu ne rencontres pas mes associés. Elle se met à bouder. Pas ce soir en tout cas. J'essaie de la calmer. Tu comprendras bientôt.

Elle, un peu moins énervée: je voulais savoir s'il était possible que je me rende à Paris jeudi pour aller faire des courses.

Moi, m'installant confortablement sur le lit : je ne sais pas trop.

Elle, après m'avoir embrassé : stp Louis. Tu as dit que tu me faisais confiance. Je ne suis toujours pas convaincu, mais moins braqué
De plus c'est tellement amusant de la faire mariner. Surtout qu'elle sait très bien comment me décoincer depuis le temps. Mais j'adore le pouvoir que j'ai sur elle en ce moment, le pouvoir de décider pour elle. Allez ! Et ça me ferait tellement de bien. En plus je vais juste faire les magasins.

Moi, assez content : j'accepte. Mais je veux que tu sois accompagnée. Je te rappelle que nous n'avons pas réglé complètement les problèmes avec la mafia russe.

Elle, sautant de joie : youpi ! Elle agit parfois tellement comme une gamine. Ce genre de moment, me permette de me rappeler qu'elle n'a même pas encore 19 ans. Même si, elle aime se la jouer indestructible et sûre d'elle tout le temps. Elle n'a pas fini de grandir et je dois aussi faire attention à cela. J'irais avec Lucie. Comme cela je pourrais rentrer dans la boutique en toute discrétion parce que tes gars de la dernière fois, ont trop effrayé les gens autour de moi.

Moi, réfléchissant : si tu veux. Après tout, Lucie est un très bon élément. Je veux bien. Je me redresse tout en la faisant basculer pour me mettre au dessus d'elle. Bon reprenons où nous en étions, je lui dis avec un sourire coquin. Je l'embrasse et je commence à descendre ma main, vers son entrejambe. Elle écarte naturellement les jambes. Lorsque j'atteins sa culotte, je constate qu'elle est déjà bien mouillée. Je crois que les préliminaires ne seront pas nécessaires cette fois-ci. Je me déshabille sans tarder, je déchire sa culotte. Pauvre petit bout de tissus. Je place ma queue dressée et bandante à l'entrée de sa chatte. Je la sens se cambrer pour se rapprocher de moi. Je la maintiens en place. Du calme, du calme, vilaine petite fille ! Tu ne connais plus le mot magique ?

Elle, tendue et haletante : s'il te plait.... Louis.... s'il te plait....

Dès que j'entends sa supplication, un sourire des plus sadiques se fige sur mon visage. Et d'un coup de rein puissant, je la pénètre brusquement, lui arrachant un cri. Je continue mes va et viens en elle. Putain, elle est trop bonne. J'accélère la cadence, encouragé par ses gémissements qui sont de plus en plus bruyants. Et à un moment, je sens la jouissance monter et j'éjacule en elle, tandis qu'elle jouit en criant mon nom. Je me retire en elle, avant de m'étaler à ses côtés, épuisé par nos ébats et ma journée de de travail épuisante.

Sous l'emprise d'un diableOù les histoires vivent. Découvrez maintenant