advance in regret but do not advance for a return...

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Je fondis en larme en voyant zaydi pénétré dans la chambre. Il vient directement me prendre dans ses bras me serrant fort contre lui alors que je fis de même.

- Mercie mon bon dieu articule t-il la voix vibrante de joie et d'une mélange de chagrin.

- Je croyais vraiment que j'allais mourir réussis-je à dire sous des larmes.

- Non ne dis pas ça mon amour.

J'en étais sortis avec une profonde perçement de verre dans la main ainsi qu'au bras. Avec une trace que ma laissé une méduse au jambe de droit et mon pauvre front ouverte.

Mais ce que j'ai retenue de cette accidents était beaucoup trop pésante fallait en fin ressentir cette peur de mourir sous d'atroce souffrance pour en fin se rendre compte de la chance que dieu nous donne.

Nous restons ainsi dans les bras de l'autre sans se soucié de ce qui nous entouré alors que je me vidais de mes larmes jusqu'à m'endormir dans ses  bras.

[...]

- Je vais devoir partir acheté quelques choses à mangé.

- Tu n'es pas rentré? Lui demandais-je en faisant référence à ses cernes presque inquiétante

- Non je ne peux pas te laissé seule ici dit-il d'une voix peine audible.

- Tu ne vas pas bien zaydi tu devrais appelé un medecin pour t'examiné.

- je vais bien ne t'en fait pas pour ça.

Sa se voyait qu'il se forçait à rester debout il n'avait pas l'air d'être bien du tout.

- Vient.

Je lui tend la main et il me sourit en le récuperant. Je lui tapote la place juste à côté et il s'assoit.

- Donne le téléphone je commande et repose toi.

- j'en ai pas envie.

- juste pour quelques minutes. Pour reposer ta voix ainsi que ta conscience.

- Donc maintenant je perds l'esprit.

- Bas oui tu as littérallement jeté ton téléphone dans la poubelle me moquais-je de lui.

- Merde! Pourtant j'étais sur de l'avoir laissé près de toi dit- en prenant son téléphone en riant.

- repose toi impeu.

- Juste impeu pour reprendre.

Il s'allonge sur la place que je lui est laissé en prenant ma main et je ne fus pas suprise de le voir fermé ses yeux pour retrouver le sommeil.

J'avais pus commandé quelques choses pour lui il s'était profondément endormie. Ses cheveux qui était parfaitement bien regroupé avec son bando noir et maintenant débordée on aurait dit qu'il avait passé sa main dessus.

À vrai dire zaydi avait une certaine tonne de cheveux mais ce n'était pas trop longue sa frole à peine sa nuque mais il aime bien mettre un bando sur l'arrière alors que les devant sont soyeuse en l'air sa lui fait une charme foue on va dire cela fait ressortir son côté jeune et homme d'affaire.

Malgré ses un mètre quatre vingt- dix et quelques je présume, c'est un homme gentille et généreux et pieux.

La plus belle chose que dieu te laisse à ta porté ne fait pas d'elle ce qui te semble le mieu pour elle mais garde un oeil sur eux pour mieu partir avec le coeur léger...

Si zaydi est mise sur mon chemin ce n'est pas pour rien. Le voyant ainsi une larme roula alors que j'imaginais au pire si j'étais morte sous l'eau par le manque d'air il serait surement détruite.

- Fitina?

- Chute entré.

- Quesqu'il fait là!?

- Tu devrais t'estimer heureux que je sois parmis vous.

- Mais pourquoi il dort dans ton lit!?

- Laisse le il ma surveillé toute la nuit en plus d'avoir eu une très dure journée hier.

Il vient me prendre dans ses bras et mon pauvre coeur se soulage par sa présence.

- elle est où tinay? Lui demandais-je inquiète.

- elle arrive...Mais C'est vraiment une chance que vous en êtes sortie d'aprés les témoignages le bus à fait cinq rebonds avant la chute libre.

- Esque il y a d'autre survivant?

- Non il se peut qu'après vôtre sortie du bus quelque minutes après elle a explosé.

Je frisonne d'horreur en regardant zaydi ainsi que mon frère avec les larmes au yeux mais il me tenue en coupe mon visage.

- Ce n'était pas ton heure. Ne pleur pas.

- J'aurais pus en mourir.

- Mais non et je remercie dieu de t'avoir épargné hier.

- Sèche tes larmes il n'aimerait pas que tu gaspille autant tes larmes me dit-il en faisant références à cette homme endormie sur le lit.

- D'accord.

- D'ailleur des journaliste son entrain de remplirs les couloirs.

- ils veulent quoi?

- Surement pour la presse.

- Je ne veux pas parlé qu'il part demandé au autre élève mais je refuse de parlé.

- Comme tu veux.

Il sort de la chambre alors que j'observais à nouveau zaydi n'osant à peine le frôler pour ne pas qu'il  se reveille.

Je me rappelle de ses paroles si inquiète et apeuré quand il m'appelait. Et une larme m'échappe.

Il tenait à moi...