Partie 10

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Je pars dans la sdb et je pris une douche détendue . Je dois être très détendue car ce soir je serai sans pitier. On dit bien qu'il ne faut pas réveiller le chat qui dort mais eux ils ont réveillés la bête sauvage. Je sors de la baignoire et me dirige dans le dressing. Je mets un slim noir, un haut lap top noir, des baskets air max noirs blanc , je me fais un chignon pété de chez pété , jporte ma cagoule noir puis mets mon gun et mon neuf milimètres dans mon sac gucci noir, zehma c'est la mode noir quoi puis je descends retrouver les filles.

Elles étaient en mode bomba et tout noir aussi. Claire avait porter un haut crot top noir et un petit cochon blanc, des baskets nike noirs et une capuche blanche. Quand à Linda elle était en combinaison(habit+petit cochon) noir et des baskets pumar noir une casquette noir.

Linda: une soirée sans cœur

Claire : sans pitié

Moi: mais beaucoup de bonheur

Claire: mdr

Linda: dis plutôt souffrance.

On se tchekent à trois et on se dirige vers le garage. Linda choisit la Rolls Royce noir et moi je conduis.

(....)

Nous venions d'arriver. J'éteins le contact et souffle avant de descendre. J'inspire un bon coup de vent car cette nuit sera trés torride et beaucoup de mauvais souvenirs vont refaire surface.

Linda: hbiba tu es sûre de pourvoir les revoirs et les affronter ?

Claire: on peut le faire pour toi inh. Tu n'as pas besoin de te salir les mains pour leurs vilaines têtes.

Moi: merci les filles mais c'est ma vengeance et je veux le faire car oui je peux le faire.

Claire essuya une larme qui venait de couler sur ma joue. On se fit un câlin à trois et c'est avec un grand courage que je franchis la porte de cette cave.

Je les vis assis à même le sol attachés comme des chiens au milieu de cette cave dégoulinantes de rats.

Vous vous demandez bien de qui je parle. Bah rappelez vous des vieux amis de mon père qui ont abusés de moi à mes 10ans. Ils étaient six et ce soir je vais avoir ma revanche.

Vieux 1 : Qui êtes vous et que nous voulez vous ? *pleure*

Vieux 2 : oui svp ne nous faîtes pas de mal on a nos enfants. *pleure*

Moi: LA FERME *rire nerveux* comme ça, ça sait pleurer ?! Mdr je croyais que vous étiez de vrai mecs mais vous n'êtes que de pdettes , ça ne sait qu'à trouer. *rire nerveux* Hichem ?

Hichem: oui patronne ?

Moi: appelle tous les autres.

Hichem : oui patronne.

Il revient 2min plus tard avec tous les autres mecs présent.

Moi: rouez les de coups ils sont à vous.

Mes hommes: pas besoin de vous faire prier.

Et ils les frappaient à mort tandis que eux ils pleuraient me suppliant de leur dire d'arrêter d'avoir pitié mais eux ils n'avaient pas eu pitié de la petite fille innocente que j'étais.

*Flashback*

Ce soir là je venais de tisor de la sdb. Depuis que mon père abuse de moi je n'oses plus sortir tellement j'avais honte de moi. Ma routine est devenue faire le ménage ,faire à grailler, me laver, me faire violer car oui je ne consentais jamais et il le faisait toujours violemment. Après je peux pas dire que je mangeais car à peine j'avais l'appetit. Bref je venais de quiiter la sdb quand mon père rentra dans ma chambre en boxer. Mon premier réflexe a été de me protéger le visage car il me frappait toujours pour le plaisir. Je tremblais comme une feuille.

Moi: s..sstp pas ce ...ce soir

Mon père : TG *une claque* je fais quand j'en ai envie * coups de poings*.

Il me lâche quelques secondes après.

Mon père: on a des invités *sourire*

Moi: oo...ok je vais... m..m'habiller pour les ac...accueillir.
Mon père: *rire nerveux* non tu es en serviette et ça nous facilitera la tâche *se mord la lèvre inférieur et regards pervers* viens on y va.

"nous" mon cœur s'emballa et mes larmes s'intensifièrent. Ça veut dire que.. Non! Pourquoi moi ? Qu'ai-je bien lui faire ?

Mon seul réflexe était de m'enfuir dans la salle de bain mais mon père m'avait dévancé. Je n'eus même pas le temps de tourner le poignet qu'il m'attrapa et me jeta au lit en me rouant de coups. Mes larmes me coulaient seulement.

Quelques minutes sont passées et il me prit par les veuch et me fit descendre les escaliers. Arrivé au milieu des marches je pus apercevoir six vieux laids de la quarantaine avec leurs corps disgrasseux. Ils étaient déjà nus et me dévoraient comme une viande.

Mon père me jeta au milieu d'eux et commença par enlever son boxeur.

Vieux 1 : Putain Louis tu ne m'avais pas dit que ta fille était si doter.

Vieux 2 : *frappe mes fesses et les presse* wallah même ma femme n'est pas si bien foutue *il fait un bisou sur mes fesses et les frappe*

Ils rigolent car mes fesses rebondissaient comme des balles de baseball et il les frappait plus fort ce qui les excitaient tous et je suis sûre que mes fesses son déjà rouge. Moi je pleurais seulement

Vieux 3 : petite fille suce moi *en me montrant sa bite disgrassieuse.*

Beurk !

Moi: *pleure* non

Mon père me gifla et mit de force ma bouche contre la bite du vieux.

A peine ma langue a touché sa bite que je sens quelqu'un me pénetrer dans le cul, un autre dans la chatte, un qui me pressait les seins un autre qui me frappaient les fesses et j'en passe. Ils me pénétrèrent à tour de rôles et moi je pleurais les suppliant d'arrêter mais chaque pleurs me valait une pénétration violente et des coups. Ils pouvaienr aussi me faire sucer leurs bites violemment.

Je pleurais donc finalement en silence et ce soir 7 hommes de la quarantaine m'ont baisé je dirai violé sauvagement comme un animal.

Ils revenaient deux fois par semaine pour le faire et moi je me maudissais de jour en jour.

*Fin du flashback*

J'essuie mes larmes car je ne dois plus pleurer.

Moi: arrêtez *à mes hommes* amener moi de l'eau glacé et des életrochocs.

De Garce à VoiléeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant