Partie 16

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Lui : Ah c'est chaud ! Fallait pas aussi le provoquer ! C'est pas pour welou on le surnomme le diable. Bon bref *à la fille * soigne là.

L'autre : sois prudente car elle est maligne et si elle s'échappe le boss il te tuera à sa place !

Elle hocha la tête et eux ils s'en allèrent. S'ils savaient que moi je suis le diable incarné ils ne parleraient pas ainsi. J'ai rien dit pendant leur blablatage parce que j'ai toujours ce putain de scotch à ma bouche.

Elle s'approche de moi et me fit les soins sans parler et sans m'enlever le scotch. Je bougeais quelques fois car ça pique malade.

Au bout de je ne sais combien de temps car j'ai perdu la notion du tenps depuis que le schrizo m'a kidnappée juste pour l'avoir giflé. Bref elle s'en alla peu de temps après et je m'endormis.

[....]

Je fus réveiller par un grincement de porte et je vis apparaître cette face de chiwawa du diable un grec et un soda en main.

Lui : *rigole* ah tu sens plus la pisse ! Ouf t'es grave amochée.

Dans ma tête : c'est ta faute espèce de guelb.

Il s'approche de moi et s'abaisse à mon niveau.

Lui: si tu veux pas que cette fois -ci je chie sur toi et tu vas rester dedans pendant une journée ferme -là lorsque je te débarasse du scotch et surtout ne me sous estime pas suis capable de bien pire.

Il se trompe s'il croit que je serai soumise. Mais j'aurais du l'écouter.

Dès qu'il m'arrache le scotch je lui crache à la gueule .

Moi: fdp t'es fou ! Détaches moi et on se bat à la loyal psychopathe va !

Il se leva souriant en essuyant mon crachat et commença par manger le grec et boire le soda devant moi. Mon ventre gragouillait et il se moquait mais jamais je lui en demanderai.

Une fois qu'il finit il me bastonna proprement et avant de partir il accomplit sa sale besogne tout juste devant moi. Putain de merde ça sent. J'arrive même pas à respirer. Il se nettoie le cul et dépose le papier juste devant moi. Quel sale garçon. Je regrettai mes paroles et mon acte.

Il s'en alla souriant et me laissa avec cette odeur nauséabonde. Je crus mourir.

[...]

Quelques minutes après une femme de ménage s'ayant protégée le nez les doigts et tout vient nettoyez me laissant ainsi respirer.

S'il avait fait durer cela pendant une journée je crois j'aurais pas supporter.

Elle s'en alla après. Beurk elle a nettoyer son caca. Une soumise elle !

Je pus enfin dormir tranquillement même si la faim était là !

De Garce à VoiléeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant