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Salam anlaykoum

Sa fait plus de 4 ans que nos parents sont mort au péril de leur vie je vivais seule avec mon frère et notre petite sœur. Mature je me suis dis depuis qu'il on mit un trais sur nos destins.

Depuis ce jour là je ne sourie plus assez et rare son le temps où on me voyait versée de larmes. Mon seul but et de travailler travailler et travailler pour avoir mon diplôme de fin de mon d'années.

Mon frère a préféré s'Allier à la rue que de voir Notre famille se creuser à une manière de rapprocher la mort à nous.

Comme à mon habitude je peux même dire que c'était un rituel obligatoire je devais aller sortir Tinay de son sommeille pour qu'elle puisse prendre sa douche et se brosser les dents avec moi et partir prendre notre petit-déjeuner.

Tinay: Maman kadel est où?

Elle avait prit cette habitude de m'appeler maman. Mon profile au physiques était le reflet de ma mère en chaire et en os. Et c'était difficile pour elle de mettre à l'écart l'envie de me dévouer comme tel.

Moi: je sais pas mange vite aprés on va à l'école.

On finit de manger sous un silence de mort puisque kadel n'était pas présent aujourd'hui et encore une sois je pris son sac à do scolaire et y mets son repas de cette journée à l'école avant de descendre mais comme toujour les hommes de l'immeuble était fidèle à leurs postes. À croire que celle ci était de lors pour s'y adossée. Gâchant leurs journées pour recracher de la fumée en l'air je dirais même que c'est eux qui nous tuerons à l'avenir.

Les chemins c'est faites dans le silence je ne donnais pas d'importance à ce qui nous entourait mon objectif était ma sœur mais pas eux. Savoir que les hommes de nos jour était comme ce qui   gâcherons des vies en quelque seconde me répugne plus que tout. Entre temps nous étions arriver devant son établissement je lui dépose un baiser sur le frond avant de le laisser entrer et partir dans son établissement.

[...]

Une masse vient se raccrocher à moi en hurlant mon nom. Et de ces petits cheveux bleu qui basculant à du rouge je savais que c'était Mélissa qui était la cause de cette impact à mon corps mais elle restait toujour ma meilleur amis. Même si cela ne me paraît pas être un réel affection en vers elle je savais qu'elle était quelqu'un en qui je pouvais faire confiance les yeux fermés.

Mélissa: Ma chérie tu m'as manquer.

Moi: Vingt-six heure de temps le record et battue.

Mélissa: On peut dire ça comme ça.

Moi: Mélissa!

Mélissa: Vient là on va d'abord s'assoir je ne crois pas que ce soit un endroit pour te confier ce ci.

Moi: Comme tu le veux.

Nous partions rejoindre notre banc bleu où nous passons notre temps à discuter et entretenir une conversation longue ou courte.

Mélissa: alors en faite hier soir je devais me rendre chez ma cousine Ziwna.

Moi: Toujours Ziwna.

Mélissa: C'est ma cousine quand même.

Moi: Mais avec elle il ne t'arrive que du
malheur.

Mélissa: Mais bref je passe il y avait un ivrogne sur la route et j'ai du courir pour ne pas qu'il me rattrape.

Moi: Les mêmes histoires.

Mélissa: Quoi? Ce n'est pas de ma faute si on me course. En plus y avait quelqu'un qui ma à vrai dire sauvé la vie.

Moi: Qui ça?

Mélissa: Je ne sais pas mais il l'avait tiré dessus et ma proposé de rentrer avec lui pour qu'il puisse m'aider.

Moi: T'aurai du courir!

Mélissa: Mais il m'a sauvé quand  même. Je me devais de rester obéissante et ne pas faire comme certain l'aurais fait vois-tu.

advance in regret but do not advance for a return...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant