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- il fait chauds!

- Bienvenues dans mon pays natale très chère.

- très rafraichissante ce pays ironis-je en agitant mon épouvantail.

- Sa m'avait manqué cette chaleurs j'adore ce pays dit-il en prenant un bouffé d'air avant de prendre nos valise et me demande de le suivre.

- L'air est piquantes!

- on en parle de Mayotte?

- Bien sûr mon île est tropicale le lagons est très beau les plages sont très belle si on oublie bien sûr celle de Sohoa. Il est vrai que côté immigrants il y en a mais jamais je ne me suis pleins de cette île je suis y allé une fois avec ma mère. Il y a des bon fruits pas comme je ne dis rien...mais sache que je suis très fière de mon île.

- Mais bien sûr avec vos tête de voleurs je crois savoir pourquoi les arabes vous aimes autant.

- Excuse nous d'être spectateurs à vos préjugé Sale voleur!

- Je me suis toujours demandé jusqu'à aujourd'hui qui a pus bien me volé mon téléphone ainsi que ma serviettes quand j'étais partie là-bas.

- Tu es déjà partie à Mayotte? Lui demandais-je en montant dans sa voiture.

- Je devais partir pour financé quelques affaires pour les lycées. Et comme j'étais loger dans l'hôtel de Trévanie j'étais partie pour profité de la plage impeu vue que j'étais vraiment partie au large loin des côtes quand je suis revenue pour reprendre mes affaires bas on m'avait tout volé pourtant je les avais enterré par précautions mais bon c'est Mayotte.

- Jure?

- Je plaisante pas j'ai du marché devant tout le monde avec un simple boxeurs.

- Mais quesque tu faisais avec un boxeur? Lui dis-je en rigolant.

- En faite quand j'étais dans l'eau mon short c'était accroché à un espèces de barre de ferre et sa à littéralement déchiré tout mon short donc j'ai du l'enlèver et la grande surprise.

- Non ricanais-je.

- Tu es toujours fière de ton île?

- Il y a pas moyen que je change d'avis mais par contre tu as du faire peur au gens.

- Au contraire ma belle dit-il d'un air penseur mais un sourir malsain s'accroche à ses lèvres.

Et il commença à prononçait des mots en arabe me faisant passé pour une parfaite inconnue alors je racla la gorge.

- Je ne comprend pas l'arabe.

- Je croyais que ton père était marocaine.

- Oui mais on nous a jamais apris à parler l'arabe.

- Ma mère ne parle pas français non plus.

- Et ton père? Demandais-je.

- Peut-être bien.

- T'en es pas sûr?

- Je ne le saurais te le dire puisque il était mué.

- Pourquoi était?

- Il est mort depuis bien longtemps.

- Je suis désolé je ne le savais pas.

- C'est pas grave dit-il alors que je vis dans ses yeux plongé dans ses pensés.

- Apart habiba tu as combien de frère et soeurs?

- Je n'ai pas de frère je suis l'aîné et j'ai deux soeur Habiya et Abi la dernière.

advance in regret but do not advance for a return...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant