advance in regret but do not advance for a return...

03

Salam anlaykoum ça va?

Moi: Fermez là!

Il tourne leurs regard en ma directions d'un air elle pouvait parlé. Le proviseur croise se mains en me regardant.

Proviseur: je vous remercie maintenant expliquer moi toute de suite ce qui sait passé ou bien j'appelle dans l'immédiat votre responsable légaux.

Mélissa: C'est lui là il commence à nous faire embrouillé avec la professeur.

Proviseur: Et vous mademoiselle?

Moi:

Zinéfan: Qui elle? Non ne perdez pas votre temps elle n'a pas le droit à la parole à cause de sa mère.

Proviseur: je n'ai pas besoins de commentaire zinéfan j'appellerais ton père et on verra bien.

Nous:

Proviseur : layana vous pouviez partir mais vous deux la vous restez ici en colle avec détchan killers

Mélissa: c'est mort je reste pas en colle avec eux.

Proviseur: Vous savez on peut toujour appeler votre mère.

Zinéfan: Celas ne me dérange pas.

Moi: escusez-moi

Je laisse mon instinct me guider je reconnue cette endroit où je venais souvent m'assoir pour éclater ma tristesse en exposition mais cette fois ci je le savais que peut-être,personne ne viendrais me faire chié

Les minutes passant comme l'ombrelle se déplace alors que je me vidais de mes larmes d'agonie ma petite sœur est la seul chose sui m'aide à me relever mais mon frère lui n'a pas voulue être de notre côté. J'ai préféré me relever de ce mur pour sécher mes larmes est prendre le couloirs d'opposer pour aller en cour.

Le cœur était calme est intéressant pour cette fois. Ce qui vaut que un silence de mort y était installer. Comme sous forme de bulle pour nous emprisonner des bruits des alentour.

Le cour finis je me précipite à sortir le premier de la cour pour atteindre notre endroit à nous loin des gens et des bruit notre petit air de tranquillité et en attendant l'arrivée de Mélissa je commence à manger ce que j'avais ramener.

Mélissa: Fitina ça va?

Moi: ne m'appelle pas comme ça.

Ce nom don je déteste tant qui me fait rappeler à qu'elle point mon père n'ai qu'un misérable bernée par sa famille et sa réputation ce même nom don ma mère a du chercher à cause de lui elle n'avait que dix-sept ans mais lui n'avait pas eu pitié. Ce même nom me fait rappeler à quel point suis-je seule.

Mélissa: on en déjà parler

Moi: Arrête je t'es dis de ne plus m'appeler comme ça respecte ma décision.

Mélissa: Tu regretteras plus tard et tu t'en voudras.

Moi: elle nous a laisser seul ici elle n'avait pas le droit j'aurais tuer mon père de mes main pour empêcher cette douleur qu'on n'en dur depuis 6ans.

Mélissa: dit pas ça hbibah

Moi: J'ai le droit de dire ce qui me déplaît ma mère nous as abandonné mon père est partie alors comment veux-tu qu'on suivie! J'en est marre de tout ça je veux bien d'une vie calme et agréable mais c'est impossible et raté d'avance à chaque pas que je fais c'est comme si la mort se rapprocher et chaque parole que je prononce me seras fatale dit moi ce que tu comprends pas dans ma vie elle est finit!?

Mélissa: calme toi.

Moi: non je ne me calme pas! Si tu ne veux pas comprendre ou tu veux pas me comprendre ces ton choix et viens pas me dire de me calmer alors que la situation est déjà beaucoup trop désespérée!

Mélissa: ces bon dis pas je suis la moi t'inquiète je te laisserai pas.

Moi: Tout le monde dis ça est la minute après tu n'entends que rivage sur tes cotes  dis-je en me levant en prenant le chemin qui sort de l'établissement.

J'avais besoins d'être seule un petite moment pasque je me rends compte que ces elle sui était là mais je lui est remis en vrif sous la tension de la solitude. Faudrait qu'un jour je décide de faire quoi de ma vie merdique.

Mes jambes me guider à l'endroit où je devrais être j'étais ailleurs dans mes pensées mes journées était toujour de la même couleur et scène des fois je me vois être en plain milieu d'un théâtre!

Et que je suis la marionnette principale à être mal aimé et dois souffrir sous toute les conditions possible.

Mais j'arrive devant l'établissement que j'avais laissé ce matin en attendant que ma petite sœur vient me rejoindre pour en fin rentré à la maison.

Tinay: Maman.

Moi: tu as passé une bonne journée.

Tinay: Oui même j'ai tout manger.

Moi: c'est bien ça.

Sur c'est petite échange je lui prend la main et nous commençons à avancer sur le trottoir qui ma l'air d'être assez longue pour nous puisque je voulais aller faire quelque tache ménagère mais arrivent un peu plus loin de notre immeuble des têtes ce font voirs et je peux reconnaître certain et l'homme en questions etait debout do à moi tirant sur son cigarette.

Lui: Je te promet de ne pas tirer sur ça.

Moi: Tu dégoûte!

Je le retourne d'un geste brusque avant de lui infliger une gifles qui voulais dire qu'il avait rompus sa promesse.

Heureusement que la petite ne dit rien puisqu'elle était comment dire devenue consciente de la vie qu'on mène devant notre apart à la porte nous apercevons Djizine et sa mère adossé à celle ci nous attendons tinay pars voir son cousin en grande enjambées.

Moi: bonjour Vous allez bie?

Je mets tout sur le plateau et va dans le salon on commence à manger en parlent de tout et de rien.

Allahina: On va bien ne t'en fais pas

Moi: Bien.

Allahina: ta pas l'air dans ton assiette esque tu vas bien??

Moi: impeu mais je supporte la douleur bon je vais aller prendre mes devoirs pasque ces trop dur on dirais des travailles de scientifique

Allahina: je vais t'aidé .

Moi: je suis sauver.

Je par prendre mes 5 cinq devoirs heureuse que je vais être sortie d'affaire et mes livres et le pose au salon je prend une feuille double et écris mon nom et le reste

Allahina: lis les énoncer.

Moi:ok je relève les compteurs d'eau dans chaque schéma si dessous blabla.....

Allahina: C'est quoi ça blabla esque tu vois sa écris dessus tu lis l'énoncé comme il faut.

Je roule des yeux avant de me replonger dans la lecture et au fur a mesuré je me rends compte que c'était facile mais juste moi qui devais mettre tien pour arriver.

               Lundi 20 janvier
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